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[texte imprimé]Banane : à la recherche d'une production et d'un commerce durables CHAMBRON, Anne-Claire, SMITH, Alistair - PARIS : FONDATION CHARLES LEOPOLD MAYER POUR LE PROGRES DE L'HOMME (FPH), S.D., 85 P.
La banane représente une source cruciale de recettes d'exportation pour au moins 15 pays d'Amérique Latine et des Caraïbes. A travers l'étude du commerce de la banane, on aborde la plupart des problématiques du développement et l'analyse des principaux obstacles à la promotion d'un commerce et d'une agriculture durables.
Dans une première partie, les auteurs analysent le marché international des bananes, exemple classique du commerce inéquitable des produits agro-alimentaires. La seconde partie est consacrée à la politique des états européens avant l'Union Européenne puis la mise en place d'une organisation commune des marchés de la banane par l'U.E. Ceci a débouché, en 1993, à la guerre économique de la banane et notamment à la plainte déposée par les pays d'Amérique Latine à l'encontre de la préférence européenne pour la banane ACP pour non conformité aux accords du GATT(Accord Général sur les tarifs douaniers et le commerce).
Cette guerre de la banane a notamment posé la question suivante : un pays ou un bloc de pays a-t'il le droit de discrimination, à sa frontière, entre deux produits identiques produits selon des critères sociaux et écologiques différents ? La suite de ce rapport présente la naissance d'un réseau européen EUROBAN (Réseau d'Action Européen sur la Banane), qui regroupe des ONG qui travaillent dans le domaine de la banane en 1994 qui se sont associées pour créer une filière de commercialisation de la banane dans le cadre du commerce équitable. En mars 1997, les bananes "Fair Trade" Max Havelaar sont lancées sur le marché suisse. Les ONG qui défendent le commerce équitable sont devenues des interlocutrices incontournables des gouvernements et des institutions. Les ONG ont aussi pris conscience de la nécessité de lier le commerce international au respect des standards environnementaux et sociaux.
Titre : Banane : à la recherche d'une production et d'un commerce durables Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Claire CHAMBRON ; Alistair SMITH Editeur : PARIS : FONDATION CHARLES LEOPOLD MAYER POUR LE PROGRES DE L'HOMME (FPH) Année de publication : S.D. Collection : DOCUMENTS DE TRAVAIL num. 101 Importance : 85 P. Note générale : Ce document n'a pas de date d'édition, mais l'ensemble des informations données sont antérieures à 1998.
Schémas, graphiques. En annexe, chronologie de la mise en place d'un réseau international sur la banane et une bibliographie (1 p.).Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Europe ; Amérique latine ; Antilles ; Afrique
Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Banane ; Échange inégal ; Commerce international ; Commerce équitable ; Union européenne (UE) ; États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique associés à la CEE (ACP) ; Agriculture d'exportation ; ONGRésumé : La banane représente une source cruciale de recettes d'exportation pour au moins 15 pays d'Amérique Latine et des Caraïbes. A travers l'étude du commerce de la banane, on aborde la plupart des problématiques du développement et l'analyse des principaux obstacles à la promotion d'un commerce et d'une agriculture durables.
Dans une première partie, les auteurs analysent le marché international des bananes, exemple classique du commerce inéquitable des produits agro-alimentaires. La seconde partie est consacrée à la politique des états européens avant l'Union Européenne puis la mise en place d'une organisation commune des marchés de la banane par l'U.E. Ceci a débouché, en 1993, à la guerre économique de la banane et notamment à la plainte déposée par les pays d'Amérique Latine à l'encontre de la préférence européenne pour la banane ACP pour non conformité aux accords du GATT(Accord Général sur les tarifs douaniers et le commerce).
