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[article]Des capitales aux villages traditionnels : Les phases d’intériorisation de la Covid-19 en Amazonie brésilienne MASSATO HARAYAMA, Rui ; STOLL, Emilie - In : CONFINS, 2022/3 (01/10/2022), N°56,
Comprendre la dynamique de transmission de Covid-19 est fondamental pour en limiter la propagation et engager les actions sanitaires adéquates, notamment dans les régions vulnérables, où les modes d’occupation du territoire informent sur les risques de contamination massive. Cet article analyse le processus de propagation de l’épidémie en Amazonie brésilienne, au cours des semaines épidémiologiques. Le travail de recherche permet de mettre à jour quatre phases, depuis l’arrivée du virus par voie aérienne dans les capitales de la région Nord, jusqu’aux premiers cas enregistrés à l’échelle micro-locale, dans les villages des communautés traditionnelles en basse Amazonie. Ces phases sont également présentées du point de vue des villageois·es et des autorités qui ont mis en œuvre les actions sanitaires. Les résultats montrent qu’il aurait été fondamental de prendre en compte les spécificités de l’environnement amazonien lors de l’élaboration des politiques nationales de santé, contrairement aux actions mal coordonnées dans l'urgence de l'épidémie. https://journals.openedition.org/confins/48303
[article]
Titre : Des capitales aux villages traditionnels : Les phases d’intériorisation de la Covid-19 en Amazonie brésilienne Type de document : document électronique Auteurs : João Paulo SOARES DE CORTES ; Rui MASSATO HARAYAMA ; Emilie STOLL Année de publication : 2022 Note générale : Cartes, tableaux, bibliographie. Langues : Portugais (por) Français (fre) Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Thématique
SANTÉ ; Épidémie ; Environnement ; Politique de santé ; Prévention des risques ; Ville ; Village
Thésaurus Géographique
Amazonie ; BrésilRésumé : Comprendre la dynamique de transmission de Covid-19 est fondamental pour en limiter la propagation et engager les actions sanitaires adéquates, notamment dans les régions vulnérables, où les modes d’occupation du territoire informent sur les risques de contamination massive. Cet article analyse le processus de propagation de l’épidémie en Amazonie brésilienne, au cours des semaines épidémiologiques. Le travail de recherche permet de mettre à jour quatre phases, depuis l’arrivée du virus par voie aérienne dans les capitales de la région Nord, jusqu’aux premiers cas enregistrés à l’échelle micro-locale, dans les villages des communautés traditionnelles en basse Amazonie. Ces phases sont également présentées du point de vue des villageois·es et des autorités qui ont mis en œuvre les actions sanitaires. Les résultats montrent qu’il aurait été fondamental de prendre en compte les spécificités de l’environnement amazonien lors de l’élaboration des politiques nationales de santé, contrairement aux actions mal coordonnées dans l'urgence de l'épidémie. Type de contenu : thèse, mémoire, travail de recherche En ligne : https://journals.openedition.org/confins/48303 Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82360
in CONFINS > N°56 (2022/3)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 50441 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 53765 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible N°262 - septembre 2022 - Défendre l'eau, c'est défendre la terre et la vie (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / Joanna CABELLO
[n° ou bulletin]
Titre : N°262 - septembre 2022 - Défendre l'eau, c'est défendre la terre et la vie Type de document : document électronique Auteurs : Joanna CABELLO, Coordinateur Année de publication : 2022 Importance : 48 P. Format : fichier pdf Note générale : Dossier comprenant :
* L’eau et la terre : une trame de vie indissociable, p. 2
* Les communautés quilombola récupèrent leurs terres et leur eau après 40 ans de monoculture d'eucalyptus au Brésil, p. 5
* Plantations de palmiers à huile et accaparement de l’eau : Côte-d’Ivoire et Gabon, p. 14
* Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières, p. 20
* Lutter pour ne pas sombrer : les habitants de l’île de Pari, en Indonésie, luttent contre l’injustice, p. 27
* "Sans eau, il n’y a pas de vie", p. 32
* Les rivières de l’Amazonie bolivienne, p. 32
* De l’Asie à l’Afrique : l’expansion tentaculaire des plantations de palmiers à huile épuise les ressources en eau des communautés, p. 37
* Eau, extractivisme et minéraux critiques au Brésil : quelques réflexions, p. 42
