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[texte imprimé]Agir pour le changement F3E (Fonds pour la promotion des études préalables, études transversales et évaluations), COTA (Collectif d'échanges pour la technologie appropriée) - PARIS : FONDS POUR LA PROMOTION DES ETUDES PREALABLES, DES ETUDES TRANSVERSALES ET EVALUATIONS (F3E), 2014/04, 196 P.
Les acteurs de la solidarité et de la coopération internationale (ONG, collectivités territoriales...) accompagnent des dynamiques de changement, souvent inscrites dans le long terme: renforcement des capacités, concertation et gouvernance, sensibilisation, plaidoyer... Ces processus sont complexes, leur évolution est incertaine. Dans ces conditions, la planification et le suivi-évaluation sont très délicats. Des outils comme le cadre logique semblent insuffisants. Ce guide développe des repères pour accompagner un processus de changement. Il propose une approche pour concrétiser une vision politique, puis pour suivre et évaluer l'impact d'une intervention de développement, en termes de changement social.
[texte imprimé]Gens du Sud : Récits d'innovations BOFANE, In Koli Jean, - BRUXELLES (BELGIQUE) : COULEUR LIVRES, 2010, 102 P.
Par de courts récits d'expériences innovantes en Afrique, Amérique latine et Asie, ce petit ouvrage réussit a donner une autre vision des pays dits du Sud que celle misérabiliste et défaitiste qui domine trop souvent dans les esprits.
[texte imprimé]Gens du Sud : Récits de résistances BOFANE, In Koli Jean, - BRUXELLES (BELGIQUE) : COULEUR LIVRES, 2010, 92 P.
Les acteurs de ces expériences, à travers trois continents, sont confrontés à des situations de conflits, à l'absence de services publics, à l'incurie des dirigeants. Devant l'adversité, ils tentent de se prendre en charge et d'améliorer leurs conditions d'existence. Ils s'organisent et trouvent eux-mêmes des solutions pour vivre plus dignement.
"La gestion des connaissances est une discipline qui vise à organiser les connaissances au sein d'une organisation. Depuis quelques années, le concept de gestion de la connaissance est couramment mis en œuvre avec plus ou moins de bonheur dans les entreprises et sociétés privées. A de rares exceptions près, principalement dans le monde anglo-saxon, le secteur associatif, dont les ONG de développement, est très peu familiarisé avec ce concept. Les ONG pourraient gagner à développer des systèmes de gestion des connaissances adaptées à leurs besoins spécifiques sans faire du copier coller au secteur privé". (D'après les notes de l'auteur).
[texte imprimé]La décentralisation en Afrique de l'Ouest : entre politique et développement TOTTÉ, Marc, DAHOU, Tarik ; BILLAZ, René - PARIS : KARTHALA, 2003, 403 P.
La mise en place de la décentralisation devait contrebalancer les tendances centralisatrices des Etats africains. Qu'en est-il réellement après une dizaine d'années qui ont vu naître massivement des collectivités locales et des structures paysannes fédérant aux niveaux national et régional des organisations locales de producteurs (OP) ? Pour y répondre, les ONG COTA et ENDA GRAF ont réuni différentes contributions qui analysent la difficile progression de l'autonomie politique et économique des populations. L'ensemble est réparti en trois parties. La première cherche à clarifier en termes généraux les enjeux et les concepts notamment en référence aux institutions internationales pour montrer les conséquences des "nouvelles règles du jeu" sur les collectivités locales et les organisations de producteurs (OP) confrontées aux contraintes du marché international. La seconde illustre les dynamiques d'affrontement et les pratiques locales d'arbitrage en particulier entre les hiérarchies "traditionnelles" et les nouvelles élites rurales ou urbaines. La troisième synthétise trois approches : les rapports entre l'Etat, les collectivités locales et les OP, la nature et les conditions de mise en oeuvre de la participation, la création et la gestion de nouvelles ressources au niveau des collectivités locales et des OP pour terminer.
Cet ouvrage présente le processus d'évaluation externe à travers des récits d'acteurs d'ONG du Nord principalement. Les témoignages recueillis permettent de questionner les pratiques et d'en tirer des enseignements.