Cette guerre de la banane a notamment posé la question suivante : un pays ou un bloc de pays a-t'il le droit de discrimination, à sa frontière, entre deux produits identiques produits selon des critères sociaux et écologiques différents ? La suite de ce rapport présente la naissance d'un réseau européen EUROBAN (Réseau d'Action Européen sur la Banane), qui regroupe des ONG qui travaillent dans le domaine de la banane en 1994 qui se sont associées pour créer une filière de commercialisation de la banane dans le cadre du commerce équitable. En mars 1997, les bananes "Fair Trade" Max Havelaar sont lancées sur le marché suisse. Les ONG qui défendent le commerce équitable sont devenues des interlocutrices incontournables des gouvernements et des institutions. Les ONG ont aussi pris conscience de la nécessité de lier le commerce international au respect des standards environnementaux et sociaux.Type de contenu : rapport, rapport d'activités Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19953 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 22400 CD FPH/TRA.101 autres textes imprimés 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Banque mondiale : Erreur sur la marchandise MARTIN-PRÉVEL, Alice - In : DEFIS SUD, mars-avril 2016 (01/03/2016), N°129, P. 9-40
Pierre Coopman, dans le premier article explique le pouvoir, la vision et le fonctionnement de la Banque mondiale (BM) et analyse les résultats d'une étude publiée par l'Oakland Institute intitulée "Les mythes de la Banque mondiale sur l'agriculture et le développement". Mythe n°1 : la banque assure l'accès des agriculteurs à la terre (mais la Société Financière Internationale ou SFI, sa branche de financement de l'agrobusiness, encourage les investissements menant vers l'accaparement des terres). Mythe n°2 : la BM s'intéresse aux petits agriculteurs (mais la SFI promeut un modèle de titrisation des terres et la banque met l'accent sur la nécessité d'une révolution productive = productiviste). Mythe N°3 : la BM appuie le secteur privé pour renforcer in fine le secteur public et la bonne gouvernance (mais elle facilite les entreprises étrangères qui veulent exploiter les ressources naturelles). Contrairement au droit commun des organisations internationales, la gouvernance de la Banque mondiale fonctionne sur le principe du "un dollar, une voix". Ce qui prime ce n'est pas l'égalité souveraine des États, ni leur poids démographique, mais la contribution au capital des États membres qui sont également actionnaires.
[article]
Titre : Banque mondiale : Erreur sur la marchandise Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre COOPMAN ; Alice MARTIN-PRÉVEL ; Antonio GAMBINI Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 9-40 Note générale : Dossier de 8 articles :
* Mythes et réalités de la banque mondiale. La banque mondiale nous raconte-t-elle de belles histoires ?
* Le musée des horreurs de la banque mondiale
* Agriculture privatisée. Les indicateurs de business de la banque mondiale favorisent l'agro-industrie
* Belgique. L'opacité d'une contribution
* Pérou. Un soutien discutable
* Équateur. Le divorce manqué
* Sénégal. Un projet "inclusif" qui se perd en procédures
* Afrique de l'Ouest. Entre espoirs et craintes face aux financements de la Banque.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ; Institutions financières internationales ; Banque mondiale (BM) ; Agriculture ; Projet de développement ; Secteur privé
Thésaurus Géographique
Belgique ; Pérou ; Equateur ; Sénégal ; Burkina FasoRésumé : Pierre Coopman, dans le premier article explique le pouvoir, la vision et le fonctionnement de la Banque mondiale (BM) et analyse les résultats d'une étude publiée par l'Oakland Institute intitulée "Les mythes de la Banque mondiale sur l'agriculture et le développement". Mythe n°1 : la banque assure l'accès des agriculteurs à la terre (mais la Société Financière Internationale ou SFI, sa branche de financement de l'agrobusiness, encourage les investissements menant vers l'accaparement des terres). Mythe n°2 : la BM s'intéresse aux petits agriculteurs (mais la SFI promeut un modèle de titrisation des terres et la banque met l'accent sur la nécessité d'une révolution productive = productiviste). Mythe N°3 : la BM appuie le secteur privé pour renforcer in fine le secteur public et la bonne gouvernance (mais elle facilite les entreprises étrangères qui veulent exploiter les ressources naturelles). Contrairement au droit commun des organisations internationales, la gouvernance de la Banque mondiale fonctionne sur le principe du "un dollar, une voix". Ce qui prime ce n'est pas l'égalité souveraine des États, ni leur poids démographique, mais la contribution au capital des États membres qui sont également actionnaires. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69264
in DEFIS SUD > N°129 (mars-avril 2016) . - P. 9-40[article]Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 65633 AGR SOS déf129 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 63023 CM Défis-Sud N° 129 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt BU HDL 0063563 PV 63/129 autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible [article]Les banques ne paient pas assez d'impôts COUPPEY-SOUBEYRAN, Jézabel - In : ALTERNATIVES ECONOMIQUES, janvier 2014 (01/01/2014), N°331, P. 70-73
Dans la dernière décennie, les impôts payés par les banques ont augmenté bien moins que leurs profits. Taxer davantage les banques est une question d'équité et aussi un levier possible de régulation financière. La difficulté pour y arriver est liée à la forte internationalisation des groupes bancaires qui leur permet d'optimaliser leur fiscalité via leurs nombreuses filiales (et les filiales de filiales) dans les paradis fiscaux.
