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44819 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
44821 | CD75 DE | document électronique | 75 - CDTM (Paris 09) | Disponible |
Dépouillements
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[article]Des parcs nationaux imposés en Thaïlande : la lutte du peuple autochtone Karen pour ses forêts et sa survie - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 5-7
En 1981, la création du parc national de Kaeng Krachan a causé l'expropriation du peuple karen de la région de Bang Kloi, en Thaïlande. En janvier 2021, après vingt années de lutte pour leur droit de vivre sur leurs territoires d'origine, les populations autochtones karen sont revenues sur leurs terres ancestrales. La pandémie de Covid-19, qui a aggravé la situation de quasi-famine de ces populations dans leur région d'accueil forcé, a montré que le retour sur leurs terres était la seule solution pour leur survie. Toutefois, la situation dans les forêts de Kaeng Krachan est tendue car les autorités du parc national accusent les communautés autochtones de défricher des parcelles de forêts, voire de détruire la forêt. Or, pour le peuple karen, revenir sur ses terres n'est pas seulement une question de survie, c'est aussi une tentative pour restaurer sa vie culturelle, son identité et sa dignité. https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
[article]
Titre : Des parcs nationaux imposés en Thaïlande : la lutte du peuple autochtone Karen pour ses forêts et sa survie Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 5-7 Note générale : Une photographie, notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DROITS ET LIBERTÉS ; Conflit ; Déplacement de population ; Droit des peuples ; Forêt ; Mouvement populaire ; Peuple autochtone ; Réserve naturelle
Thésaurus Géographique
ThaïlandeRésumé : En 1981, la création du parc national de Kaeng Krachan a causé l'expropriation du peuple karen de la région de Bang Kloi, en Thaïlande. En janvier 2021, après vingt années de lutte pour leur droit de vivre sur leurs territoires d'origine, les populations autochtones karen sont revenues sur leurs terres ancestrales. La pandémie de Covid-19, qui a aggravé la situation de quasi-famine de ces populations dans leur région d'accueil forcé, a montré que le retour sur leurs terres était la seule solution pour leur survie. Toutefois, la situation dans les forêts de Kaeng Krachan est tendue car les autorités du parc national accusent les communautés autochtones de défricher des parcelles de forêts, voire de détruire la forêt. Or, pour le peuple karen, revenir sur ses terres n'est pas seulement une question de survie, c'est aussi une tentative pour restaurer sa vie culturelle, son identité et sa dignité. En ligne : https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82538
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°254 (janvier-février 2021) . - P. 5-7[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 44819 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44821 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]La question du "genre" dans le secteur de l'huile de palme et son label RSPO - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 8-12
L'exploitation et la discrimination des femmes dans le secteur de l'huile de palme sont indéniables. Conscientes de la situation, les entreprises, par leur programme de certification "la Table ronde pour une huile de palme durable" (Roundtable for Sustainable Palm Oil - RSPO), ont intégré des directives relatives au genre dans leur chaînes de valeur. Pourtant, le modèle de la plantation en lui-même reste violent, sexiste, structurellement raciste et patriarcal. Les femmes qui travaillent et vivent dans les plantations dans différents pays d'Afrique centrale et de l'Ouest témoignent : "Nous les femmes, nous ne pouvons plus marcher seules, nous devons aller en groupe à cause du risque d'être agressées par des ouvriers de l'entreprise ou des agents de sécurité. Nous ne nous sentons plus en sécurité autour de nos villages". https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
[article]
Titre : La question du "genre" dans le secteur de l'huile de palme et son label RSPO Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 8-12 Note générale : Une photographie, notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Droits des femmes ; Femme ; Genre ; Huile et oléagineux ; Production agricole ; Sexisme ; Sécurité ; Violence
Thésaurus Géographique
Afrique de l'ouest ; Afrique centraleRésumé : L'exploitation et la discrimination des femmes dans le secteur de l'huile de palme sont indéniables. Conscientes de la situation, les entreprises, par leur programme de certification "la Table ronde pour une huile de palme durable" (Roundtable for Sustainable Palm Oil - RSPO), ont intégré des directives relatives au genre dans leur chaînes de valeur. Pourtant, le modèle de la plantation en lui-même reste violent, sexiste, structurellement raciste et patriarcal. Les femmes qui travaillent et vivent dans les plantations dans différents pays d'Afrique centrale et de l'Ouest témoignent : "Nous les femmes, nous ne pouvons plus marcher seules, nous devons aller en groupe à cause du risque d'être agressées par des ouvriers de l'entreprise ou des agents de sécurité. Nous ne nous sentons plus en sécurité autour de nos villages". Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien En ligne : https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82539
