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| 28404 | CM Revue Internationale N°231 | autres textes imprimés | 34 - CDTM (Montpellier) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier[article]"Courtoisie routière" à Kinshasa et Lumumbashi : un instrument politique pour le maintien de l'ordre public - In : REVUE INTERNATIONALE DES ETUDES DU DEVELOPPEMENT, 2017-3 (05/10/2017), N°231, P. 9-32
Dans les villes congolaises, la courtoisie routière désigne en fait la période au cours de laquelle les autorités publiques interdisent aux policiers d'arrêter les automobilistes. La "petite corruption" de la police est tolérée, cela fait partie de l'ordre social local. Les autorités interviennent lorsque la rupture de l'entente entre policiers et automobilistes menace l'ordre public.
Au Cameroun, plusieurs dispositions juridiques encadrent l'expropriation pour cause d'utilité publique et imposent des compensations pour les personnes affectées. Pourtant, les victimes peu conscientes de leurs droits sont souvent spoliées sans aucun recours.
La notion de résilience, très à la mode à propos de la psychologie individuelle, est ici appliquée dans le champ social du développement, plus particulièrement en Afrique de l'Ouest sur les dynamiques des systèmes pastoraux sahéliens. On peut craindre que la résilience ne soit qu'un avatar de l'ancienne compassion et ne justifie l'abandon de l'aide au développement au secteur privé, dans une perspective néolibérale.
Cet article étudie le cas du Nord-Vietnam post-communiste en plein processus de rattrapage urbain. Plusieurs cas étudiés dans le delta du Fleuve Rouge présentent les contradictions spatiales et la dégradation environnementale de communes qui sont encore administrées comme des espaces ruraux alors qu'elles sont en voie d'urbanisation.
Cet article participe au débat sur le rôle et la légitimité des entreprises privées en tant qu'acteurs de développement local, à partir de l'analyse de leurs initiatives contre le VIH/sida en Côte d'Ivoire. Trente entreprises de santé ont été enquêtées. Elles ne sont pas des acteurs de la santé publique au même titre que les autres si l'on prend en compte la protection des droits humains et l'équité dans l'accès à la santé.
