Catégories
Documents disponibles dans cette catégorie (14)
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheEtendre la recherche sur niveau(x) vers le haut et vers le bas
[texte imprimé]Negrinha CAMUS, Jean-Christophe, TALLEC, Olivier - PARIS : GALLIMARD, 2009, 102 P.
La vie n'est pas facile quand on est noir au Brésil. Olinda en a fait la dure expérience. Elle vit en faisant le ménage chez les riches familles blanches de Rio et s'est juré que sa fille, blanche, ne vivrait pas ce qu'elle même a vécu. Cette bande dessinée nous fait découvrir la vie quotidienne à Rio, côté quartier riche et côté favela.
Près de la moitié de la population terrestre vit désormais dans des zones urbaines. Malheureusement une grande partie de ces citadins vivent dans des bidonvilles insalubres. Un des objectifs du millénaire du développement (OMD) cible cette tragédie en tentant d'améliorer la vie des personnes pauvres vivant en périphérie des villes. Mais cet objectif risque de ne pouvoir être réalisé, le nombre de mal logés augmentant d'année en année.
https://www.humanitarianlibrary.org/sites/default/files/2014/02/OCHAIRIN_TomorrowsCrisesToday.pdf
[texte imprimé]La politique des favelas GOIRAND, Camille, - PARIS : KARTHALA, 2001/01, 376 P.
Les favelas, construites de bric et de broc, abritent un tiers de la population de Rio de Janeiro. Ce fait est à la fois produit et facteur d'exclusion sociale. Entre insalubrité, marginalité et violence, la favela fascine, repousse ou terrorise. La police y fait des opérations musclées à la recherche de voleurs ou de trafiquants de drogue ; les associations et les églises tentent d'aider les pauvres ; les hommes politiques en campagne y voient un réservoir de voix. Depuis le retour de démocratie, dans les années 1980, les habitants des favelas se réunissent dans des organisations de quartier pour défendre leur droit à des conditions de vie meilleures, demander leur intégration sociale et imposer la reconnaissance de leur dignité.
[texte imprimé]Frederico, enfant du Brésil GOALEC, François, - JOUAC : PUBLICATION DE L'ECOLE MODERNE FRANÇAISE (PEMF), 2000, 19 P.
A travers la vie de Frédérico, 8 ans, l'ouvrage présente un tour d'horizon de la vie quotidienne au Brésil. Education, vie de famille, loisirs, faune, flore, plages et villes y sont décrits et illustrés par des photographies et une carte géographique.
Cet ouvrage décrit l'expérience d'une télévision pas comme les autres, proche des gens et de leurs préoccupations, à Nova Iguaçu (entre Rio et Sao Paulo) dans le quartier de Rancho Fundo où la misère, la pauvreté et la violence se côtoient. "TV Maxambomba" est une télévision de rue qui agit aux côtés des plus démunis, notamment en direction des autorités qui redoutent ses caméras. "TV Maxambomba" est impliquée au cœur de la vie du quartier, elle crée une animation autour de la projection de reportages qu'elle diffuse dans la rue. Les gens, nombreux, entre 5000 et 6000, se retrouvent pour échanger, partager et devenir acteurs. Ils se reconnaissent dans cette télévision où la caméra n'est plus ce regard indiscret mais une "amie" qui les réunit et les rapproche autour de la vie du quartier.
Au Brésil, à Rio de Janeiro, la misère pousse des milliers d'enfants dans la rue, à la merci des narcotrafiquants qui les enrôlent et les droguent, et des miliciens qui les assassinent (de 1991 à 1998, 5000 mineurs ont trouvé la mort). En 1978, parachuté au Brésil, le Père Renato Chiera, jeune prêtre italien commence à recueillir les enfants de la rue, les délinquants, les orphelins : toute la foule vulnérable des exclus. Il crée des maisons d'accueil, des crèches, des écoles...Les enfants sont placés dans des structures adaptées, sous la tutelle d'un père et d'une mère de substitution, aidés d'éducateurs et de psychologues.
Dans les années 1960, l'auteur était un jeune journaliste, membre actif de la guérilla urbaine à Rio de Janeiro, engagé dans la lutte contre la dictature militaire. Il décrit sans complaisance l'inorganisation de cette résistance, atomisée en de multiples groupuscules. Le moment culminant de son action a été de participer à l'enlèvement de l'ambassadeur des Etats-Unis ; pour le relâcher les guérilleros demandaient la publication de leur manifeste et la libération des prisonniers politiques. Dans ce livre-témoignage, il explique qu'il croyait alors que l'action d'une minorité lucide mettrait en marche la révolution.
