Détail de l'éditeur
Documents disponibles chez cet éditeur (33)
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
[texte imprimé]Savoirs et développement rural CLAVEL, Danièle, - VERSAILLES : QUAE, 2011/03, 105 P.
L'auteur part du constat d'une situation préoccupante : la crise financière, la spéculation et le changement climatique qui font peser une menace de famine permanente. Les dispositifs d'aide alimentaire pour les pays du Sud ont été remis en question. Des paysans, des communautés agricoles, en Afrique et au Brésil, recherchent et proposent des actions innovantes et de nouveaux modes de développement.
L'utilisation de l'énergie animale est toujours d'actualité dans les pays en développement où les petits agriculteurs travaillent encore beaucoup à la main. En facilitant le travail du sol et les transports, les animaux de trait sont fort utiles et contribuent à la durabilité des systèmes mixtes agriculture-élevage. L'expérience permet de mieux utiliser les animaux et d'améliorer l'impact environnemental. Cet ouvrage est un manuel pratique destiné aux producteurs et agents de développement, mais aussi aux étudiants.
https://agritrop.cirad.fr/557532/1/ID557532.pdf
[texte imprimé]Comprendre l'agriculture familiale : Diagnostic des systèmes de production TOUZARD, Isabelle, FERRATON, Nicolas - WAGENINGEN (PAYS BAS) : CENTRE TECHNIQUE DE COOPERATION AGRICOLE ET RURALE (CTA), 2009/06, 123 P.
"Près de 1,4 milliard de personnes travaillent dans l'agriculture, dont 96 pour cent résident dans les pays du Sud. La plupart des exploitations agricoles de ces régions sont familiales et concentrent la majorité des pauvres de la planète. L'agriculture familiale est donc au cœur d'un formidable enjeu économique et social. Cet ouvrage est consacré à l'analyse et au diagnostic des systèmes de production, auxquels ont recours la majorité des travaux de terrain pour le développement agricole. Il propose une démarche et des outils permettant de décrire les choix et les pratiques des agriculteurs en matière de production et de commercialisation, d'en comprendre la cohérence et d'en identifier les moteurs techniques, économiques et sociaux". (Résumé de l'éditeur).
Cet ouvrage est une compilation d'expériences (récoltées via des interviews) pour évaluer l'impact des projets de développement lié à l'évaluation de l'information. Plutôt que défendre des théories particulières, promouvoir certaines pratiques ou fournir des solutions toutes faites, l'auteure propose 61 histoires vécues, afin de laisser libre l'interprétation. Certaines questions sont mises en lumière pour servir de référence, mais l'objectif d'évaluation de l'impact appartient à chacun (qui, quand, comment et pourquoi le faire), sachant que la thématique est un sujet sensible dans le secteur de la coopération internationale. Les questions abordées le plus souvent dans les témoignages sont : l'apprentissage, le contexte, la communication, les relations avec les bailleurs de fonds, les ressources, la planification. Arrivent ensuite les points suivants : les évaluateurs, les indicateurs, les méthodes et les outils, le feedback.
[texte imprimé]Des solutions adaptées pour l'assainissement , - WAGENINGEN (PAYS BAS) : CENTRE TECHNIQUE DE COOPERATION AGRICOLE ET RURALE (CTA), 2006, 68 P.
Des techniques de construction de toilettes et d'évacuation sont brièvement décrites avec des exemples d'innovations à faible coût pour la collecte, le transport, le traitement et la ré-utilisation des produits de l'assainissement. Elles constituent des solutions économiques et adaptées à divers contextes locaux. L'objectif est triple : la protection sanitaire, la diminution du risque environnemental et l'utilisation des effluents (compostage, biogaz).
