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Auteur WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales)
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[article]Les communautés s'élèvent contre l'accaparement des terres et la violence de l'État - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, avril 2025 (23/04/2025), N°274, P. 3-5
Dans les pays du Sud, les communautés qui résistent à l’accaparement de terres par les multinationales pour la culture intensive d'arbres sont confrontées non seulement à la violence des entreprises, mais aussi à la répression de l'État. Contestant l'interprétation erronée et abusive selon laquelle "toutes les terres appartiennent à l’État", dont les gouvernements de certains pays se servent pour protéger les intérêts des entreprises, les populations autochtones continuent leur lutte pour récupérer leurs terres ancestrales. L'article revient sur quelques luttes emblématiques dans différents pays. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/les-communautes-selevent-contre-laccaparement-des-terres-et-la-violence-de-letat
[article]
Titre : Les communautés s'élèvent contre l'accaparement des terres et la violence de l'État Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 3-5 Note générale : Notes avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DROITS ET LIBERTÉS ; Accaparement de terres ; Agriculture intensive ; Droit des peuples ; État ; Multinationale ; Peuple autochtone ; Violence
Thésaurus Géographique
Brésil ; Cameroun ; Côte d'Ivoire ; Indonésie ; Malaisie ; Papouasie Nouvelle-Guinée ; ThaïlandeRésumé : Dans les pays du Sud, les communautés qui résistent à l’accaparement de terres par les multinationales pour la culture intensive d'arbres sont confrontées non seulement à la violence des entreprises, mais aussi à la répression de l'État. Contestant l'interprétation erronée et abusive selon laquelle "toutes les terres appartiennent à l’État", dont les gouvernements de certains pays se servent pour protéger les intérêts des entreprises, les populations autochtones continuent leur lutte pour récupérer leurs terres ancestrales. L'article revient sur quelques luttes emblématiques dans différents pays. En ligne : https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/les-communautes-selevent-contre-l [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86849
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°274 (avril 2025) . - P. 3-5[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13785 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 15040 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Dégrader les territoires au lieu de les récupérer : des plantations dirigées au marché du carbone dans l’Orinoquia colombien WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, avril 2025 (23/04/2025), N°274, P. 21-27
Plusieurs multinationales de l'agrobusiness étendent leurs plantations d’arbres intensives dans l’Orinoquia colombien (bassin du fleuve Orinoco), aggravant ainsi les conflits territoriaux avec les communautés autochtones. Cette activité économique à grande échelle soutenue par l'État colombien transforme le territoire et impacte les conditions de vie des populations locales. Or "ces entreprises ne sont pas des sociétés de reforestation mais de déforestation. Elles ont introduit des espèces telles que l’acacia, l’eucalyptus et le pinus qui ne sont pas originaires du territoire. Par ce faire, elles éliminent les espèces endémiques", explique le chef autochtone Sikuani. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/degrader-les-territoires-au-lieu-de-les-recuperer-des-plantations-dirigees-au-marche-du-carbone-dans-lorinoquia-colombien
[article]
Titre : Dégrader les territoires au lieu de les récupérer : des plantations dirigées au marché du carbone dans l’Orinoquia colombien Type de document : document électronique Auteurs : SIKUANI, Personne interviewée ; WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales), Intervieweur Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 21-27 Note générale : Une figure, notes avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accaparement de terres ; Agriculture intensive ; Conflit ; Déforestation ; Droit des peuples ; Greenwashing ; Multinationale ; Peuple autochtone
Thésaurus Géographique
ColombieRésumé : Plusieurs multinationales de l'agrobusiness étendent leurs plantations d’arbres intensives dans l’Orinoquia colombien (bassin du fleuve Orinoco), aggravant ainsi les conflits territoriaux avec les communautés autochtones. Cette activité économique à grande échelle soutenue par l'État colombien transforme le territoire et impacte les conditions de vie des populations locales. Or "ces entreprises ne sont pas des sociétés de reforestation mais de déforestation. Elles ont introduit des espèces telles que l’acacia, l’eucalyptus et le pinus qui ne sont pas originaires du territoire. Par ce faire, elles éliminent les espèces endémiques", explique le chef autochtone Sikuani. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien En ligne : https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/degrader-les-territoires-au-lieu- [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86852