[article]
Titre : Les banques ne paient pas assez d'impôts Type de document : texte imprimé Auteurs : Gunther CAPELLE-BLANCARD ; Jézabel COUPPEY-SOUBEYRAN Année de publication : 2014 Article en page(s) : P. 70-73 Note générale : Encadré : "La présence des banques dans les paradis fiscaux". Graphiques du taux d'imposition des banques françaises par type d'établissement et globalement pour le secteur bancaire des pays de l'OCDE qui montrent la baisse depuis la fin des années 1980 jusqu'à la fin des années 2000. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Banque ; Fiscalité ; Fraude ; Impôt ; Mondialisation ; Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ; Éthique
Thésaurus Géographique
FranceRésumé : Dans la dernière décennie, les impôts payés par les banques ont augmenté bien moins que leurs profits. Taxer davantage les banques est une question d'équité et aussi un levier possible de régulation financière. La difficulté pour y arriver est liée à la forte internationalisation des groupes bancaires qui leur permet d'optimaliser leur fiscalité via leurs nombreuses filiales (et les filiales de filiales) dans les paradis fiscaux. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59453
in ALTERNATIVES ECONOMIQUES > N°331 (janvier 2014) . - P. 70-73[article]Exemplaires (8)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 49352 CIT-Perio autres textes imprimés 14 - CITIM (Caen) Disponible 61127 MCM REV ALE autres textes imprimés 44 - MCM (Nantes) Disponible 50893 74 autres textes imprimés 54 - CLID (Nancy) Disponible CRDTM AE 331 CD59 AE 331 autres textes imprimés 59 - CRDTM (Lille) Disponible BIOF00718 BIOF R ALE autres textes imprimés 69 - BIOFORCE (Vénissieux) Disponible BIOFREV15 BIOF R ALE autres textes imprimés 69 - BIOFORCE (Vénissieux) Disponible 030/331 CD72 Perio autres textes imprimés 72 - MONDE SOLIDAIRE (La Flèche) Disponible 50823 CDATM AE 331 autres textes imprimés 83 - RTM (Draguignan) Exclu du prêt [texte imprimé]Bilan 2003 et perspectives DGCID (Direction générale de la coopération internationale et du développement), - PARIS : MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES (MAE), S.D., 112 P.
La Direction générale de la Coopération internationale et du développement (DGCID) a connu en 2003 des transitions importantes la préparant aux réformes introduites en 2004 et 2005. L'année 2003 a permis l'intégration complète de la DGCID dans la politique étrangère de la France, dans le réseau de solidarité internationale et les autres opérateurs de la coopération. La DGCID a tenté de moderniser sa coopération en prenant plus en compte ces partenaires étrangers ce qui améliore son réseau culturel et de coopération implanté dans le monde entier et dans des secteurs divers.
Titre : Bilan 2003 et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : DGCID (Direction générale de la coopération internationale et du développement) Editeur : PARIS : MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES (MAE) Année de publication : S.D. Importance : 112 P. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-11-094153-4 Note générale : Photographies. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Afrique ; Afrique du nord ; Amérique ; Asie ; Europe ; France ; Monde ; Moyen-Orient
Thésaurus Thématique
RELATIONS INTERNATIONALES ; Communication ; Coopération internationale ; Culture ; Développement ; Développement durable ; Francophonie ; Langue ; Média ; Partenariat ; Réforme ; Solidarité ; Union européenne (UE)Résumé : La Direction générale de la Coopération internationale et du développement (DGCID) a connu en 2003 des transitions importantes la préparant aux réformes introduites en 2004 et 2005. L'année 2003 a permis l'intégration complète de la DGCID dans la politique étrangère de la France, dans le réseau de solidarité internationale et les autres opérateurs de la coopération. La DGCID a tenté de moderniser sa coopération en prenant plus en compte ces partenaires étrangers ce qui améliore son réseau culturel et de coopération implanté dans le monde entier et dans des secteurs divers. Type de contenu : rapport, rapport d'activités Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41589 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 35719 URD HUM DGCID bil03 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible [article]La biodiversité est notre richesse LAURANS, Yann - In : ALTERNATIVES ECONOMIQUES, janvier 2016 (01/01/2016), N°353, P. 63-65
La biodiversité concerne la diversité des organismes vivants et celle des écosystèmes (communauté d'êtres vivants et son environnement biologique, hydrologique, géologique, climatique, etc.) dont les services sont indispensables à la vie sur terre. L'érosion de la diversité est due à la surexploitation des ressources, à la destruction des habitats naturels, à la pollution de l'eau et aux espèces animales ou végétales invasives. Le coût économique de cette perte de diversité ne peut être évalué avec précision mais les estimations montrent qu'il est très élevé. Agir en réorientant les modes de production et de consommation et dégager des financements sont des impératifs pour atteindre, en 2020, les 20 objectifs de la convention des Nations unies définis à Nagoya en 2010.