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°254 (janvier-février 2021) . - P. 8-12[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 44819 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44821 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Équateur : la certification de l’aquaculture industrielle de la crevette accentue la violation des droits et la destruction des mangroves - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 13-18
Le plan national productif du gouvernement de l’Équateur considère que la crevette cultivée en captivité constitue un produit stratégique. Dans un processus de régularisation, le gouvernement équatorien a cédé la propriété de milliers d’hectares de mangroves aux entreprises crevettières. Or l’installation de fermes de crevettes détruit massivement les forêts de mangroves et viole les droits des communautés de cueilleur·ses et de pêcheur·ses des estuaires qui sont violemment expulsées de leur territoire de vie. https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
[article]
Titre : Équateur : la certification de l’aquaculture industrielle de la crevette accentue la violation des droits et la destruction des mangroves Type de document : document électronique Auteurs : Marianeli TORRES BENAVIDES Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 13-18 Note générale : Une photographie, cartes, notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Accaparement de terres ; Aquaculture ; Déforestation ; Droit des peuples ; Label ; Mangrove ; Peuple autochtone
Thésaurus Géographique
EquateurRésumé : Le plan national productif du gouvernement de l’Équateur considère que la crevette cultivée en captivité constitue un produit stratégique. Dans un processus de régularisation, le gouvernement équatorien a cédé la propriété de milliers d’hectares de mangroves aux entreprises crevettières. Or l’installation de fermes de crevettes détruit massivement les forêts de mangroves et viole les droits des communautés de cueilleur·ses et de pêcheur·ses des estuaires qui sont violemment expulsées de leur territoire de vie. En ligne : https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82540
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°254 (janvier-février 2021) . - P. 13-18[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 44819 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44821 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]La lutte du peuple autochtone Kinggo pour défendre ses forêts coutumières en Papouasie SAMPERANTE, Franky - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 18-21
L'Indonésie est le premier exportateur mondial d'huile de palme, la Papouasie constituant la "nouvelle frontière" pour cette production, dont les forêts sont devenues un objectif pour les investissements. Dans les années 1990, la forêt coutumière de la communauté de cette zone a été transformée en concession forestière et cédée à la société PT Bade Makmur Orissa, une filiale du géant coréen d'huile de palme, le groupe Korindo. En 1993, profitant de ses relations étroites avec le gouvernement indonésien, Korindo a obtenu un permis d'exploitation forestière couvrant plus de terres en Papouasie que tout autre conglomérat. L'entreprise a rasé les forêts coutumières des peuples autochtones sans leur consentement, leur faisant subir des préjudices irréversibles. https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
[article]
Titre : La lutte du peuple autochtone Kinggo pour défendre ses forêts coutumières en Papouasie Type de document : document électronique Auteurs : Tigor GEMDITA HUTAPEA ; Franky SAMPERANTE Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 18-21 Note générale : Les auteurs sont membres de la Fondation du patrimoine Bentala Rakya (Yayasan Pusaka Bentala Rakya). Une photographie, notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Accaparement de terres ; Agriculture intensive ; Droit des peuples ; Forêt ; Huile et oléagineux ; Multinationale ; Peuple autochtone ; Propriété foncière
Thésaurus Géographique
Papouasie Nouvelle-Guinée ; Indonésie ; Corée du sudRésumé : L'Indonésie est le premier exportateur mondial d'huile de palme, la Papouasie constituant la "nouvelle frontière" pour cette production, dont les forêts sont devenues un objectif pour les investissements. Dans les années 1990, la forêt coutumière de la communauté de cette zone a été transformée en concession forestière et cédée à la société PT Bade Makmur Orissa, une filiale du géant coréen d'huile de palme, le groupe Korindo. En 1993, profitant de ses relations étroites avec le gouvernement indonésien, Korindo a obtenu un permis d'exploitation forestière couvrant plus de terres en Papouasie que tout autre conglomérat. L'entreprise a rasé les forêts coutumières des peuples autochtones sans leur consentement, leur faisant subir des préjudices irréversibles. En ligne : https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82541
