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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[texte imprimé]Actes de la Conférence sur un développement industriel écologiquement durable , - VIENNE (AUTRICHE) : ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL (ONUDI), 1992/03, 302 P.
L'ONUDI a convoqué cette conférence en prélude à la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement (Rio, juin 1992) comme un moyen de faire en sorte que l'industrie soit inscrite à l'ordre du jour du débat sur la transition de la planète vers un développement durable. Elle avait pour objectifs de préciser les questions qu'un développement industriel écologiquement durable soulève dans tous les pays, en particulier les pays en développement, de faire des suggestions sur le rôle que les pouvoirs publics, les organisations internationales, l'industrie et les organisations non gouvernementales jouent à cet égard et sur celui de l'ONUDI et d'établir un document à l'intention de la Conférence de Rio.
Ce document, dont la préparation a été décidée lors d'une conférence organisée par les Nations Unies à New-York en 8 février 1992, présente l'apport des biotechnologies en matière de développement durable. Après avoir donné une définition des biotechnologies et de la notion de développement durable, l'auteur analyse leurs domaines d'application et souligne le rôle joué par les différents organismes internationaux dépendants des Nations Unies, ainsi que par les ONG aux niveaux national, régional et international qui contribuent à la diffusion, aux financements, à l'adaptation des biotechnologies propices au développement durable.
En mars 1990, le gouvernement éthiopien annonçait une série de réformes économiques radicales qui devrait disloquer la politique de planification centralisée conduite depuis 1976. Les forces du marché devront jouer leur rôle mais ce changement sera long et difficile.
L'industrie de la canne en Asie concentre plus de la moitié de l'effectif mondial des établissements sucriers : environ un millier de sucreries et dix mille ateliers de sucre non-centrifugé. Il faut y ajouter quelque trente raffineries de sucre au Japon, Corée, Malaisie, Vietnam et Singapour. Une soixantaine de sucreries sont en construction en 1991 : en Inde, au Pakistan, en Indonésie et en Chine. La production cherche d'abord à répondre à la demande de ces pays qui double tous les quinze ans, même si des pays comme la Thaïlande, deuxième ou troisième pays exportateur mondial, ont une claire vocation exportatrice.
Cette étude aborde successivement : l'environnement économique et financier des entreprises africaines; la classification des PME-PMI; les difficultés rencontrées sur le cycle d'investissement et sur le cycle d'exploitation; la gestion et le coût du risque; les conséquences entre les taux d'intérêt accordés et les taux d'inflation; l'effet pervers de la fiscalité; l'intervention de l'Etat; la formation des chefs d'entreprise.
Pour se redresser l'industrie du Costa Rica doit pouvoir bénéficier d'un climat économique et politique stable qui permet d'attirer les investissements. Elle doit acquérir de bonnes capacités d'organisation et une meilleure technologie.
Le gouvernement tanzanien envisage sérieusement la privatisation comme moyen de stimuler l'industrie et l'agriculture. La mise en oeuvre des politiques de libéralisation et de privatisation pose des difficultés particulières. Certaines conditions sont nécessaires pour mobiliser le secteur privé : réorienter l'action des organismes de financement du développement, fournir un appui financier, encourager les investissements, mettre en valeur les ressources humaines, fournir des informations sur la taille et la nature du secteur privé et enfin, élaborer des stratégies et des politiques concrètes destinées à favoriser le processus de privatisation.
Le potentiel extraordinaire de l'aegyptiaca balanites pourrait aider à développer un nouveau type d'industrie agroalimentaire au Soudan.
Ce rapport analyse 110 projets à travers 5 thèmes : les sources de financement, la répartition géographique des projets, leur montant, les fonctions primaires et les secteurs, sous-secteurs et domaines industriels.
En 1989, le gouvernement camerounais a accepté le plan pour l'industrialisation préparé par l'ONUDI.
L'étude montre que de nombreux pays en développement et pays de l'Europe de l'Est se disputent les investissements étrangers directs qui sont un moyen de s'intéresser à une économie mondiale. Les flux mondiaux d'investissements étrangers directs augmentent mais sont de plus en plus concentrés sur un petit nombre de pays développés qui sont à la fois la source et les bénéficiaires. Pour les pays en développement, les investissements directs étrangers sont un élément important de leur stratégie de développement industriel. Pour favoriser ces investissements, il faut que ces pays encouragent le développement des entreprises locales et aient une politique industrielle dynamique.
Dans le domaine de la formation industrielle, l'ONUDI devrait favoriser les voyages et les bourses d'études, les projets nationaux de formation directe en groupes à moyen et long terme. L'ONUDI devrait également soutenir la création et le renforcement des institutions de formation contribuant au développement industriel national.
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