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°274 (avril 2025) . - P. 21-27[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13785 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 15040 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Les ONG au service du pillage des territoires : le cas de la Earthworm Foundation Synaparcam ; WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, avril 2025 (23/04/2025), N°274, P. 6-16
Des multinationales de l’agrobusiness, de l’extraction minière et de l’industrie pétrolière s’associent à des ONG pour verdir leur image et minimiser la pollution et à la destruction engendrées par leurs activités. Cette stratégie est efficace pour répondre aux exigences environnementales, obtenir des avantages fiscaux, accéder à des financements verts et se conformer aux mesures compensatoires requises par les organismes de réglementation pour les crédits carbone. Au-delà de ce greenwashing, des ONG telles que la Earthworm Foundation sont recrutées par les sociétés extractives et l'agrobusiness, pour jouer un rôle dans la "médiation des conflits territoriaux" avec les communautés rurales autochtones, notamment en Afrique de l'Ouest et centrale. La réputation éthique de ces ONG agit comme un blanc-seing pour poursuivre l'accaparement de terres et le pillage des ressources locales. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/les-ong-au-service-du-pillage-des-territoires-le-cas-de-la-earthworm-foundation
[article]
Titre : Les ONG au service du pillage des territoires : le cas de la Earthworm Foundation Type de document : document électronique Auteurs : Elielson PEREIRA DA SILVA, Personne interviewée ; Synaparcam, Personne interviewée ; WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales), Intervieweur Année de publication : 2025 Article en page(s) : P. 6-16 Note générale : Un tableau. Entretiens avec la Synaparcam (organisation de défense des droits des communautés affectées par les plantations de la Socfin au Cameroun) et Elielson Peirera da Silva (chercheur sur les conflits territoriaux et ethniques dans l'État de Para, Brésil), notes avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DROITS ET LIBERTÉS ; Accaparement de terres ; Droit des peuples ; Extractivisme ; Greenwashing ; Médiation ; Multinationale ; ONG ; Peuple autochtone ; Pillage des ressources
Thésaurus Géographique
Afrique de l'ouest ; Afrique centrale ; Cameroun ; BrésilRésumé : Des multinationales de l’agrobusiness, de l’extraction minière et de l’industrie pétrolière s’associent à des ONG pour verdir leur image et minimiser la pollution et à la destruction engendrées par leurs activités. Cette stratégie est efficace pour répondre aux exigences environnementales, obtenir des avantages fiscaux, accéder à des financements verts et se conformer aux mesures compensatoires requises par les organismes de réglementation pour les crédits carbone. Au-delà de ce greenwashing, des ONG telles que la Earthworm Foundation sont recrutées par les sociétés extractives et l'agrobusiness, pour jouer un rôle dans la "médiation des conflits territoriaux" avec les communautés rurales autochtones, notamment en Afrique de l'Ouest et centrale. La réputation éthique de ces ONG agit comme un blanc-seing pour poursuivre l'accaparement de terres et le pillage des ressources locales. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien En ligne : https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/les-ong-au-service-du-pillage-des [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86850
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°274 (avril 2025) . - P. 6-16[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13785 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 15040 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible N°274 - avril 2025 - Des stratégies douteuses au service de l’économie « verte » (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales)
[n° ou bulletin]
Titre : N°274 - avril 2025 - Des stratégies douteuses au service de l’économie « verte » Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales), Coordinateur Année de publication : 2025 Importance : 36 P. Format : fichier pdf Note générale : Dossier comprenant :
* Les communautés s'élèvent contre l'accaparement des terres et la violence de l'État, p. 3-5
* Les ONG au service du pillage des territoires : le cas de la Earthworm Foundation, p. 6-16
* Quand les plantations riment avec spoliation : luttes communautaires dans la province du Cap-Occidental en Afrique du Sud, p. 17-20
* Dégrader les territoires au lieu de les récupérer : des plantations dirigées au marché du carbone dans l’Orinoquia colombien, p. 21-27
* Thaïlande : Les grandes centrales hydroélectriques ne font pas d'énergie propre ! Les communautés qui luttent contre les barrages échangent leurs expériences et émettent une déclaration commune, p. 28-31
* Déclaration Solidaritas Merauke, un appel urgent de la Papouasie : Stop au projet stratégique national de Merauke, p. 32