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°254 (janvier-février 2021) . - P. 18-21[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 44819 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44821 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]La résistance contre les plantations industrielles de palmiers à huile en Afrique occidentale et centrale - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 22-23
Depuis de nombreuses décennies, les communautés d'Afrique occidentale et centrale sont confrontées à l'empiétement des plantations industrielles de palmiers à huile sur leurs terres communautaires. Avec la promesse mensongère de favoriser le développement et les emplois, les multinationales, soutenues par les gouvernements, ont obtenu des millions d'hectares de terres en concession pour des plantations industrielles de palmiers à huile. Les résultats de cette expansion ont été désastreux pour les communautés vivant dans et alentour. L'article présente quatre luttes communautaires : en République démocratique du Congo contre la multinationale PHC-Feronia, au Gabon contre Olam Company, au Cameroun contre Socapalm (qui appartient à Socfin) et au Nigeria contre Okomu Oil Palm Company (qui appartient également à Socfin). https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
[article]
Titre : La résistance contre les plantations industrielles de palmiers à huile en Afrique occidentale et centrale Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 22-23 Note générale : Une photographie, notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Accaparement de terres ; Agriculture intensive ; Droit des peuples ; Huile et oléagineux ; Multinationale ; Mouvement populaire ; Peuple autochtone
Thésaurus Géographique
Afrique de l'ouest ; Afrique centrale ; Cameroun ; Gabon ; Nigeria ; République démocratique du CongoRésumé : Depuis de nombreuses décennies, les communautés d'Afrique occidentale et centrale sont confrontées à l'empiétement des plantations industrielles de palmiers à huile sur leurs terres communautaires. Avec la promesse mensongère de favoriser le développement et les emplois, les multinationales, soutenues par les gouvernements, ont obtenu des millions d'hectares de terres en concession pour des plantations industrielles de palmiers à huile. Les résultats de cette expansion ont été désastreux pour les communautés vivant dans et alentour. L'article présente quatre luttes communautaires : en République démocratique du Congo contre la multinationale PHC-Feronia, au Gabon contre Olam Company, au Cameroun contre Socapalm (qui appartient à Socfin) et au Nigeria contre Okomu Oil Palm Company (qui appartient également à Socfin). En ligne : https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82542
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°254 (janvier-février 2021) . - P. 22-23[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 44819 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44821 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]L’industrie minière déprédatrice au Venezuela : arc minier de l’Orinoco, économies d’enclave et plan minier national - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 28-31
Après la mort de Hugo Chavez, l’écroulement de l’économie rentière pétrolière a accéléré la dissolution du pétro-État vénézuélien, engendrant la disparition de l’État même : impunité et corruption généralisées, conflits sociaux violents. Dans ce paysage, l’économie informelle est devenue la principale voie d’échange de l’économie nationale et le secteur minier connaît un extractivisme prédateur qui remplace le pétrole. Le mégaprojet minier, appelé arc minier de l’Orinoco (AMO), initié par Chavez, vise l’exploitation d’importants gisements d’or, de bauxite, de coltan, de diamants, etc. De plus, ce projet s’inscrit dans un plan de relance du potentiel minier du pays, y compris en Amazonie et au nord du fleuve Orinoco. En février 2016, le président Maduro a officialisé la création de l’AMO, en le déclarant zone de développement stratégique national, i.e. une zone économique protégée, avec la mise en place d'une "zone militaire spéciale" créée par la Compagnie anonyme militaire d’industries minières, pétrolifères et gazières (CAMIMPEG), qui place ouvertement l'armée dans l’économie extractiviste. https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
[article]
Titre : L’industrie minière déprédatrice au Venezuela : arc minier de l’Orinoco, économies d’enclave et plan minier national Type de document : document électronique Auteurs : Emiliano TERAN MANTOVANI Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 28-31 Note générale : L'auteur travaille à l'Observatoire d’écologie politique du Venezuela (Observatorio de Ecología Política de Venezuela). Une photographie, notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Armée ; Corruption ; État ; Extractivisme ; Gestion des ressources naturelles ; Industrie extractive ; Politique économique ; Terres rares