[texte imprimé]Nord-Sud : se documenter et organiser une recherche GERADIN, Paul, SLUSE, Catherine ; ICHEC (Institut catholique des hautes études commerciales) ; COTA (Collectif d'échanges pour la technologie appropriée) ; FUCID (Fondation universitaire pour la coopération internationale au développement) - BRUXELLES (BELGIQUE) : COLLECTIF D'ECHANGES POUR LA TECHNOLOGIE APPROPRIEE (COTA), 2003/01, 74 P.
Cet ouvrage est un outil conçu pour un large public : enseignants, étudiants, chercheurs, praticiens de la coopération internationale et de l'éducation au développement, etc. Il servira de guide dans des recherches concernant tel ou tel aspect des relations nord-sud, qu'il s'agisse de développement, de relations mondiales, de régions ou de pays du Sud, de dimensions culturelles ou de coopération internationale. Il parcourt les grands types de sources, les thèmes fondamentaux du développement, les grandes régions du monde puis les lieux importants de la coopération internationale.
Depuis 1997, la lutte contre la pauvreté a été présentée comme une approche nouvelle de la coopération internationale lors de la conférence des Nations-Unies sur le financement du développement et comme une priorité. Le COTA a rassemblé, avec l'aide du consortium IDEeS, un référentiel sur la question. Le contenu du dossier est constitué d'articles de synthèse, de cadres d'analyse à travers une série de fiches et d'une bibliographie (sites internet et ouvrages du réseau SUDOC des ONG belges).
https://www.bretagne-solidaire.bzh/wp-content/uploads/sites/11/2019/09/HS6.pdf
Ce guide répond à l'inexpérience fréquente des ONG en matière d'évaluation et leur désarroi sur le "comment faire ?". Initialement conçu pour les ONG belges, il s’adresse plus largement aux ONGN (ONG du Nord) qui appuient des actions dans le Sud et souhaitent les évaluer. Il se veut donc un outil directement opérationnel en matière d’organisation et de suivi d’une évaluation, pour aider les ONG insuffisamment expérimentées à programmer, commanditer, suivre et utiliser l’évaluation de leurs actions au Sud, celle-ci étant réalisée par des évaluateurs externes à l’ONG. Aussi, ce guide est élaboré du point de vue des commanditaires de l’évaluation, c’est-à-dire l’ONGN et son partenaire du Sud.
http://ofarcy.net/documentation/HS2.pdf
[texte imprimé]Evaluation de la convention d'objectifs du GRDR intitulé : "Dispositif d'accompagnement pour le développement multilocal dans les régions d'origine des migrants Mali - Mauritanie - Sénégal" TOTTÉ, Marc, GOITA, Mamadou ; F3E (Fonds pour la promotion des études préalables, études transversales et évaluations) - BRUXELLES (BELGIQUE) : COLLECTIF D'ECHANGES POUR LA TECHNOLOGIE APPROPRIEE (COTA), 2001/01, 168 P.
Cette évaluation de la convention d'objectifs du GRDR (Groupe de Recherche et de Réalisations pour le Développement Rural) s'est déroulée dans trois zones du Bassin du fleuve Sénégal : Bakel au Sénégal, Sélibaly en Mauritanie et Kayes au Mali. La mission d'évaluation a porté en particulier sur trois actions du GRDR : - L'appui aux organisations de base (OB) à travers le FAIB (Fonds d'Appui aux initiatives de Base). - L'appui à des fédérations d'organisations appelées à terme à reprendre le rôle d'appui aux OB. - Le développement local.
https://www.yumpu.com/fr/document/read/49034461/evaluation-de-la-convention-dobjectifs-du-grdr-intitulace-f3e
"Plus qu'un concept, la "Microfinance" est un instrument financier, un véritable secteur d'activité professionnelle, une "industrie" de services à part entière qui s'adresse à ceux qui n'ont généralement pas accès au système bancaire traditionnel. Ce répertoire bibliographique propose une sélection de documents et de sites Internet classés selon une série de thèmes généraux ou techniques qui intéresseront praticiens chevronnés et débutants, ainsi que les études d'impact qui s'adressent davantage à ceux qui orientent des politiques ou des actions de développement". (Résumé de l'éditeur).
Cet ouvrage propose une réflexion sur ce qu'est la coopération décentralisée et ce qu'elle apporte de nouveau. Puis il présente des pistes pour monter des projets de coopération décentralisée, pour chercher des partenaires potentiels et des financements.