[article]
Titre : La biodiversité est notre richesse Type de document : texte imprimé Auteurs : Renaud LAPEYRE ; Yann LAURANS Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 63-65 Note générale : Encadré : "Une définition large". Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Biodiversité ; Mode de production ; Consommation responsable ; Financement ; Planification ; Évaluation ; Organisation des Nations unies (ONU)Résumé : La biodiversité concerne la diversité des organismes vivants et celle des écosystèmes (communauté d'êtres vivants et son environnement biologique, hydrologique, géologique, climatique, etc.) dont les services sont indispensables à la vie sur terre. L'érosion de la diversité est due à la surexploitation des ressources, à la destruction des habitats naturels, à la pollution de l'eau et aux espèces animales ou végétales invasives. Le coût économique de cette perte de diversité ne peut être évalué avec précision mais les estimations montrent qu'il est très élevé. Agir en réorientant les modes de production et de consommation et dégager des financements sont des impératifs pour atteindre, en 2020, les 20 objectifs de la convention des Nations unies définis à Nagoya en 2010. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67671
in ALTERNATIVES ECONOMIQUES > N°353 (janvier 2016) . - P. 63-65[article]Exemplaires (8)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité CitPerio-50-353 autres textes imprimés 14 - CITIM (Caen) Disponible 61265 autres textes imprimés 22 - RESIA (St Brieuc) Disponible 61556 CM ALTECO N°353 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt 61336 MCM REV ALE autres textes imprimés 44 - MCM (Nantes) Disponible BIOF01885 BIOF R ALE autres textes imprimés 69 - BIOFORCE (Vénissieux) Disponible 030/353 CD72 Perio autres textes imprimés 72 - MONDE SOLIDAIRE (La Flèche) Disponible 61277 CDATM AE 353 autres textes imprimés 83 - RTM (Draguignan) Disponible LAC30/353 PER 30 autres textes imprimés 95 - LA CASE (Villiers Le Bel) Exclu du prêt [texte imprimé]Biodiversité : Savoirs protégés, savoirs partagés CHETAILLE, Anne, BIAGIOTTI, Isabelle ; BAHRI, Sylvia - MONTPELLIER : SOLIDARITES AGRICOLES ET ALIMENTAIRES (SOLAGRAL) COLLECTION, S.D., 45 P.
Biodiversité : ce mot est employé autant par ceux qui militent pour la préservation du patrimoine naturel, que par ceux qui voient dans les ressources génétiques la base d'une nouvelle révolution économique et technique. Aujourd'hui, ces deux courants se rencontrent à l'échelle internationale. La convention sur la Biodiversité signée en juin 1992, a ouvert le débat sur les responsabilités et les coûts de la conservation de la diversité du monde vivant. Qui doit supporter les coûts de conservation de ce bien collectif ?
Permalink[article]Bolsonaro contre tous : la politique extérieure du Brésil - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2020 (12/06/2020), VOL. 27-2020/2, P. 125-140
La politique étrangère du gouvernement Bolsonaro est le résultat d'un jeu d'influence et de tensions entre plusieurs groupes : les "croisés antiglobalistes", les néolibéraux globalistes et les militaires ; leurs intérêts sont souvent divergents. Source de conflits, inconstante, cette politique se caractérise par un changement de cap dans les relations avec les grandes puissances et les autres pays d'Amérique latine.
Permalink[texte imprimé]La brevetabilité biologique et la menace pour la sécurité alimentaire : une perspective chrétienne et de développement CIDSE (Coopération internationale pour le développement et la solidarité), - BRUXELLES (BELGIQUE) : COOPERATION INTERNATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT ET LA SOLIDARITE (CIDSE), S.D., 48 P.