https://www.pseau.org/outils/ouvrages/nwp_smart_sanitation_solutions_fr.pdf
Ce séminaire organisé par le CTA vise à favoriser "l'échange d'informations et d'expériences concernant le rôle des femmes dans le développement rural et mettre en lumière les possibilités et les défis actuels". La diversité des intervenants (représentants du secteur public, chercheur, agents de vulgarisation, ONG, entrepreneurs) a permis des échanges fructueux. Les interventions ont notamment fait ressortir les problèmes liés aux relations hommes-femmes, aux conséquences de l'analphabétisme et de la faible scolarisation. La synthèse est organisée en trois parties : la première traite de la situation économique des femmes dans l'agriculture et la société rurale en Afrique subsaharienne. Les réflexions touchent à la fois aux raisons qui affectent le bien-être des femmes et aux rôles traditionnels et actuels des femmes dans le développement agricole. La deuxième partie se penche sur l'intégration de la problématique hommes-femmes : rapports entre les sexes, statut juridique des femmes, facteurs de production. La troisième partie ouverte sur l'avenir s'intéresse au renforcement du rôle des femmes dans le développement par la promotion des activités génératrices de revenus. Une évolution qui passe par l'intégration des différences entre les sexes, une prise en compte de l'intégration hommes-femmes au niveau politique et l'accès aux facteurs de production.
[texte imprimé]La Reconnaissance du savoir rural : savoir des populations, recherche agricole et vulgarisation SCOONES, Ian, THOMPSON, John - WAGENINGEN (PAYS BAS) : CENTRE TECHNIQUE DE COOPERATION AGRICOLE ET RURALE (CTA), 1999, 474 P.
"Plus que de pauvreté, de ressources insuffisantes et d'incertitude dans un environnement fragile, ce dont souffrent les agriculteurs démunis des pays du Sud, c'est de ne pas être reconnus dans leur savoir, leur créativité et leurs potentialités, et finalement, dans leur existence même. Faisant suite à "Les paysans d'abord" qui préconisait une démarche participative fondée sur la prise en compte des expériences et du savoir des agriculteurs, cet ouvrage fait le point des nouveaux modèles de développement, des nouvelles méthodes de formation et des nouveaux processus induits par cette démarche qui bouleversait les conceptions classiques du développement basées sur le transfert de technologies. Si en effet de nombreux professionnels ont donné la priorité aux paysans et adopté une démarche participative, les changements de fond sont souvent plus difficiles à réaliser. Bien des scientifiques, des enseignants et des vulgarisateurs restent pris au piège d'institutions centralisées. Cet ouvrage convie donc à un nouveau professionnalisme dynamique qui ne craigne pas de "remettre en question, innover, prendre des risques (...), imaginer une nouvelle forme d'agriculture égalitaire et participative" afin de donner "la parole aux agriculteurs pauvres" et d'améliorer durablement leur vie et leurs moyens d'existence. Il intéressera toutes les personnes, techniciens, chercheurs, animateurs, vulgarisateurs..., travaillant dans les pays du Sud avec des agriculteurs pauvres". (Résumé de l'éditeur).
L'agriculture du Sud doit-elle être abandonnée au néo-libéralisme? Non, mais il faudrait enfin faire du développement agricole une démarche scrupuleuse et raisonnée. C'est-à-dire respectueuse des pratiques sociales et techniques, des interêts et des savoir-faire de ceux "dont on espère obtenir la participation active". Ce manuel, axé sur le pragmatique, "énonce et formalise un certain nombre de propositions méthodologiques pour que les projets de développement agricole soient conçus et mis en oeuvre en toute connaissance de cause, avec une vision claire des effets prévisibles".
Aujourd'hui, comment ne pas s'étonner du brusque regain d'intérêt que les réseaux d'échange d'informations suscitent ? Qu'entend-on, d'abord, par ce terme générique ? Existe-t-il différents types de réseaux ? Comment se sont-ils développés ? Quels avantages et inconvénients présentent-ils pour leurs utilisateurs ? Telles sont les questions soulevées dans cet ouvrage, essentiellement consacré, non seulement au rôle des réseaux dans divers types d'activités, notamment dans le cadre du développement agricole, mais aussi à l'exploitation des réseaux existants, aux objectifs, structures et fonctions définis par leurs utilisateurs. C'est pour épargner aux réseaux d'information une dénaturation pour cause de confusion, de stéréotypes ou de prétentions exagérées de la part de leurs partisans que cet ouvrage a été conçu et pour pouvoir ainsi mettre en évidence leurs points forts et leurs points faibles.
