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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[document électronique]10 things to know about refugees and displacement COSGRAVE, John, CRAWFORD, Nicholas - LONDRES (ROYAUME UNI) : HUMANITARIAN POLICY GROUP (HPG), 2016/12, 12 P.
Plus de 65 millions de personnes dans le monde sont réfugiées ou déplacées. La plupart le sont depuis des années. Mais beaucoup d’idées fausses et d’incompréhensions demeurent sur la durée des déplacements, les lieux de déplacements et les meilleurs moyens de leur venir en aide. Ce document apporte des éclaircissements sur dix aspects important de la question des réfugiés et des déplacements.
Public :
https://cdn.odi.org/media/documents/11168.pdf
[texte imprimé]Evaluation of Humananitarian Action Guide BUCHANAN-SMITH, Margie, COSGRAVE, John - LONDRES (ROYAUME UNI) : ACTIVE LEARNING NETWORK FOR ACCOUNTABILITY AND PERFORMANCE IN HUMANITARIAN ACTION (ALNAP), 2016, 429 P.
"Avant toute chose, les évaluations de l’action humanitaire coûtent de l’argent qui aurait pu être utilisé pour éviter des décès ou réduire des souffrances. Cet argent est bien dépensé s’il amène des améliorations au sein de l’action humanitaire, mais cela ne sera le cas que si les conclusions des évaluations sont de qualité et utilisées (Hallam et Bonino, 2013). Une évaluation ne doit pas être une activité "autonome" mais faire partie des efforts réalisés par une organisation pour rendre des comptes sur son travail et pour apprendre. Ce guide vise à appuyer les évaluations de qualité qui contribuent à de meilleurs résultats en fournissant les meilleures données probantes disponibles sur ce qui fonctionne bien, ou non, et pourquoi". (D'après la présentation de l'auteur).
Les évaluations de l’action humanitaire ont un coût économique mais cet investissement est utile s'il permet d'éviter des décès ou de réduire des souffrances humaines. Autrement dit, cet argent est bien dépensé s’il génère des améliorations dans l’action humanitaire et à condition que les conclusions des évaluations soient de qualité, correctement interprétées et utilisées. L'évaluation d'une action humanitaire ne doit pas être une activité "autonome", mais faire partie intégrante des procédures mises en œuvre par une organisation pour rendre des comptes sur son travail et pour apprendre de ses expériences (bonnes ou mauvaises). Ce guide vise à appuyer une démarche de qualité pour réaliser des évaluations qui contribuent à de meilleurs résultats, en fournissant une méthodologie probante sur ce qui fonctionne bien, ou non, et pourquoi.
https://www.alnap.org/system/files/content/resource/files/main/fr-alnap-eha-guide-2016.pdf
[document électronique]Evaluation de l'action humanitaire BUCHANAN-SMITH, Margie, COSGRAVE, John - LONDRES (ROYAUME UNI) : ACTIVE LEARNING NETWORK FOR ACCOUNTABILITY AND PERFORMANCE IN HUMANITARIAN ACTION (ALNAP), 2013/03, 238 P.
Ce guide-pilote veut fournir une aide aux spécialistes et non-spécialistes de l’évaluation, en proposant un accompagnement vers des évaluations de haute performance, afin d'améliorer l'action, d'en rendre compte et d'en tirer un référentiel en vue des expériences futures. Il détaille les étapes de la méthodologie d'évaluation de l'action humanitaire (EAH) à l'aide de nombreuses figures, depuis la conception du plan d'évaluation jusqu'à sa diffusion, en passant par sa planification et sa mise en œuvre. Il contient des exemples tirés d’expériences réelles, des astuces pratiques, des définitions et des conseils étape par étape sur des éléments spécifiques des évaluations à différentes phases du processus.
Public :
https://www.alnap.org/system/files/content/resource/files/main/eha-pilot-alnap-2013-fr.pdf
Cet ouvrage fournit une liste de documents et une bibliographie relative au lien urgence-réhabilitation-développement (LRRD), concernant plus spécifiquement le tsunami qui a touché les côtes bordant l'Océan Indien en 2004. Les références citées furent utilisées lors de l'évaluation d'aide des actions menées après le tsunami, entre 2005 et 2006; elles permettent également de préparer la deuxième évaluation tsunami de 2008 et autres recherches ayant pour thème le LRRD.
La commission d'évaluation du tsunami (TEC) est composée de multiples acteurs travaillant dans l'apprentissage et la "redevabilité " dans le secteur humanitaire, sa mission est d'évaluer les apports de l'aide fournie par les bailleurs et les ONG après le tremblement de terre de février 2005 et le tsunami du 26 décembre 2004 qui ont eu lieu dans cette région.
https://www.alnap.org/system/files/content/resource/files/main/Syn_Report_Sum.pdf
Le tsunami du 26 décembre 2004 toucha 14 pays de l'Océan Indien, déjà fragilisés économiquement, au niveau environnementale et sociologiquement. Cette catastrophe naturelle fit environ 227 000 morts et 1,7 millions de déplacés. La générosité de nombreux donateurs permis d'amasser 13,5 milliards de dollars alors que les dégâts s'élevaient à 9,9 milliards de dollars. Cet argent sert encore à reconstruire ces pays et de monter des programmes pour qu'une telle catastrophe ne puisse se renouveler. De nombreuses actions furent donc mener dans tous ces pays, la plupart menée par des ONG. Mais la gestion des dons et des projets de réhabilitation a connu de nombreuses contraintes telles que la corruption, les décisions peu judicieuses des politiques ou décisionnaire. Une évaluation des projets menés fut donc nécessaire pour voir si l'argent fut bien distribué, si des erreurs de gestion ne furent pas causées, si la reconstruction se mène à bien pour que de tels incidents ne puissent se reproduire. L'évaluation, effectuée par un regroupement d'organisme travaillant dans le secteur humanitaire, porte sur cinq grandes thématiques: la coordination de la réponse internationale, le rôle de l'estimation des besoins dans la réponse au tsunami, l'impact de cette réponse sur les capacités locales et nationales, le lien entre l'urgence, la réhabilitation et le développement et la réponse financière au tsunami.