Notes bibliographiques, liens sitographiques, recommandations.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accaparement de terres ; Accès à l'eau ; Agriculture intensive ; Écosystème ; Extractivisme ; Gestion des ressources naturelles ; Multinationale ; Peuple autochtone ; Pollution
Thésaurus Géographique
Afrique ; Asie ; Amazonie ; Bolivie ; Brésil ; Côte d'Ivoire ; Gabon ; PérouRésumé : Derrière chaque accaparement de terres se cache un accaparement de l’eau. La terre et l’eau sont interdépendantes, inséparables et vitales. Les plantations de monoculture intensive et l'extraction de matières premières naturelles sont responsables de l’accaparement de terres communautaires, en particulier pour les populations forestières et paysannes, mais génère aussi la pollution à long terme des terres, de l’eau et de l’air. Les conséquences de l’empoisonnement et/ou du pillage de l’eau dues à l'agriculture intensive et aux opérations extractives ont un impact sur les écosystèmes qui dépendent des sources d’eau et des territoires qu’elles font vivre. Les sites de production, les corridors de transport et les constructions d'infrastructures afférentes affectent des zones bien plus vastes que les seuls territoires occupés par ces activités destructrices de l'environnement. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=28018 [n° ou bulletin]Contient
- [article]Les communautés quilombola récupèrent leurs terres et leur eau après 40 ans de monoculture d'eucalyptus au Brésil - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 5-13
Dans les années 1950, le territoire quilombola de Sapê do Norte, dans l'État d'Espírito Santo, au Brésil, occupait une vaste zone dans les municipalités actuelles de São Mateus et Conceição da Barra. Environ 12 000 familles de cette communauté ont été expulsées de leurs terres traditionnelles par un processus de néocolonisation parrainé par l'État brésilien puis, dans les années 1970, par l'arrivée de l'entreprise Aracruz Celulose (aujourd'hui Suzano) et l'expansion de la monoculture d'eucalyptus à grande échelle. Après quarante ans de spoliation, les communautés autochtones ont entamé un processus de lutte pour récupérer leurs terres, leur eau et leurs moyens de subsistance. Le WRM s'est entretenu avec deux activistes quilombola sur leurs conditions de résistance difficile mais fertile. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]Plantations de palmiers à huile et accaparement de l’eau : Côte-d’Ivoire et Gabon - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 14-19
La production industrielle d’huile de palme en Côte d'Ivoire et au Gabon est gérée par cinq multinationales qui contrôlent environ 67 % de la superficie des plantations industrielles de palmiers à huile, dont les concessions ont été financées par des investissements étrangers et dont l'expansion est en progression constante. Les plantations accaparent de vastes étendues de terre et ont de nombreux impacts socio-environnementaux sur les populations et les territoires autochtones. La terre et l’eau sont interdépendantes et, dans ces régions boisées, la crise de l’eau n’existerait pas si les entreprises n’avaient pas accaparé les terres des populations locales. La raréfaction de l’eau pour les communautés qui vivent dans et autour des plantations industrielles de palmiers à huile est alarmante et semble inexorable. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 20-26
Les communautés autochtones touchées par la pollution de l’industrie pétrolière perdent également leur accès vital à l’eau. L’État péruvien ne respecte pas ses propres législations concernant le droit à l'eau et n'engage aucun moyen contre la violation de ce droit (selon les statistiques officielles, 54 % de la population autochtone amazonienne n’a pas accès à l’eau). Dans le nord de l’Amazonie péruvienne, une centaine de communautés autochtones et leurs fédérations sont engagées depuis onze ans dans une lutte unie, constante et coordonnée pour la défense de leurs territoires et de leurs rivières contre les activités pétrolières (lots pétroliers et oléoduc Norperuano qui traverse le nord de l’Amazonie et les montagnes andines). https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]Lutter pour ne pas sombrer : les habitants de l’île de Pari, en Indonésie, luttent contre l’injustice - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 27-31