Thésaurus Géographique
VenezuelaRésumé : Après la mort de Hugo Chavez, l’écroulement de l’économie rentière pétrolière a accéléré la dissolution du pétro-État vénézuélien, engendrant la disparition de l’État même : impunité et corruption généralisées, conflits sociaux violents. Dans ce paysage, l’économie informelle est devenue la principale voie d’échange de l’économie nationale et le secteur minier connaît un extractivisme prédateur qui remplace le pétrole. Le mégaprojet minier, appelé arc minier de l’Orinoco (AMO), initié par Chavez, vise l’exploitation d’importants gisements d’or, de bauxite, de coltan, de diamants, etc. De plus, ce projet s’inscrit dans un plan de relance du potentiel minier du pays, y compris en Amazonie et au nord du fleuve Orinoco. En février 2016, le président Maduro a officialisé la création de l’AMO, en le déclarant zone de développement stratégique national, i.e. une zone économique protégée, avec la mise en place d'une "zone militaire spéciale" créée par la Compagnie anonyme militaire d’industries minières, pétrolifères et gazières (CAMIMPEG), qui place ouvertement l'armée dans l’économie extractiviste. En ligne : https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82543
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°254 (janvier-février 2021) . - P. 28-31[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 44819 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44821 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Pourquoi refuser la privatisation des terres coutumières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 32-35
La majorité des terres dans le monde sont encore gérées par des communautés autochtones selon le droit coutumier. La notion de propriété foncière privée, dominante dans les sociétés occidentales et prônée par la Banque mondiale et le FMI auprès des gouvernements des pays en développement (PED), vise à faciliter la vente/location à des fins commerciales et l'utilisation à des fins productivistes. Or la privatisation des terres n'offre aux communautés autochtones aucune sécurité ni stabilité mais représente un moyen de poursuivre la colonisation et l'exploitation de leurs terres et forêts, au profit d'intérêts privés et d'entreprises multinationales. Le document publié par l'Oakland Institute démonte six mythes utilisés par les gouvernements, les banques et les institutions multilatérales pour justifier la privatisation des terres : la privatisation des terres est nécessaire pour attirer les investissements privés ; les titres de propriété privée améliorent l'accès au crédit et aux prêts ; la privatisation des terres stimule le développement ; les marchés fonciers rendent l'accès à la terre plus équitable ; les systèmes coutumiers ne garantissent pas la sécurité foncière ; les réformes foncières sont axées sur les intérêts des agriculteur·rices. https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
[article]
Titre : Pourquoi refuser la privatisation des terres coutumières Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 32-35 Note générale : Résumé de la publication "This is Our Land. Why Reject the Privatization of Customary Land" (C'est notre terre. Les raisons du rejet de la privatisation de notre territoire), Institut Oakland. Une photographie, lien sitographique vers la publication en anglais. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DROITS ET LIBERTÉS ; Droit coutumier ; Droit des peuples ; Multinationale ; Néocolonialisme ; Peuple autochtone ; Privatisation ; Propriété foncière ; Régime foncierRésumé : La majorité des terres dans le monde sont encore gérées par des communautés autochtones selon le droit coutumier. La notion de propriété foncière privée, dominante dans les sociétés occidentales et prônée par la Banque mondiale et le FMI auprès des gouvernements des pays en développement (PED), vise à faciliter la vente/location à des fins commerciales et l'utilisation à des fins productivistes. Or la privatisation des terres n'offre aux communautés autochtones aucune sécurité ni stabilité mais représente un moyen de poursuivre la colonisation et l'exploitation de leurs terres et forêts, au profit d'intérêts privés et d'entreprises multinationales. Le document publié par l'Oakland Institute démonte six mythes utilisés par les gouvernements, les banques et les institutions multilatérales pour justifier la privatisation des terres : la privatisation des terres est nécessaire pour attirer les investissements privés ; les titres de propriété privée améliorent l'accès au crédit et aux prêts ; la privatisation des terres stimule le développement ; les marchés fonciers rendent l'accès à la terre plus équitable ; les systèmes coutumiers ne garantissent pas la sécurité foncière ; les réformes foncières sont axées sur les intérêts des agriculteur·rices. En ligne : https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82544
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°254 (janvier-février 2021) . - P. 32-35[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 44819 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44821 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible