Résumé : |
Bien accueillis au temps de la prospérité économique, surtout par le patronat qui avait alors besoin de main-d'oeuvre, les immigrés sont depuis la crise économique devenus un "problème social". En fait, les législations actuelles font surtout la différence entre les réfugiés clandestins, venus du Tiers-Monde ou des pays de l'Est, indésirables partout parce que non rentables économiquement, et les "élites" qu'on appâte par de bons salaires. En outre, le gouvernement ferme les yeux sur les travailleurs clandestins auxquels ont recours de nombreux secteurs d'activité (bâtiment, restauration, entretien, ect). |