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[texte imprimé]La biodiversité : comprendre pour mieux agir GUSTAVE, Marc, Les Petits Débrouillards ; CNRS (Centre national de la recherche scientifique) - PARIS : CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE (CNRS), 2011/01/18, 79 P.
Les chercheurs ont identifié 1.7 million d'espèces vivantes ; ils en découvrent toujours d'autres. Pourront-ils, un jour, les connaître toutes ? Pourquoi y en a-t-il tant ? Depuis quand ? Comment et où vivent-elles ? Pourquoi sont-elles si différentes ? Ces questions évoluent avec le temps ; elles se transforment grâce au travail des chercheurs : observations, données et interprétations nouvelles. Cet ouvrage permet de découvrir différentes facettes de la diversité biologique appelée aussi biodiversité. Les fiches invitent à agir.
En juillet 1996 a été créée la Communauté des pays de langue portugaise. Cet ouvrage présente un certain nombre de considérations qui ont été mises à jour à cette occasion. L'idée que la colonisation portugaise en Afrique a été exempte de racisme et s'est distinguée par un profond brassage des populations est largement admise. Le Brésil, creuset où cohabiteraient harmonieusement Noirs et Blancs (les Indiens ayant presque disparu), a été la terre natale de l'idéologie du métissage et du lusotropicalisme, sans doute parce que le Brésil ne pouvait se rattacher à aucune épopée comparable à celle des "libertadores" des républiques de l'Amérique espagnole. L'Afrique revendique une prise en compte de son passé colonial et de ses difficultés présentes ce qui l'amène à la notion de nation et à la place des créolités. Cet ouvrage s'attache donc à évaluer, voire à démystifier, le lusotropicalisme.
Ce dossier réunit des informations générales sur l'Afrique du Sud ; il fait le point sur l'état de la recherche et propose des extraits d'articles ou de publications récentes sur le pays.
Depuis la Conférence de Rio (1992), les scientifiques ont joué un rôle important pour faire prendre conscience que les activités humaines et un certain type de développement ont des conséquences parfois dramatiques sur l'environnement et les écosystèmes. En zone intertropicale (situées entre les tropiques du cancer et du capricorne), on trouve à la fois les régions les plus chaudes, les plus arrosées et les plus sèches de la planète. Les principaux écosystèmes sont la forêt tropicale humide, les savanes arborées et les savanes en steppes arbustives. On a pu y observer une dégradation très rapide du milieu naturel, dûe le plus souvent à la croissance démographique, au développement économique et aux activités humaines nécessitées par des besoins de survie.
Ces actes sont divisés en quatre parties (politique, économique, culturelle, et une dernière sur les études américanistes en Europe). Ce colloque tente de dresser un bilan de ces vingt-cinq dernières années de mutations de l'Amérique latine, depuis 1960 et la prise de pouvoir de Fidel Castro à La Havane, transformant l'Amérique latine en "patrie de la Révolution tiers-mondiste" jusqu'à la redécouverte des valeurs démocratiques dans les années 1980.
Dans le prolongement d'un séminaire sur le rôle des géographes dans la recherche tropicale (ouvrage paru en 1983 aux éditions de l'ORSTOM), cet ouvrage croise cette fois les lectures variées des sociétés rurales par les géographes et les agronomes : paysages, terroirs, structures agraires, pour les géographes ; facteurs techniques, processus de production, pour les agronomes. Des approches complémentaires qui conduisent à des interrogations réciproques.
Historiquement les intellectuels n'ont jamais refusé d'entrer au service de l'Etat mexicain et la Révolution, une fois passé le choc initial, les a confirmés dans cette conduite. L'élite culturelle ayant été compromise avec l'ancien régime, puis, plus gravement, avec le gouvernement du Général Huerta, la place était libre pour une nouvelle génération. La croissance de la population, de l'économie, de l'Etat a, depuis 1920, multiplié les occasions d'entrer dans le service public. Entre 1920 et 1980, en dépit de toutes les ruptures, la collaboration avec l'Etat caractérise la majorité des intellectuels. Ce n'est que récemment, et surtout après Tlateloclo (1968), que les intellectuels se sont divisés sur la question de travailler au service de l'Etat.