Pour de nombreuses îles et régions côtières de faible altitude, l’élévation du niveau de la mer est l’un des impacts les plus perceptibles du changement climatique. L’Indonésie, où plus de quatre millions de personnes sont victimes d'inondations chaque année, est particulièrement exposée à l’élévation du niveau de la mer en raison de la longueur de son littoral et de sa position géographique. Les habitants de l’île de Pari voient de plus en plus souvent leurs maisons et leurs entreprises envahies par les eaux. En plus de lutter contre les grandes entreprises de tourisme, quatre habitants de l’île de Pari ont intenté une action en justice contre l’un des principaux émetteurs de dioxyde de carbone au monde, et donc l’un des principaux responsables de leur situation : le groupe cimentier Holcim. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]"Sans eau, il n’y a pas de vie" : Les rivières de l’Amazonie bolivienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 32-35
En Amazonie bolivienne, comme un "sang de la terre", la rivière Beni traverse le parc national Madidi, l’une des zones les plus riches en biodiversité de la planète, et la réserve Pilón Lajas. Or la rivière Beni est menacée par des projets de construction de méga barrages, en particulier Chepete et Bala, qui inonderaient une superficie plus grande que celle de La Paz, la capitale. Des études d’impact ont estimé que la construction des barrages, des routes et des lignes de transport d’électricité nécessiterait l’abattage de plus de 100 000 hectares de forêts dans ces réserves naturelles. La création des immenses lagunes artificielles nécessaires à la rétention d'eau forcerait l’expulsion des populations autochtones et des communautés paysannes riveraines, en raison de la submersion des terres. Le cycle de l’eau de cet immense territoire, la biodiversité et la vie des communautés locales changeraient radicalement. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]De l’Asie à l’Afrique : l’expansion tentaculaire des plantations de palmiers à huile épuise les ressources en eau des communautés KRuHA (Koalisi Rakyat untuk Hak Atas air) - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 37-41
Aucune autre culture n’a connu une croissance mondiale plus rapide que le palmier à huile au cours de la dernière décennie. Cette expansion presque incontrôlable laisse derrière elle un cortège de destructions et de conflits autour des immenses étendues de plantations qui s’étendent de l’Asie du Sud-Est à l’Afrique occidentale et centrale. Cette monoculture absorbe des hectares de terres arables, des forêts tropicales vierges, des territoires forestiers autochtones et détruit la biodiversité. À mesure que les entreprises accaparent des terres communautaires, elles s’emparent également de leurs ressources en eau, vitale mais de plus en plus rare, dans le contexte de la crise climatique. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdfExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13816 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 13834 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 20-26
Les communautés autochtones touchées par la pollution de l’industrie pétrolière perdent également leur accès vital à l’eau. L’État péruvien ne respecte pas ses propres législations concernant le droit à l'eau et n'engage aucun moyen contre la violation de ce droit (selon les statistiques officielles, 54 % de la population autochtone amazonienne n’a pas accès à l’eau). Dans le nord de l’Amazonie péruvienne, une centaine de communautés autochtones et leurs fédérations sont engagées depuis onze ans dans une lutte unie, constante et coordonnée pour la défense de leurs territoires et de leurs rivières contre les activités pétrolières (lots pétroliers et oléoduc Norperuano qui traverse le nord de l’Amazonie et les montagnes andines). https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf
[article]
Titre : Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières Type de document : document électronique Auteurs : Renato PITA ZILBERT Année de publication : 2022 Article en page(s) : P. 20-26 Note générale : L'auteur est porte-parole de la plateforte PUINAMUDT (Pueblos Indígenas Amazónicos Unidos en Defensa de sus Territorios = Union des peuples autochtones amazoniens pour la défense de leurs territoires). Notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accès à l'eau ; Droit des peuples ; Industrie extractive ; Législation ; Pétrole ; Peuple autochtone ; Politique économique ; Pollution
Thésaurus Géographique
