Résumé : |
Depuis le début de la violence en Algérie, près de 50 journalistes sont morts assassinés, victimes du terrorisme et de leur profession "un métier à haut risque". Ils sont le symbole de ce qui reste de pluralisme en Algérie. Quand tous les intellectuels se taisent, il leur est demandé de remplir le vide politique. La société algérienne demande trop à ses journalistes ; la presse est devenue le seul lieu de parole. Les journalistes sont à la fois historiens, témoins de leur temps, sociologues d'un drame et militants de leur cause. |