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| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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| 13644 | CM Revue internationale du dévéloppement N°242 | autres textes imprimés | 34 - CDTM (Montpellier) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier[article]Care, inégalités et politiques aux Suds ARAUJO GUIMARAES, Nadya ; HIRATA, Helena - In : REVUE INTERNATIONALE DES ETUDES DU DEVELOPPEMENT, 2020-2 (15/06/2020), N°242, 190 P.
Ce dossier s'intéresse au développement des études du "care" dans les Suds. Le "care" est défini comme "ce que l'on fait dans l'intention d'apporter une réponse aux besoins des autres". Cette définition simple au premier abord est le fruit d'une histoire complexe, faite de discussions et de tensions. L'approche qui en est faite dans ce dossier s'appuie sur les travaux de C. Gilligan (2008) qui accordent de l'importance à la voix des acteurs ainsi qu'aux situations concrètes et aux relations entre les personnes.
Cette introduction fait la lumière sur certains aspects de l'organisation et de la production du care dans les pays dits "du Sud". Partant d'une définition large, trois thèmes centraux sont développés : le genre du care, les présences et les carences de l'Etat et les relations entre migrations et care. Ces thèmes sont sous-tendus par le rôle que joue le care sur les inégalités sociales et leur reproduction. De nombreux travaux élaborés dans les Suds permettent d'enrichir la connaissance du care et de ses schémas explicatifs.
Cet article examine le rôle-clé des femmes sud-africaines noires dans le soutien économique et pratique des ménages multigénérationnels dans lesquels elles vivent. Le soutien financier qu'elles apportent n'est pas nouveau mais depuis la disparition de l'apartheid les conditions sociales ont changé. Après avoir retracé cette évolution, l'auteure donne une explication théorique des mécanismes cachés de la reproduction sociale.
Cet article discute les stratégies de garde d'enfants des familles en Uruguay. L'étude porte sur trois générations de femmes et d'hommes en prenant en compte les pratiques et les représentations liées au genre. On pourrait supposer que le contexte actuel favorise une répartition plus équitable des tâches entre les hommes et les femmes, en réalité l'inégalité entre sexes persistent.
A partir des récits des travailleuses ivoiriennes du care en France, on entrevoit la complexité des relations spatiales et sociales qui se tissent dans la mondialisation. L'expérience de la violence sociale que rencontrent les migrantes leur permet de mieux organiser la lutte pour les droits des femmes en Côte d'Ivoire.
Cet article analyse la lutte des travailleuses domestiques au Brésil pour la reconnaissance sociale et politique de leur catégorie professionnelle. Elles se sont organisées en syndicats depuis 1936 et, en 2015, elles ont obtenu une loi leur accordant certains des droits fondamentaux du travail garantis constitutionnellement.