Cet article présente une expérience d'assistance au droit et d'éducation civique, par l'associaton professionnelle des avocats brésiliens en association avec une ONG (IDAC) qui s'occupe d'éducation.
Seul pays sud-américain colonisé par le Portugal, le Brésil est passé d'une monarchie à une république puis a expérimenté le populisme, la dictature militaire, le retour à la démocratie. L'immigration, la grandeur et la décadence du café, la recherche d'indépendance économique, la recherche d'une identité nationale sont les thèmes sur lequel s'est ouvert le 20ème siècle brésilien. Cette nation appartenant aux pays industrialisés doit maintenant affronter les revers du "miracle brésilien".
Cet ouvrage est le deuxième d'une série de trois livres consacrés aux enfants de la rue dans trois mégapoles d'Amérique latine. Il est consacré essentiellement à Montevideo. L'analyse montre que les enfants observés à Montevideo ne sont pas des enfants de la rue, mais ont quitté leur famille et fugué des institutions. Ils ont une expérience de la rue plus ou moins longue, mais celle-ci n'est pas le centre de gravité de leur système identitaire. Ils circulent entre différents lieux (famille, école, atelier, institution, rue) dont aucun ne semble en mesure de les stabiliser. Par comparaison avec les enfants de Rio, on constate que la consommation de drogue n'a pas du tout le même rôle.
Le Sommet de la Terre a suscité de nombreux commentaires contradictoires, mais on ne pouvait attendre de cette conférence de Rio qu'elle règle tous les problèmes liés à l'environnement. Elle n'a été qu'un moment dans un processus qui doit se poursuivre et nécessitera encore beaucoup d'efforts. L'auteur témoigne ainsi de l'évènement auquel elle a pu assister et tente de rendre compte des questions abordées : la pauvreté, le transfert de technologie, le développement, l'environnement, la démocratie... Ce document n'est pas neutre mais souligne l'importance de cette conférence "qui marque incontestablement une étape dans l'émergence d'une société civile internationale fermement décidée à ne pas laisser les gouvernements décider seuls du présent et de l'avenir de la planète".
Cette publication entre dans le cadre du Programme de l'Unicef "L'enfant des villes". L'auteur est allé observer les enfants dans différentes grandes villes du Brésil, a étudié les programmes qui les concernent et rencontré des représentants des autorités locales et des organisations gouvernementales et non gouvernementales. La brochure décrit la vie dans les rues, montre les différentes stratégies adoptées pour que cela change, énumère les droits de l'enfant et détaille le programme de Goias.
Depuis les années 1960, la fréquence des catastrophes naturelles s'est accélérée et l'homme se trouve toujours vulnérable face aux déchaînements de la nature. Les Nations Unies ont fait de l'année 1990 l'année de lancement de la décennie internationale pour la réduction des catastrophes naturelles. La réduction des impacts des catastrophes naturelles sur le développement est une priorité pour les Nations Unies et pour la Banque Mondiale. Analyser la situation environnementale actuelle, les changements climatiques, trouver des idées pour réduire les risques de catastrophes naturelles ou réduire l'impact de ces phénomènes puis appliquer ces solutions sont les buts et se sont fixées les grandes instances du monde.
https://documents1.worldbank.org/curated/en/983581468764426698/pdf/multi-page.pdf
"Les plus grandes villes du monde seront latino-américaines à l'orée du XXIe siècle et pour longtemps. Ceci fait de l'Amérique latine le laboratoire d'une civilisation urbaine en train de s'inventer d'ores et déjà sans pouvoir disposer de modèle à imiter. Dans ce creuset se coule une classe moyenne qu'on ne connaît que fort mal, et dont la telenova donne une image fondamentale. La forte natalité comme le flux des migrants de province font croître aussi dans toutes ces villes les masses pauvres majoritaires, dont rien ne permet de dire qu'elles sont en marge de la société urbaine. Elles s'articulent au sein de celle-ci par des mouvements sociaux, des formes de participation, des associations, selon des manières très spécifiques que souvent manipulent des forces extérieures." Cet ouvrage rassemble les contributions d'urbanistes, historiens, géographes et écrivains sur huit villes latino-américaines.