Pérou ; AmazonieRésumé : Les communautés autochtones touchées par la pollution de l’industrie pétrolière perdent également leur accès vital à l’eau. L’État péruvien ne respecte pas ses propres législations concernant le droit à l'eau et n'engage aucun moyen contre la violation de ce droit (selon les statistiques officielles, 54 % de la population autochtone amazonienne n’a pas accès à l’eau). Dans le nord de l’Amazonie péruvienne, une centaine de communautés autochtones et leurs fédérations sont engagées depuis onze ans dans une lutte unie, constante et coordonnée pour la défense de leurs territoires et de leurs rivières contre les activités pétrolières (lots pétroliers et oléoduc Norperuano qui traverse le nord de l’Amazonie et les montagnes andines). En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82825
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°262 (septembre 2022) . - P. 20-26[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13816 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 13834 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]"Sans eau, il n’y a pas de vie" : Les rivières de l’Amazonie bolivienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 32-35
En Amazonie bolivienne, comme un "sang de la terre", la rivière Beni traverse le parc national Madidi, l’une des zones les plus riches en biodiversité de la planète, et la réserve Pilón Lajas. Or la rivière Beni est menacée par des projets de construction de méga barrages, en particulier Chepete et Bala, qui inonderaient une superficie plus grande que celle de La Paz, la capitale. Des études d’impact ont estimé que la construction des barrages, des routes et des lignes de transport d’électricité nécessiterait l’abattage de plus de 100 000 hectares de forêts dans ces réserves naturelles. La création des immenses lagunes artificielles nécessaires à la rétention d'eau forcerait l’expulsion des populations autochtones et des communautés paysannes riveraines, en raison de la submersion des terres. Le cycle de l’eau de cet immense territoire, la biodiversité et la vie des communautés locales changeraient radicalement. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf
[article]
Titre : "Sans eau, il n’y a pas de vie" : Les rivières de l’Amazonie bolivienne Type de document : document électronique Auteurs : Julia BLAGNY Année de publication : 2022 Article en page(s) : P. 32-35 Note générale : L'auteure est la réalisatrice du documentaire "Le sang de la Bolivie, des Andes à l’Amazonie". Notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accès à l'eau ; Barrage ; Droit des peuples ; Énergie hydroélectrique ; Infrastructure ; Peuple autochtone ; Projet de développement ; Réserve naturelle
Thésaurus Géographique
Amazonie ; BolivieRésumé : En Amazonie bolivienne, comme un "sang de la terre", la rivière Beni traverse le parc national Madidi, l’une des zones les plus riches en biodiversité de la planète, et la réserve Pilón Lajas. Or la rivière Beni est menacée par des projets de construction de méga barrages, en particulier Chepete et Bala, qui inonderaient une superficie plus grande que celle de La Paz, la capitale. Des études d’impact ont estimé que la construction des barrages, des routes et des lignes de transport d’électricité nécessiterait l’abattage de plus de 100 000 hectares de forêts dans ces réserves naturelles. La création des immenses lagunes artificielles nécessaires à la rétention d'eau forcerait l’expulsion des populations autochtones et des communautés paysannes riveraines, en raison de la submersion des terres. Le cycle de l’eau de cet immense territoire, la biodiversité et la vie des communautés locales changeraient radicalement. En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82827
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°262 (septembre 2022) . - P. 32-35[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13816 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 13834 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]The violence of Brazil's 'wildcat' gold mining YE'KUANA, Mauricio - In : NEW INTERNATIONALIST, September-October 2022 (01/09/2022), N°539,
