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| 49231 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
| 50586 | CD75 DE | document électronique | 75 - CDTM (Paris 09) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier[article]Green and just - In : NEW INTERNATIONALIST, September-October 2020 (01/09/2020), N°527,
Comment financer un "Green New Deal" (GND) mondial pour le climat ? Depuis des années, les pays débattent du cadre d'un accord vert mondial pour lutter contre le réchauffement climatique et réparer les dégâts de la colonisation. Mais comment lutter en même temps contre le changement climatique et les inégalités sociales à travers le monde ? La pandémie de Covid-19 a révélé les faiblesses structurelles de l'économie globale et des inégalités de plus en plus criantes, ce qui imposerait de mettre en œuvre sans tarder un "Green New Deal" (GND). L'article s'articule autour de trois arguments : la planète est en feu ; des millions de personnes veulent un travail ; la technologie est de plus en plus fiable, accessible et bon marché. Ces composantes doivent être prises en considération à l'échelle mondiale pour réduire à la fois l'empreinte carbone des activités humaines et les inégalités économiques et sociales. https://newint.org/features/2020/08/11/green-and-just
Cet article passe en revue quelques entreprises qui ont fait monter en puissance leurs activités "ruineuses" pendant la pandémie de Covid-19. Partout dans le monde, des pays ont lancé des plans d'investissement pour relancer leur économie post-Covid, y compris des projets gaziers et pétroliers, des constructions de routes et de centrales nucléaires. En octroyant largement ces "permis", de nombreux pays ont suspendu de fait les projets de développement durable respectueux de l'environnement et de la biodiversité. Les pires projets au monde en termes d'environnement émanent des compagnies minières, des usines de production plastique et pétrochimique, de l'industrie aéronautique et de l'extraction terrestre de gaz et de pétrole. https://newint.org/features/2020/08/11/5-polluters-making-pandemic-pay
La pandémie de Covid-19 a fermé des usines et des ateliers de production partout dans le monde, plongeant des millions de personnes dans la misère. L'auteure de cet article rêve d'une industrie textile qui protégerait mieux ses travailleur·ses. En janvier 2020, les travailleur·ses à domicile en Asie du Sud-Est, particulièrement sensibles aux mouvements des marchés nationaux et mondiaux, ont vu leurs contrats et l'accès aux matières premières baisser fortement. Pour ces travailleur·ses et leurs familles qui subsistent avec des salaires vitaux, la suspension des activités en raison de la pandémie a été un désastre économique et social, aggravé par le fait que les gouvernements et les entreprises internationales ont profité de la crise de Covid-19 pour remettre en cause les droits sociaux. Le virus a forcé des millions de gens à choisir entre travailler et risquer d'être malades ou rester à la maison et mourir de faim. Les organisations internationales demandent de toute urgence que soient réalisés des audits des chaînes de valeur dans l'industrie textile. https://newint.org/features/2020/08/11/can-workers-reset-system
Comment transformer une calamité mondiale en résilience globale ? Durant la pandémie de Covid-19, nous avons tou·tes appris à avoir peur du virus, des autres et de nous-mêmes. Ce traumatisme collectif a laissé la voie à une réalité mondiale modifiant durablement les relations internationales. Le monde ante-Covid et le monde post-Covid ne sera plus le même que ce soit sur les plans émotionnel, médical, économique, social et politique. À travers le monde, des vies continuent d'être perdues et l'ampleur de la catastrophe commence seulement à être connue. Selon les organisations humanitaires, le nombre de personnes qui souffriront de la famine au cours des prochaines années va doubler, en raison des multiples impacts à retardement. Les économistes internationaux parlent d'un choc économique sans précédent et d'une contraction durable du PIB mondial. https://newint.org/features/2020/08/11/big-story-covid-19-lessons-pandemic
João Pedro Matos Pinto avait 14 ans lorsqu'il a été tué par la police. João Pedro est l'un des nombreux George Floyd brésiliens. Avant la pandémie de Covid-19, la population noire et pauvre au Brésil faisait déjà l'objet de violence dans les banlieues contrôlées par les trafiquants, les milices paramilitaires et les forces de police. La crise de Covid-19 a aggravé la situation, avec l'aide du président Bolsonaro qui a nié les dangers de la pandémie et n'a pas mis en œuvre les mesures politiques et sanitaires nécessaires. La majorité des Brésilien·nes mort·es pendant la pandémie sont des noir·es, en raison du manque d'hygiène, d'éducation sanitaire, d'accès aux soins et de l'insécurité alimentaire. Bien sûr, il n'existe aucune directive officielle pour "tuer des noir·es pauvres" mais les forces de sécurité sont entraînées à défendre la propriété et la qualité de vie de la population blanche aisée. https://newint.org/features/2020/08/11/view-brazil