En 1988, la CEE instaurait à titre expérimental une nouvelle modalité de financement des actions de développement des organisations non gouvernementales (ONG) intitulée : "Appui financier aux activités d'une organisation de base située dans un PVD". Cette modalité consistait en un cofinancement par la CEE de 5O % du budget global annuel d'une organisation du Sud. Les appuis envisagés devaient également viser au renforcement de l'autonomie de ces organisations dans la perspective de leur fonctionnement autonome à moyen ou long terme. Ce rapport rend compte du travail d'évaluation et de réflexion réalisé après quatre années de fonctionnement de ce mécanisme sur la base des dossiers, de huit missions de terrain (quatre en Amérique latine et Caraïbes, trois en Afrique, une en Asie) et d'enquêtes auprès de vingt-cinq ONG de huit Etats membres de la CEE. Après avoir replacé l'évolution du secteur non gouvernemental de l'aide au développement dans une perspective historique, le rapport aborde les stratégies de renforcement et de financement du secteur non gouvernemental dans le Sud, puis dans le Nord, et examine brièvement trois mécanismes de financement du marché financier traditionnel. Le rapport comporte en conclusion des recommandations et pistes de réflexion à l'intention de la CEE.
Ce dossier s'adresse aux organisations non gouvernementales du Nord et du Sud et se veut un document d'orientation, chaque action de développement étant spécifique. Il s'appuie sur de nombreuses enquêtes menées auprès d'organismes de développement au Nord comme au Sud. Les orientations méthodologiques proposées sont structurées en fonction des quatre étapes classiques des opérations de développement : identification, programmation, suivi, évaluation. Chaque étape est traitée en deux parties : d'abord les "points de repères", les aspects auxquels il faut être attentif ; puis les outils et démarches méthodologiques. Le dernier chapitre est consacré aux acteurs, leur rôle, leurs relations réciproques.
Ce manuel a été conçu comme un outil d'information et de vulgarisation à l'adresse d'un public large de praticiens impliqués tant dans des actions ponctuelles visant à résoudre des problèmes nutritionnels spécifiques que dans des actions intégrées ou multi-sectorielles souvent mieux à même de générer les synergies résultant de la maîtrise de l'ensemble d'une filière se déroulant du producteur au consommateur.
L'objectif de ce séminaire est de sensibiliser l'opinion publique européenne aux problèmes de la drogue tels qu'ils se présentent dans les pays producteurs du Sud. Sont abordés également : la problématique des cultures de substitution, les propositions des acteurs du développement alternatif, ainsi que la crise des agricultures vivrières dans les pays du Sud.
Au niveau européen, la lutte contre la drogue est un nouveau domaine de collaboration entre les organisations non-gouvernementales de développement, la CEE et certains ministères. Il est nécessaire de pouvoir compter sur des partenaires valables dans les pays producteurs de coca pour travailler dans ce domaine délicat avec les paysans. Cependant il n'existe pas en Europe beaucoup d'informations sur le contexte de la production de coca en Bolivie, ni sur les expériences locales d'actions cherchant des alternatives, et d'autre part les organisations européennes ne disposent pas toujours d'espace et de temps nécessaires pour analyser la multitude des facteurs en jeu dans ce contexte.
"L'objet de cette étude est de décrire les démarches favorisant ou susceptibles de favoriser le développement des sociétés rurales du tiers monde. L'accent est mis, d'une part, sur les technologies utilisées actuellement par les sociétés rurales et leur potentiel d'amélioration et, d'autre part, sur les technologies nouvelles qu'elles peuvent intégrer dans leur processus de développement. Au moyen de nombreux exemples de projets, menés souvent par des ONG, nous présentons l'action de ces dernières dans le développement, les technologies anciennes et nouvelles, la mise au point d'innovations techniques et leur appropriation par le monde rural". Une approche thématique a été retenue pour donner à cette étude un caractère concret. Deux thèmes concernent l'utilisation et la préservation des ressources naturelles, deux autres traitent du secteur aval de l'agriculture, les trois derniers enfin concernent les infrastructures et les services de développement.
B-1000 Bruxelles
tél : +32 (2) 218 18 96
fax : +32 (2) 223 14 95
courriel : info@cota.be
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