Ce document réalisé par le groupe de travail "UE, commerce et sécurité alimentaire" de la Coopération internationale pour le développement et la solidarité (CIDSE) s'intéresse aux répercussions de la brevetabilité biologique sur la sécurité alimentaire des pays pauvres. Le droit à l'alimentation considéré comme un droit fondamental n'est pas seulement une affaire d'économie et de règles commerciales, notamment en matière de propriété intellectuelle. Sans remettre en cause la recherche scientifique, la puissance des multinationales et le dépôt de brevets biologiques ne peuvent se développer au détriment d'autres voies de lutte contre la faim. Ce document présente une série de recommandations précises à l'Union Européenne et à la communauté internationale sur la brevetabilté biologique et l'établissement de nouvelles règles dans les politiques de sécurité alimentaire et de relations commerciales.
Permalink[article]Les brevets, obstacle aux vaccins pour tous STAMBACH, Frédérick ; VERNAUDON, Julien - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, mars 2021 (01/03/2021), N°804, P. 1; P. 22
Bien qu'elles aient mis au point les vaccins anti-Covid-19 avec de l'argent public, les sociétés pharmaceutiques les vendent aux plus offrants. Tout au plus acceptent-elles d'en garder des doses dans leurs nations d'origine. L'analyse détaillée des contrats passés par les États avec les laboratoires justifie ces propos accusateurs. Les gouvernements devraient imposer la levée du droit de propriété intellectuelle, afin que les pays qui le peuvent produisent pour les autres.
Permalink[article]Au Burkina, l'accord de la discorde ? - In : DEFIS SUD, décembre 2014- janvier 2015 (01/12/2014), N°122, P. 12-15
La décision prise le 10 juillet 2014 par les chefs d’État et le gouvernement de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et la Mauritanie d'approuver définitivement l'accord de partenariat économique (APE) avec l'Union européenne, est diversement apprécié au Burkina Faso. Pour Maurice Oudet, c'est un marché de dupes. Au contraire pour Nazaire Paré, cela va aider à l'intégration économique et augmentera la productivité des entreprises burkinabé. Seydou Ouédraogo regrette la faible protection de la région pour certains produits agricoles, notamment le riz et le lait. Quant aux organisations de la société civile, elles veulent continuer à se battre, car elles représentent 86% de la population et disent leur désaccord.
Permalink[article]Calais : "salle d'attente" des migrants en Europe - In : CARTO, novembre-décembre 2015 (01/11/2015), N°32, P. 36-37
Ville-frontière pour les migrants cherchant à aller au Royaume-Uni, Calais a vu se succéder depuis les années 1990 plusieurs vagues migratoires au rythme des conflits internationaux. La création du centre d'urgence de Sangatte en 1999, puis sa fermeture trois ans plus tard, la "Jungle" et ses démantèlements successifs montrent une ville au cœur du défi européen.
Permalink[article]Cameroun : L'Accord de partenariat economique (APE) est-il une alternative crédible ? - In : DEFIS SUD, décembre 2014- janvier 2015 (01/12/2014), N°122, P. 21-22
Malgré le dérèglement tarifaire pour l'accès au marché européen des produits en provenance du Cameroun, les barrières non tarifaires, notamment les règles d'origine, continuent à entraver l'accès des exportations du Cameroun sur ce marché. L'analyse des dispositions de l'accord de partenariat économique (APE) négocié avec le Cameroun montre que cet accord risque d'être plus contraignant que catalyseur de développement. Le règlement des différends sera indispensable, et il n'est pas dans la culture des pays africains.
Permalink[article]Des capitaux européens pour l'accaparement - In : DEFIS SUD, juillet-août 2016 (01/07/2016), N°131, P. 21-24
Le contexte économique international ultralibéral favorise de plus en plus les accaparements de terres et, par conséquent, les violations des droits de l'homme par une série de pratiques dénoncées et analysées dans une longue étude du département des politiques externes du Parlement européen. Car, parmi les firmes impliquées directement ou indirectement dans ces accaparements, certaines sont localisées en Europe ou bénéficient de capitaux européens. L'Europe applique des politiques commerciales dont les impacts sociaux et environnementaux sont dévastateurs. Plusieurs études dénoncent les violences contre les personnes qui résistent aux accaparements de terres et contre les défenseurs des droits de l'homme. Les agrocarburants sont parmi les principaux responsables de ces accaparements. L'Union européenne a toujours été réticente pour introduire des systèmes de régulation. Une législation en ce sens est pourtant nécessaire.