Cet ouvrage apporte l'expérience d'ILEIA, un réseau de quelque quatre mille membres (scientifiques, spécialistes du développement, agriculteurs...) qui s'efforcent de mettre au point une agriculture durable avec peu d'intrants externes. Il dresse un bilan de trois décennies de développement d'une culture intensive et de ses conséquences tant sur l'érosion des sols que sur la dépendance des zones agricoles vis-à-vis du commerce des intrants. A travers l'analyse de nombreux exemples, plus particulièrement dans les pays en développement, les auteurs tentent de définir d'autres conditions de développement qui tiennent compte des traditions, spécificités et ressources locales et de l'apport des biotechnologies, la recherche des solutions étant basée sur les méthodes du développement technologique participatif. Il s'agit de promouvoir l'adoption d'une agriculture durable qui produise plus de calories -ou au moins autant- qu'elle n'en consomme en intrants, ce qui est loin d'être le cas à l'heure actuelle.
Après une analyse critique de la fonction même de vulgarisation, l'auteur examine un certain nombre d'échecs de transferts de technologie dus à des recommandations techniques officielles inappropriées. Il leur oppose un système et des démarches liant directement les paysans aux scientifiques. Il propose sept types de structures possibles pour fournir conseils et services en matière d'agriculture, allant des services publics (ministères) aux services privés (sociétés commerciales) en passant par des institutions mixtes (organismes para-publics, coopératives, etc.). Pour l'auteur, il y a trois domaines -qu'il analyse successivement- dans lesquels la réalisation des objectifs de vulgarisation dépend des initiatives des gestionnaires : la coordination de l'aide dans un réseau interservice, la gestion interne du service et la participation des paysans. Mais celle-ci suppose que la vulgarisation ne se limite pas à la diffusion de technologies.
Cet ouvrage réunit des études provenant de chercheurs de toutes disciplines qui montrent que les agriculteurs sont des expérimentateurs permanents, qu'ils innovent et que leur contribution au développement de l'agriculture est de première importance, mais qu'elle est méconnue. Ils prônent un renversement dans les relations entre la recherche et les agriculteurs : il faut considérer que l'expérimentateur principal n'est pas le scientifique mais l'agriculteur.
Après la Conférence de Rio et dans la lignée de l'Agenda 21, la FAO ainsi que le CIRAD ont organisé en 1994, un séminaire ayant pour objectif la promotion des systèmes agricoles durables dans les pays de lAfrique soudano-sahélienne.
Ce séminaire, lieu de partages et d'échanges entre différents responsables du développement agricole, ONG, chercheurs et représentants des organisations internationales et régionales, a permis de préciser les enjeux, les engagements opérationnels, les thèmes necéssitant un approfondissemen ainsi que les expériences qu'il y a lieu de promouvoir.
Ont été examinées les interactions entre les systèmes agricoles et les différentes ressources mobilisées par ceux-ci, dans un contexte large constitué par des politiques économiques et des rapports sociaux au niveau du village et de la société globale. Les implications économiques et sociales de développement et de l'agriculture durable ont été examinées avec le plus grand soin.
Cet ouvrage s'adresse aux agents de vulgarisation. Il vise à améliorer les compétences de ces derniers. Il ne s'agit pas de leur transmettre des solutions toutes faites, mais de leur apporter des concepts, des stratégies et des méthodologies qu'ils devront adaptér à leur propre situation.
Les auteurs examinent d'abord le rôle que la vulgarisation peut jouer dans le développement agricole et le choix des objectifs d'un organisme de vulgarisation. Ils s'intéressent à la communication, instrument essentiel pour travailler avec les paysans, et aux aspects psychologiques et sociologiques des processus de groupe et de la vulgarisation individuelle. Les agents de vulgarisation doivent faciliter la communication entre les paysans, améliorer leurs connaissances et leurs aptitudes à prendre des décisions. Planification et évaluation des programmes de vulgarisation, participation paysanne et vulgarisation, gestion des organismes de vulgarisation constituent les trois derniers chapitres de ce livre écrit par quatre agronomes et sociologues.