Le chef autochtone brésilien Mauricio Ye'kuana œuvre à la protection des communautés yanomani et ye'kuana en Amazonie brésilienne. Le territoire des Yanomamis couvre une superficie de 9,6 millions d'hectares (équivalente au Portugal), dans l'État de Roraima, au nord du Brésil. Depuis les années 1980, l'orpaillage illégal est en plein essor, avec une croissance exponentielle et incontrôlée depuis l'an 2000. La pandémie de Covid-19 a généré une explosion de l'activité aurifère, en particulier des "mineurs sauvages" qui installent des petits campements en Amazonie, parfois indépendants mais de plus en plus sponsorisés par des hommes d'affaires, des politiciens véreux et des entreprises brésiliens. Rien qu'en 2021, la surface cumulée de forêt détruite par l'orpaillage illégal dépasse les 3 000 hectares. Dans un entretien avec Graeme Green, l'activiste Mauricio Ye’kuana livre son témoignage sur la lutte inégale et dangereuse des populations autochtones contre les orpailleurs pour protéger leur territoire. https://newint.org/features/2022/08/08/violence-of-Brazils-wildcat-gold-mining-mauricio-yekuana
[article]
Titre : The violence of Brazil's 'wildcat' gold mining Titre original : La violence de l'orpaillage "sauvage" au Brésil Type de document : document électronique Auteurs : Graeme GREEN, Intervieweur ; Mauricio YE'KUANA, Personne interviewée Année de publication : 2022 Note générale : Une photographie intitulée : Mauricio Ye’kuana, chef autochtone yanomami et trésorier de l'association Hutukara Yanomami Association (HYA). Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accaparement de terres ; Conflit ; Droit des peuples ; Économie criminelle ; Industrie extractive ; Or ; Peuple autochtone ; Violence
Thésaurus Géographique
Amazonie ; BrésilRésumé : Le chef autochtone brésilien Mauricio Ye'kuana œuvre à la protection des communautés yanomani et ye'kuana en Amazonie brésilienne. Le territoire des Yanomamis couvre une superficie de 9,6 millions d'hectares (équivalente au Portugal), dans l'État de Roraima, au nord du Brésil. Depuis les années 1980, l'orpaillage illégal est en plein essor, avec une croissance exponentielle et incontrôlée depuis l'an 2000. La pandémie de Covid-19 a généré une explosion de l'activité aurifère, en particulier des "mineurs sauvages" qui installent des petits campements en Amazonie, parfois indépendants mais de plus en plus sponsorisés par des hommes d'affaires, des politiciens véreux et des entreprises brésiliens. Rien qu'en 2021, la surface cumulée de forêt détruite par l'orpaillage illégal dépasse les 3 000 hectares. Dans un entretien avec Graeme Green, l'activiste Mauricio Ye’kuana livre son témoignage sur la lutte inégale et dangereuse des populations autochtones contre les orpailleurs pour protéger leur territoire. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien En ligne : https://newint.org/features/2022/08/08/violence-of-Brazils-wildcat-gold-mining-m [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82506
in NEW INTERNATIONALIST > N°539 (September-October 2022)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 53644 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 54559 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Réflexions sur la gestion environnementale des unités de conservation dans l’État d’Amapá LEITAO DRUMMOND, José Augusto - In : CONFINS, 2022/2 (01/07/2022), N°55,
L'Amapá est l’État brésilien dont la plus grande partie du territoire se trouve en aire protégée, en particulier sous la typologie des unités de conservation. Cet article aborde les spécificités de ces zones protégées, en fonction des caractéristiques de leurs gestion et traitement, puis analyse la gestion particulière des aires protégées de l'Amapá. Les unités de conservation dans l’Amapá présentent des spécificités qui limitent les objectifs de préservation et de conservation de la nature : difficultés d’élaboration et d’approbation des plans de gestion ; adversités dans les processus liés aux enjeux fonciers, qui fragilisent territorialement les unités ; problèmes liés à la dégradation de l’environnement (déforestation, agriculture et pêche prédatrices). https://journals.openedition.org/confins/45757
Permalink[article]Ontologies de la terre et activités extractives - In : REVUE INTERNATIONALE DES ETUDES DU DEVELOPPEMENT, 2022-2 (15/06/2022), N°249, P; 89-120
La hausse vertigineuse de son prix a provoqué une nouvelle ruée vers l'or en Amazonie brésilienne. Cet orpaillage artisanal et aventureux (garimpo en brésilien) endommage gravement le territoire du peuple autochtone des Yanomami, malgré les droits qui leur sont reconnus par la Constitution de 1988. Après un bref historique de l'exploitation coloniale de la forêt amazonienne, cet article explore les différents statuts juridiques de la TIY (Terre indigène des Yanomami) et la manière de penser le rapport homme-terre par les autochtones. Leur philosophie de l'être est radicalement opposée à toute exploitation extractiviste de leur terre.