* Tiré des archives du WRM : Méga-plantations de pins en Patagonie argentine : envahissement des terres, incendies et pénuries d'eau, p. 34-34
Recommandations (p. 34-36), notes avec liens sitographiques.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Accaparement de terres ; Agriculture intensive ; Développement économique ; Droit des peuples ; Économie verte ; Greenwashing ; Lutte populaire ; Multinationale ; Peuple autochtone
Thésaurus Géographique
Brésil ; Cameroun ; Côte d'Ivoire ; Indonésie ; Malaisie ; Papouasie Nouvelle-Guinée ; ThaïlandeRésumé : Dans les pays du Sud, les populations autochtones qui résistent à l’accaparement de terres par les multinationales de l'agrobusiness sont confrontées non seulement à la violence de ces entreprises, mais aussi à la répression de l'État qui soutient ce développement économique capitaliste, sous couvert de projets d'économie "verte" pour l'obtention de crédits carbone. Dans ce dossier, la rédaction du WRM revient sur des exemples de détermination des communautés locales qui se mobilisent pour dénoncer la mainmise des sociétés multinationales sur les terres et se battent pour récupérer leurs territoires ancestraux, par toutes formes de mobilisations et d'actions. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B274_FR_0.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=30343 [n° ou bulletin]Contient
- [article]Les communautés s'élèvent contre l'accaparement des terres et la violence de l'État - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, avril 2025 (23/04/2025), N°274, P. 3-5
Dans les pays du Sud, les communautés qui résistent à l’accaparement de terres par les multinationales pour la culture intensive d'arbres sont confrontées non seulement à la violence des entreprises, mais aussi à la répression de l'État. Contestant l'interprétation erronée et abusive selon laquelle "toutes les terres appartiennent à l’État", dont les gouvernements de certains pays se servent pour protéger les intérêts des entreprises, les populations autochtones continuent leur lutte pour récupérer leurs terres ancestrales. L'article revient sur quelques luttes emblématiques dans différents pays. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/les-communautes-selevent-contre-laccaparement-des-terres-et-la-violence-de-letat- [article]Les ONG au service du pillage des territoires : le cas de la Earthworm Foundation Synaparcam ; WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, avril 2025 (23/04/2025), N°274, P. 6-16
Des multinationales de l’agrobusiness, de l’extraction minière et de l’industrie pétrolière s’associent à des ONG pour verdir leur image et minimiser la pollution et à la destruction engendrées par leurs activités. Cette stratégie est efficace pour répondre aux exigences environnementales, obtenir des avantages fiscaux, accéder à des financements verts et se conformer aux mesures compensatoires requises par les organismes de réglementation pour les crédits carbone. Au-delà de ce greenwashing, des ONG telles que la Earthworm Foundation sont recrutées par les sociétés extractives et l'agrobusiness, pour jouer un rôle dans la "médiation des conflits territoriaux" avec les communautés rurales autochtones, notamment en Afrique de l'Ouest et centrale. La réputation éthique de ces ONG agit comme un blanc-seing pour poursuivre l'accaparement de terres et le pillage des ressources locales. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/les-ong-au-service-du-pillage-des-territoires-le-cas-de-la-earthworm-foundation- [article]Quand les plantations riment avec spoliation : luttes communautaires dans la province du Cap-Occidental en Afrique du Sud PARKER, Wade - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, avril 2025 (23/04/2025), N°274, P. 17-20
Dans la province du Cap-Occidental, en Afrique du Sud, les communautés rurales, déjà affectées par la spoliation historique de leurs terres à l'époque coloniale, subissent désormais les impacts liés à leur encerclement par des plantations industrielles d'arbres. Dans le but de renforcer leur accès à la terre, ces communautés se sont mobilisées au sein d'un forum soutenu par des organisations de la société civile, exigeant de pouvoir participer aux prises de décision les concernant et de faire respecter leurs droits communautaires. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/quand-les-plantations-riment-avec-spoliation-luttes-communautaires-dans-la-province-du-cap-occidental-en-afrique-du-sud- [article]Dégrader les territoires au lieu de les récupérer : des plantations dirigées au marché du carbone dans l’Orinoquia colombien WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, avril 2025 (23/04/2025), N°274, P. 21-27
