Détail de l'auteur
Documents disponibles écrits par cet auteur (8)
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
[texte imprimé]Hommage à Léo Matarasso : Séminaire sur le droit des peuples CEDETIM (Centre d'études et d'initiatives de solidarité internationale), LIDLIP (Ligue internationale pour les droits et la libération des peuples) - PARIS : L'HARMATTAN, 2004/05, 109 P.
Cet ouvrage a été édité en hommage à Léo Matarasso, juriste de renom, qui a mis sa compétence au service des droits des peuples et des droits de l'homme. Il avait fondé, avec Lélio Basso, le Tribunal permanent des peuples (TPP) qui a œuvré dans toutes les grandes causes (Algérie, Vietnam, Palestine, Nicaragua). Il a, en particulier, travaillé à la Déclaration d'Alger sur les droits des peuples, document de base du Tribunal des peuples. Il a aussi été présent dans la défense des droits économiques, sociaux et culturels, en particulier contre le néolibéralisme porté par les grandes structures internationales : Banque mondiale, FMI, G7.
Le "Contre Sommet" est essentiellement constitué de notices et de témoignages sur les sept peuples indiqués. Dans chaque cas sont évoqués les problèmes fondamentaux du développement, les handicaps rencontrés notamment du fait des groupes dominants et les espoirs qu'on peut formuler.
Le "Sommet" se veut une opposition symbolique au Sommet des 7 pays les plus riches. Un militant de chacun des 7 pays pauvres évoque successivement quelques aspects de son activité et de sa lutte pour la libération du groupe auquel il appartient (femmes du Bengladesh, Indiens d'Amazonie au Brésil, etc). Les différents aspects de la "moderne pauvreté" sont mis en valeur.
Cet ouvrage analyse la transformation des conditions géopolitiques après la décolonisation et l'indépendance des jeunes États. Il analyse également la nouvelle politique étrangère nord-américaine, la stratégie soviétique, le danger de guerre mondiale, la construction européenne, les nombreuses modifications internes au Tiers Monde. Le non-alignement ne peut se pratiquer qu'en rejetant à la fois les suprématies américaine et soviétique, ce qui pose la question de l'avenir de l'Europe.
Cette analyse ne se limite pas à la seule approche économique (réforme agraire, industrialisation accélérée du pays, rapports avec les pays occidentaux). Elle s'efforce aussi de comprendre pourquoi et comment un Etat fort s'est mis en place et pose ainsi le problème du pouvoir : comment s'exerce-t-il ? Qui le détient ? Elle précise l'attitude des différentes classes sociales vis-à-vis de l'Etat, le rôle du syndicat et du parti. Elle tente d'évaluer la portée des luttes populaires et les divisions qui affectent la classe dirigeante.
Ce large panorama est complété par l'étude de la condition des femmes, de la bureaucratie, de l'émigration vue côté algérien, de l'islam et du nationalisme.
Toutes ces questions sont abordées sous forme de débat ouvert.
[texte imprimé]L'impérialisme français CEDETIM (Centre d'études et d'initiatives de solidarité internationale), - PARIS : MASPERO, 1980, 248 P.
L'impérialisme d'un pays capitalistique, ici la France, désigne les formes de domination politique, économique, culturelle et de coopération exercées par l'État français sur les pays situés dans sa sphère d'influence issue de la colonisation et de la période postcoloniale. Le CEDETIM revient d'abord sur l'histoire de l'impérialisme français directement liée à l'histoire du colonialisme français, avant d'aborder la thématique de la coopération décentralisée aux enjeux ambigus et de terminer par la coopération militaire et les ventes d'armes aux pays des anciennes colonies françaises les plus fragiles.
Cet ouvrage analyse la lutte de libération des anciennes colonies portugaises et en particulier de l'Angola. Il trace d'abord un long historique du pays, puis décrit la colonisation capitaliste. Ensuite, il décrit la lutte de libération sous l'égide du MPLA, avec la péripétie de l'UNITA, et l'indépendance en août 1974. Il détaille ensuite la situation de l'indépendance et le rôle de l'Angola par rapport aux pays de l'apartheid.
Fruit de discussions avec des militants immigrés et d'une collaboration avec leurs organisations militantes, ce livre d'histoire et d'analyse traite des luttes propres des travailleurs immigrés en rapport avec leur pays d'origine ainsi que de leur participation à la lutte des classes en France. La première partie cherche à situer l'immigration dans l'économie française et les stratégies capitalistes et à résumer les grandes orientations des luttes des travailleurs immigrés. La deuxième partie détaille l'histoire des principales immigrations (polonaise, espagnole, algérienne, tunisienne, marocaine, yougoslave, portugaise, antillaise, guyanaise et réunionnaise, immigration d'Afrique noire). La troisième partie caractérise les luttes sociales dans l'immigration, donne des exemples de luttes et évoque les nouvelles formes d'action nées dans les années 1970.