PermalinkN°261 - juin 2022 - Les territoires en lutte contre les monocultures d'arbres, les méga-barrages et les aires protégées (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales)
Permalink[article]L’açaí dans le contexte du territoire et de la territorialité riveraine en Amazonie brésilienne CHAVES BRITO, Daguinete Maria - In : CONFINS, 2022/1 (01/03/2022), N°54,
L'objectif de ce travail de recherche est de montrer comment l'açaí agit comme facteur d'autonomisation socio-économique de l'Amazonie brésilienne et des territoires riverains. À travers l'appropriation des fruits, leur culture et leur commercialisation, les auteures expliquent comment se créent les territorialités. Leur enquête a mis en lumière la dynamique de l'açaí au sein des communautés riveraines par la création d'échanges puis de liens renforcés à la fois par les éléments matériels et immatériels reproduits quotidiennement, ce qui génère un pouvoir économique et social sur le territoire. https://journals.openedition.org/confins/44303
Permalink[article]Analyse de l’activité néo-extractiviste d’orpaillage dans l’État de l’Amapá (2000-2020) DHENIN, Miguel Patrice Philippe - In : CONFINS, 2022/1 (01/03/2022), N°54,
Au Brésil, l'extraction des ressources naturelles du sous-sol a longtemps été considérée comme un mécanisme indispensable de croissance économique. Or, depuis quelques années, les responsables écologistes dénoncent les impacts environnementaux et sociaux de cet extractivisme (ralentissement du développement local, risques sanitaires et sociaux pour les travailleur·ses, dégradation de l'environnement). L'objectif de cet article est d'analyser les impacts de l'activité minière néo-extractive dans l'état de l'Amapá, en particulier l'extraction de l'or. L'analyse est orientée sur plusieurs projets existants, soit par exploitation légale (sociétés minières), soit par exploitation illégale (petites mines artisanales et orpaillage). les impacts socio-environnementaux découlant de l'activité néo-extractive de l'or favorisent la déforestation des aires protégées et des territoires autochtones, notamment en raison de l'exploitation minière illégale qui traverse les frontières de l'État de l’Amapá (Guyane française et Suriname). À la dégradation du biome amazonien s'ajoute l'accaparement de terres, la création de pistes, ce qui accélère la destruction du mode de vie des populations autochtones. https://journals.openedition.org/confins/44899
Permalink[article]Le complexe du soja dans le nord du Mato Grosso (Brésil) : une perspective politico-écologique HUBER, Christoph - In : CONFINS, 2022/1 (01/03/2022), N°54,
Cet article traite de l'un des "grands" thèmes de recherche de l'écologie politique, à savoir la destruction des forêts et savanes tropicales pour les besoins de l'agriculture intensive. Sur la base de nombreuses années de recherche dans le nord du Mato Grosso (Brésil), les auteurs étudient l'évolution des relations homme-environnement, en abordant les configurations locales de la culture intensive du soja et leurs implications socio-écologiques, dans le cadre des échanges commerciaux mondiaux indispensables à l'économie brésilienne. https://journals.openedition.org/confins/44549
PermalinkN°260 - mars 2022 - Concessions foncières : une cause fondamentale de la déforestation (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / Joanna CABELLO
PermalinkN°54 - 2022/1 - Dossier spécial Brésil (Bulletin de CONFINS) / Sébastien VELUT
Permalink[outil pédagogique] : jeu Le jeu du loup-garou de l'Amazonie CCFD-Terre Solidaire (Comité catholique contre la faim et pour le développement-Terre Solidaire), - PARIS : COMITE CATHOLIQUE CONTRE LA FAIM ET POUR LE DEVELOPPEMENT (CCFD) TERRE SOLIDAIRE, 2022, Jeu de rôle (10 à 25 joueurs) ; 28 P.