Plusieurs multinationales de l'agrobusiness étendent leurs plantations d’arbres intensives dans l’Orinoquia colombien (bassin du fleuve Orinoco), aggravant ainsi les conflits territoriaux avec les communautés autochtones. Cette activité économique à grande échelle soutenue par l'État colombien transforme le territoire et impacte les conditions de vie des populations locales. Or "ces entreprises ne sont pas des sociétés de reforestation mais de déforestation. Elles ont introduit des espèces telles que l’acacia, l’eucalyptus et le pinus qui ne sont pas originaires du territoire. Par ce faire, elles éliminent les espèces endémiques", explique le chef autochtone Sikuani. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/degrader-les-territoires-au-lieu-de-les-recuperer-des-plantations-dirigees-au-marche-du-carbone-dans-lorinoquia-colombien- [article]Thaïlande : Les grandes centrales hydroélectriques ne font pas d'énergie propre ! - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, avril 2025 (23/04/2025), N°274,
Une nouvelle vague d'expansion des projets de centrales hydroélectriques progresse dans les pays du Sud sous la bannière de la production d'énergie propre, de la mise en œuvre de la transition énergétique et de la promotion d'une économie verte à faible émission de carbone. En mars 2025, un groupe de communautés autochtones a publié une déclaration commune dénonçant les destructions que les grands barrages ont déjà causées dans différents pays en criant : "les grandes centrales hydroélectriques ne font pas d'énergie propre !" https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/thailande-les-grandes-centrales-hydroelectriques-ne-font-pas-denergie-propre-les-communautes-qui-luttent-contre-les-barrages-echangent-leurs-experiences-etExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13785 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 15040 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique (COP16) : des solutions pour les entreprises, des pertes pour les communautés et la biodiversité - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, octobre 2024 (24/10/2024), N°272,
La COP16 à la Convention sur la diversité biologique (CDB), qui s'est tenue en octobre 2024 à Cali (Colombie), a échoué dans son objectif d'enrayer la perte de biodiversité. Les États parties devaient évaluer les progrès de leur pays dans la réalisation des nouveaux objectifs à atteindre d'ici à 2030, inclus dans le Cadre mondial pour la biodiversité. Or plus de 85 % des pays n'ont pas respecté la date limite pour soumettre leurs nouveaux engagements avant le début de la COP16. Par ailleurs, au lieu de mettre un terme aux destructions occasionnées par les sociétés extractivistes, les propositions de la CDB ont aggravé la situation, par exemple l'instauration de crédits de biodiversité (à l'image des crédits carbone), qui menacent la souveraineté des peuples autochtones sur leurs territoires ancestraux. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/conference-des-parties-a-la-convention-sur-la-diversite-biologique-cop16-des-solutions-pour-les-entreprises-des-pertes-pour-les-communautes-et-la-biodiversite
[article]
Titre : Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique (COP16) : des solutions pour les entreprises, des pertes pour les communautés et la biodiversité Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) Année de publication : 2024 Note générale : Article disponible en anglais, espagnol et portugais. Lien sitographique vers la Déclaration de la COP16. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accord international ; Biodiversité ; Conférence ; Droit des peuples ; Extractivisme ; Multinationale ; Peuple autochtone ; Relation Nord-Sud
Thésaurus Géographique
ColombieRésumé : La COP16 à la Convention sur la diversité biologique (CDB), qui s'est tenue en octobre 2024 à Cali (Colombie), a échoué dans son objectif d'enrayer la perte de biodiversité. Les États parties devaient évaluer les progrès de leur pays dans la réalisation des nouveaux objectifs à atteindre d'ici à 2030, inclus dans le Cadre mondial pour la biodiversité. Or plus de 85 % des pays n'ont pas respecté la date limite pour soumettre leurs nouveaux engagements avant le début de la COP16. Par ailleurs, au lieu de mettre un terme aux destructions occasionnées par les sociétés extractivistes, les propositions de la CDB ont aggravé la situation, par exemple l'instauration de crédits de biodiversité (à l'image des crédits carbone), qui menacent la souveraineté des peuples autochtones sur leurs territoires ancestraux. En ligne : https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/conference-des-parties-a-la-conve [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86073
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°272 (octobre 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 29842 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 31034 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Indonésie : les femmes Dayak défendent la forêt de Tambun Bungai - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, octobre 2024 (24/10/2024), N°272,