Permalink[texte imprimé]Ces enfants que l'on prostitue... "Même s'ils vivent, ils meurent du dedans" ECPAT (End child prostitution in Asian tourism) France, - LE BOURGET : END CHILD PROSTITUTION IN ASIAN TOURISM (ECPAT) FRANCE, S.D., 22 P.
Permalink[article]Du cœur au ventre contre les bombes atomiques - In : L'AGE DE FAIRE, septembre 2020 (01/09/2020), N°154, P. 4
Depuis une trentaine d'années, des militant·es de plusieurs pays du monde jeûnent du 6 au 9 août (en commémoration des bombardements à Hiroshima et Nagasaki) afin de réclamer l'abolition des armes atomiques à l'échelle internationale. Jean-Luc Tonnerieux, co-président de Vosges alternatives au nucléaire, revient dans cet entretien sur les motivations et les enjeux de la lutte, notamment à travers le soutien au traité d'interdiction des armes nucléaires des Nations unies (TIAN), ratifié à ce jour par 43 pays - mais dont la France ne fait pas partie.
Permalink[texte imprimé]La communication pour le développement rural : pour améliorer la planification, la participation et la formation FAO (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture), - ROME (ITALIE) : ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L'ALIMENTATION ET L'AGRICULTURE (FAO), S.D., N.P.
Cette brochure d'information de la Sous-Division de la communication au service du développement de la FAO, présente de façon condensée l'importance de la communication en milieu rural, et sa contribution au développement local. Cette argumentation s'appuie notamment sur l'exemple de PRODERITH, projet de développement intégré mis en œuvre au Mexique, ainsi que sur celui des campagnes de communication, appuyant une priorité de développement particulière et bien définie, telles que des campagnes de lutte contre les rats.
Permalink[article]Complexes guerres "hybrides" en Ukraine - In : RECHERCHES INTERNATIONALES, octobre-décembre 2019 (01/10/2019), N°116, P. 111-127
Les guerres en Ukraine sont "hybrides", à la fois politiques, économiques, médiatiques, militaires, internes et externes, publiques et privées, locales et intercontinentales, humaines et technologiques, conceptuelles et opérationnelles, par procuration. Kiev, la Crimée, le Donbass en sont les points chauds. Quelles conceptions du monde s'affrontent-elles ? Comment maîtriser l'information en temps de guerre ? L'unité géographique du continent eurasiatique sera-elle renforcée par des unions politiques ou contrariée par l'Alliance euratlantique ? Au cœur de l'Eurasie, l'Ukraine est un cas d'école pour le contrôle de l'ordre du monde.
Permalink[texte imprimé]Le Consensus européen sur l'aide humanitaire : Le défi humanitaire ECHO (Office d'aide humanitaire de la Commission européenne), - BRUXELLES (BELGIQUE) : COMMISSION EUROPEENNE (CE), S.D., 32 P.
La Commission, le Conseil et le Parlement européen ont pris conscience de la nécessité d'établir une position claire de l'Union Européenne pour rendre l'assistance humanitaire plus efficace. Face au changement global mondial, catastrophe naturelle qui s'intensifie, attaque sur le personnel humanitaire, droit international bafoué, nombre de déplacés et réfugiés qui croit, il est nécessaire que les pays européens se coordonnent et communiquent pour améliorer et synchroniser l'agenda des acteurs humanitaires et leur modus operandi.
Permalink[texte imprimé]Construire la paix : éléments de réflexions à partir des pratiques des organisations non gouvernementales et de quelques instances nationales et internationales CORNET, Bérengère, MOUCHARAFIEH, Claire - PARIS : FONDATION CHARLES LEOPOLD MAYER POUR LE PROGRES DE L'HOMME (FPH), S.D., 151 P.
Permalink[texte imprimé]Convention internationale des droits de l'enfant UNICEF (Fonds des Nations Unies pour l'enfance), - PARIS : FONDS DES NATIONS UNIES POUR L'ENFANCE (UNICEF), , 31 P.
Ensemble des articles de loi de la Convention internationale des droits de l'enfant.
http://www.unicef.fr/userfiles/50154.pdf
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