L'enseignement décrit dans ce guide est la formation de promoteurs ruraux de santé animale dans un pays en voie de développement. Cette formation est la pierre angulaire de nombreux projets de développement que réalise VSF (Vétérinaires Sans Frontières). A partir d'une expérience au Guatémala, menée avec Sylvain Colmet Daage et Nathalie Frère, Jérôme Thonnat a essayé de dégager quelles pourraient être les grandes lignes d'un tel enseignement, d'en définir les bases générales. Il est clair que celles-ci devront être précisées et adaptées aux conditions spécifiques de la région où se réalise un tel projet. Ce guide n'a pas la prétention d'être un modèle, mais plutôt une base de réflexion à partir de laquelle pourra être bâti un enseignement plus pertinent.
La post-alphabétisation recouvre tout ce qui aide les gens à utiliser l'alphabétisation pour améliorer leur production, leurs ressources et tous les aspects de leur vie. Cet ouvrage vise à aider les alphabétiseurs qui travaillent dans le cadre de programmes de post-alphabétisation dans les régions agricoles d'Afrique occidentale. Il se concentre en particulier sur l'utilisation de l'alphabétisation dans la gestion de plans d'irrigation et de coopératives agricoles : comptabilité, tenue de registres, etc. Ce n'est pas un manuel d'enseignement. C'est un ensemble d'idées qui ont été conçues au cours de la réalisation d'un programme d'alphabétisation qui faisait partie d'un projet agricole de construction de plans d'irrigation pour la culture du riz et auquel l'auteur avait participé en 1987-88. Chaque section de l'ouvrage commence par une histoire. De nombreux dessins et schémas illustrent l'usage du matériel audio-visuel ou certaines explications.
Il reste de multiples raisons d'espérer, de lutter, malgré tous les maux, bien réels, qui accablent l'Afrique. C'est le constat de l'auteur après une série d'enquêtes menées auprés d'organisations non-gouvernementales, d'organismes de développement ou d'Etat, et limitée à l'alimentation et à l'environnement, domaines où se posent les problèmes les plus graves. Le grand intérêt de ces enquêtes est de proposer en exemple des projets de développement qui ont réussi. Mais aucune règle n'est systématique, et l'auteur s'efforce de dégager les raisons de ces succés. Pour lui, il faut réunir les conditions d'un changement radical. A long terme, c'est aussi le changement de l'ordre économique mondial qui pourra assurer un développement durable.
Cet ouvrage consacré à la canne à sucre et à sa culture expose les connaissances utiles à l'encadrement agricole et aux planteurs. Alors que la récolte de la canne à sucre est inséparable de son traitement industriel, il s'arrête volontairement à la livraison de la matière première. L'étude s'ordonne autour de quatre chapitres : des généralités, avec présentation et bref historique de la canne ; la canne à sucre et son environnement ; les techniques de culture ; les systèmes de culture.
Cet ouvrage présente et explique les principes et les méthodes de lutte contre les ravageurs spécifiques à l'Afrique et aux régions tropicales, notamment les insectes nuisibles aux cultures vivrières et maraîchères, afin de protéger les agricultures locales.
Ce manuel aborde tous les aspects de la transformation des produits agricoles suivants : manioc, cacao, noix de coco, café, arachide, maïs, huile de palme, sorgho, mil, soja, igname. Chaque produit est étudié à la lumière des méthodes de transformation traditionnelles. Les techniques, les équipements utilisés aussi bien que les propriétés physiques et chimiques des différents produits sont pris en considération. Les procédés de transformation modernes sont également passés en revue.
Agro Business Park 2
6708 PW Wageningen
tél : +31 (0)317 467 100
fax : +31 (0)317 460 067
courriel : info@cta.int
https://www.cta.int/fr/