"Haga Lewun keton, petak danom, ela sampai tempun petak nana sare" (Prenez soin de votre foyer. Ne laissez personne vous forcer à cultiver à la lisière de la forêt, car c'est vous qui êtes propriétaires de la terre, en langue dayak). Tambun Bungai est le nom d'un guerrier de l'ancien royaume de la tribu dayak, donné à la forêt du Kalimantan central par les Dayak. Les difficultés de vie des communautés dayak ont commencé en 1995 suite à deux décisions du gouvernement indonésien : la réglementation relative à la sécurité alimentaire en Indonésie et un décret sur le développement des tourbières pour l'agriculture vivrière dans le Kalimantan central, auxquelles se sont ajoutées les activités extractivistes des sociétés minières, qui ont privé les Dayak de leurs terres ancestrales donc de leur autosuffisance alimentaire. Face à cet accaparement de terres, les femmes dayak ont créé un mouvement de résistance collective visant à récupérer et défendre leurs forêts, qui a abouti à l'abolition de trois projets extractivistes. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/podcast-indonesie-les-femmes-dayak-defendent-la-foret-de-tambun-bungai
Permalink[article]La « politique climatique » thaïlandaise de compensation carbone : toujours plus d’injustice et de chaos climatique YANGDEE, Bandita ; ONPROM, Surin - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, octobre 2024 (24/10/2024), N°272,
Après plus de dix-huit ans de projets et de programmes REDD (Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts) permettant l'achat de crédits carbone issus de forêts ou de projets de plantation d'arbres dans le monde entier, la crise environnementale n'a fait que s'aggraver. Pourtant, avec le soutien de la Banque mondiale, le gouvernement thaïlandais a mis en œuvre sa politique climat fondée sur la compensation carbone en monnayant des "zones vertes", qui devraient couvrir la moitié de la superficie du pays. Derrière cette vente de crédits carbone se cache une politique économique qui permet aux multinationales des combustibles fossiles de s'acheter le droit de continuer leurs activités polluantes, sous couvert de décarbonation. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/la-politique-climatique-thailandaise-de-compensation-carbone-toujours-plus-dinjustice-et-de-chaos-climatique
Permalink[article]Portucel/Navigator et eucalyptus au Mozambique : « Ce que cette entreprise laisse à la population, c'est 0 % » - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, octobre 2024 (24/10/2024), N°272,
En plus des impacts directs sur la vie des communautés locales, les monocultures d'eucalyptus représentent une inégalité socioéconomique scandaleuse. Les témoignages des habitant·es révèlent les impacts subis par les activités de Portucel Moçambique, une société de production d'eucalyptus pour la pâte à papier créée en 2009 par le géant portugais The Navigator Company. Parmi ses promesses non tenues de création de richesse pour la population locale, Portucel s'était engagée à conclure des accords de cession de terres à un prix juste, procurer des emplois dans une usine de copeaux locale, construire une école et un puits, réparer la route, etc. En octobre 2024, plus de dix ans après les premières plantations, la multinationale a accaparé les terres des populations locales sans dédommagement équitable, les monocultures d'eucalyptus couvrent moins de 10 % des terres déforestées, l'usine de copeaux promise pour 2023 n'a pas décollé et aucune richesse ni infrastructure n'ont été créées pour améliorer les conditions de vie de la communauté locale. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/portucelnavigator-et-eucalyptus-au-mozambique-ce-que-cette-entreprise-laisse-a-la-population-cest-0
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[article]Des initiatives internationales, régionales et nationales font la promotion des plantations d'arbres pour le commerce du carbone - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, juin 2024 (27/06/2024), N°270,
Les plantations d'arbres pour la compensation des émissions de carbone sont promues comme un mécanisme légitime pour compenser ces émissions détournant ainsi l'attention de la nécessité de réduire les émissions de combustibles fossiles. Cet article passe en revue diverses initiatives mises en place à cet effet. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/des-initiatives-internationales-regionales-et-nationales-font-la-promotion-des-plantations-darbres-pour-le-commerce-du-carbone
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[article]Les plantations d'arbres pour les marchés du carbone - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, juin 2024 (27/06/2024), N°270,
Cet article, chiffres à l'appui, renseigne sur l'importance des plantations d'arbres destinées à la compensation carbone, leur localisation et les acteurs impliqués qui en tirent profit. https://www.wrm.org.uy/fr/articles-du-bulletin/les-plantations-darbres-pour-les-marches-du-carbone
Permalink[article]Comment différentes formes d'extractivisme « vert » provoquent la destruction de la forêt amazonienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 6-13
L'Amazonie est l'une des dernières frontières de la résistance à l'expansion capitaliste, à travers ses mouvements de lutte populaire et par la présence des derniers peuples autochtones de la planète vivant en isolement volontaire. En Amazonie, la moitié de la déforestation à grande échelle est due à quatre activités : l'exploitation minière, l'exploitation forestière, le pâturage du bétail et l'agrobusiness des monocultures (soja, maïs, riz, palmier à huile et canne à sucre). Mais aujourd'hui différentes formes d'extractivisme "vert" envahissent de plus en plus ces territoires, notamment avec plusieurs projets d'extraction pétrolière, au prétexte de financer la transition énergétique, mais aussi avec la construction de grands barrages hydroélectriques, censés produire une énergie verte et renouvelable sans émissions de CO2. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