Un village amazonien doit faire face à la disparition progressive de ses habitant·es, qui sont menacé·es par les « loups de l’agrobusiness ». Ce jeu permet de sensibiliser les participant⋅es au respect des droits humains et environnementaux en Amazonie, notamment les droits des autochtones, mais aussi d’identifier les causes de la déforestation et ses conséquences.
Public : Collège (11-14 ans);Lycée (15-17 ans);Enseignant / animateur;Adulte
https://ccfd-terresolidaire.org/wp-content/uploads/2022/03/Le-jeu-du-loup-garou-de-lAmazonie.pdf
PermalinkN°53 - 2021/4 - 2021, une "grosse" production (Bulletin de CONFINS) / Sébastien VELUT
Permalink[article]La fabrique des plantes globales : Une géographie de la mondialisation des végétaux d’Amazonie - In : CONFINS, 2021/4 (01/12/2021), N°53,
Loin d’être une région sauvage ou vierge, l’Amazonie constitue la fabrique des plantes globales. Cet article vise à en expliquer les mécanismes et à montrer que la globalisation des végétaux d’Amazonie repose sur un ensemble de processus socio-écologiques à l'œuvre dans le temps et l’espace, appelés strates de mondialisation qui, combinées, forment la globalisation des plantes. Ces strates s’articulent autour de filières marchandes globales, qui sont elles-mêmes alimentées par une logique extractiviste-capitaliste. La compréhension de la fabrique des plantes globales apparaît comme une condition nécessaire pour mettre en œuvre une répartition équitable des richesses issues de la biodiversité, dont les peuples amazoniens et la région n’ont que peu bénéficié. https://journals.openedition.org/confins/42850
Permalink[article]L’agrobusiness c'est le feu : accaparement des terres, déforestation et incendies en Amazonie, au Cerrado et au Pantanal DIAS, Barbara ; MOTOKI, Carolina ; PEREIRA SANTOS, Valéria - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre-octobre 2021 (01/09/2021), N°258, P. 18-21
Les incendies de forêt et la déforestation sont des instruments au service de l'accaparement des terres qui favorisent l'expansion agricole dans les territoires des communautés autochtones. En août 2019, de grands propriétaires terriens ont mis volontairement le feu à la forêt amazonienne brésilienne, dans la région Sud-Ouest de l'État du Pará. Depuis, la dévastation socio-environnementale ravage l'Amazonie brésilienne, avec l'autorisation tacite d'un gouvernement qui ment sur les causes et sur sa propre responsabilité. Pour comprendre la finalité des incendies de forêts au Brésil, l'article propose des clés de lecture, essentielles dans la coordination du mouvement Agro é Fogo (Agriculture et Feu), une coalition de mouvements sociaux, d'organisations et de commissions pastorales qui travaillent pour la défense des peuples de l'Amazonie, du Cerrado et du Pantanal. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-258_FR.pdf
PermalinkN°258 - septembre-octobre 2021 - Les communautés résistent à l’accaparement des terres et aux plantations d’arbres : Le sommet climatique de 2021 aggravera les deux (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / Joanna CABELLO
PermalinkN°30 - juin 2021 - Gunvor en Équateur : Les mains sales du négociant en pétrole (Bulletin de PUBLIC EYE - LE MAGAZINE) / Ariane BAHRI
Permalink[article]Paradoxes verts d’un pays amazonien - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 17-20
L'industrie du balsa est fortement implantée en Équateur mais elle a fini par épuiser les plantations d’arbres pour satisfaire les exportations massives vers la Chine. La suppression de l'impôt sur les énergies renouvelables en Chine a attisé la demande en bois de balsa, qui constitue un intrant important des éoliennes. En plus des plantations d’arbres de balsa établies, la très forte demande chinoise a poussé les producteur·rices de l'Amazonie équatorienne à s’approvisionner en sources forestières, ce qui a repoussé la frontière des plantations jusqu'aux zones de végétation naturelles et jusqu'à des fermes paysannes vivant de l'agroforesterie. Cette ruée a augmenté non seulement la déforestation du balsa, mais aussi d’autres essences de bois commercialisées illégalement, ce qui menace les terres des populations amazoniennes et, par conséquent, leur autosuffisance alimentaire. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf
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