Détail de l'éditeur
Documents disponibles chez cet éditeur (6)
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[texte imprimé]Réflexions sur l'enjeu culturel du développement rural africain DEVEZE, Jean-Claude, - PARIS : CAISSE CENTRALE DE COOPERATION ECONOMIQUE (CCCE), 1992/04, 22 P.
A partir des concepts de "développement" et de "culture", des éléments de réflexion sur l'enjeu culturel du développement du monde rural africain sont proposés. Le premier point abordé est celui de l'intrusion du monde extérieur dans le développement rural : quelles critiques peut-on en faire ? quelles sont les difficultés de dialogue entre les acteurs du développement ? Et quelle est la place laissée aux Africains dans ce développement? Puis la réflexion porte sur l'affrontement entre la modernité et la culture traditionnelle et se termine par les limites des voies endogènes et exogènes du développement.
A l'occasion de son cinquantenaire en 1991, la Caisse centrale de coopération économique (l'actuelle Caisse française de développement) a cherché à retracer son évolution et sa capacité à s'adapter à des situations historiques très différentes. Elle a également cherché à exposer sa façon de concevoir et de pratiquer sa mission : l'aide au développement dans la diversité de ses aspects. Il en résulte dans cet ouvrage un découpage entre chapitres historiques proprement dits, textes dits "documentaires" (sur le fonctionnement de la Caisse), brèves notices sur onze projets et chapitres thématiques consacrés aux grandes orientations sectorielles de la Caisse. L'ensemble est découpé en six périodes.
Cette étude examine, à la lumière des statistiques disponibles pour les années 1980, c'est-à-dire, pour la plupart, des données jusqu'en 1988, si et comment l'appartenance à la zone franc a été un facteur favorable ou défavorable à l'ajustement structurel des économies, c'est-à-dire quel a été l'impact de la politique de change qui les a accompagnées. Elle s'appuie sur une étude comparative qui a porté sur la politique macro-économique mise en œuvre et sur les performances obtenues par les pays de la zone franc qui ont passé des accords d'ajustement avec le FMI et, à titre de comparaison, sur un échantillon de quatorze pays hors zone franc ayant eux aussi passé des accords d'ajustement avec le FMI (pays à dévaluation modérée et pays à forte dépréciation). Globalement, il apparaît moins de différence entre les performances des pays de la zone franc en ajustement et celles des pays africains à dévaluation modérée qu'entre celles de ces deux groupes de pays et celles des pays africains à forte dépréciation.
Cette étude examine les performances économiques de vingt-huit pays africains selon un double clivage : l'appartenance à une zone monétaire (douze pays de la zone franc) ou au contraire l'utilisation de la dépréciation de la monnaie comme instrument d'ajustement (les seize autres pays de l'échantillon).
La première partie -Performances comparées zone franc et hors zone franc- compare les résultats agrégés de chaque groupe de pays sans tenir compte du fait qu'ils aient suivi ou non des politiques d'ajustement. La seconde partie -Performances comparées, avec ou sans ajustement- vise à faire ressortir les effets de politiques d'ajustement sur les performances économiques, d'abord pour l'ensemble des pays considérés, puis de façon différenciée pour chacun des deux groupes, zone franc et hors zone franc.
Les Banques de développement agricole dans les pays d'Afrique subsaharienne sont peu décentralisées. Cela limite la possibilité de collecte de l'épargne de proximité et l'octroi de petits crédits. Il faut trouver d'autres approches pour toucher des publics jusqu'à présent non couverts. L'atelier de travail, dont cet ouvrage est le compte rendu, a pour but l'étude de deux projets pilotes d'approche participative testés l'un au Mali (les caisses villageoises d'épargne et de crédit autogérées), l'autre au Burkina Faso (la banque expérimentale de Banh).
Un des phénomènes les plus intéressants au cours de ces dernières années est l'apparition d'organisations paysannes non directement promues par des appareils étatiques, différentes des groupes dits "informels" ou "traditionnels". Ce document dresse un bref état de la situation en ce domaine. Il passe en revue les groupes dits informels ou traditionnels, les organisations nouvelles à initiative non étatique et, pour les formes de co-gestion organisation paysanne/société para-étatique, le cas des zones cotonnières, des aménagements hydro-agricoles et de l'élevage. Il propose ensuite quelques lignes directrices pour guider les politiques et les actions d'appui à ces organisations qu'il convient de considérer comme de véritables partenaires.