Permalink[article]Avant, pendant et après la victoire pour la défense de la vie au Panama - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, décembre 2023 (01/12/2023), N°268, P. 31-35
L’année 2023 s’est terminée avec une victoire du mouvement populaire pour la défense de la vie et de l'environnement au Panama, qui a eu une répercussion mondiale. L'article met en lumière ce processus de résistance réussi au Panama, où les populations se sont mobilisées contre une filiale de la société minière canadienne First Quantum Minerals. Après plus de vingt-cinq ans de lutte contre l'exploitation minière du cuivre et ses menaces pour les communautés locales, les opérations minières ont été annulées. Prenant en considération les exigences socio-environnementales et de souveraineté formulées par les manifestant·es, la Cour suprême de justice du Panama a déclaré inconstitutionnelle la licence accordée à l'entreprise multinationale, ordonnant ainsi la fermeture de la plus grande mine de cuivre à ciel ouvert d'Amérique centrale. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B268_FR.pdf
Permalink[article]Expansion des plantations d'arbres pour les marchés du carbone : de nouvelles preuves de fraudes à la compensation - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, décembre 2023 (01/12/2023), N°268, P. 13-16
L'article dénonce la tendance croissante de l'expansion des plantations industrielles d'arbres dans les pays du Sud, au prétexte que les arbres "compenseront" la pollution émise par les pays du Nord. Cela va des grandes plantations en monoculture soutenues par le secteur de la pâte à papier à des plantations aux noms séduisants porteurs d'économie "verte" soutenues par des fonds d'investissement via la signature de contrats abusifs avec les communautés autochtones. Qu’il s’agisse de grandes monocultures ou de projets trompeurs, les plantations d’arbres destinées à compenser les émissions de carbone ne sont ni une solution au chaos climatique ni un bénéfice pour les communautés locales dans les pays du Sud. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B268_FR.pdf
Permalink[article]Certification carbone : « Les habits neufs de l’empereur » - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, juillet 2023 (01/07/2023), N°266, P. 29-35
"Les habits neufs de l’empereur" est le titre d’un conte de Andersen, où un empereur crédule se pare de vêtements invisibles créés par des tisserands escrocs. La certification des crédits carbone invite à la comparaison avec ce conte car, dans les deux cas, il s’agit d’un produit que personne ne peut voir ! Toutefois, dans le cas des crédits carbone, les principaux acheteurs de ce bien immatériel ne sont pas aussi naïfs que l’empereur. En alliance avec les gouvernements et les ONG de conservation, les entreprises confortent le récit trompeur des compensations carbone certifiables, afin de maintenir (et d’accroître) les bénéfices dépendants des combustibles fossiles. Cet article s’intéresse au rôle crucial que jouent les systèmes de certification des crédits carbone dans le cadre de l’économie verte, ainsi qu’aux intérêts liés à ce processus de certification. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_266_FR.pdf
Permalink[article]REDD et l´Économie Verte aggravent l'oppression et la déforestation au Pará, Brésil - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, juillet 2023 (01/07/2023), N°266, P. 4-13
Dans l'économie verte, les intérêts des entreprises, des États et de l'industrie de la préservation sont intimement liés. Tous ces acteurs tirent profit de la destruction des forêts et de l'expulsion des communautés de leurs territoires. Dans l´État de Pará, au Brésil, le nombre de projets REDD est en expansion, parallèlement à l´initiative du gouvernement de mettre en œuvre un programme REDD national. Or les leçons apprises de son application durant quinze ans démontrent que le mécanisme REDD, pourtant considéré comme élément clé de l'économie verte, ne lutte ni contre la déforestation ni contre la crise environnementale. Avec la demande croissante de crédits carbone de la part des entreprises polluantes et des États qui veulent atteindre une prétendue "neutralité carbone", les projets REDD se multiplient, tels que les "solutions fondées sur la nature". https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_266_FR.pdf
Permalink[article]L’inclusion des « services environnementaux » dans la Constitution de l’Équateur : une façon d’accroître l’accaparement de territoires ? WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mars 2023 (01/03/2023), N°265, P. 18-21
En février 2023, le gouvernement équatorien de Guillermo Lasso a lancé une consultation populaire afin d’adopter quelques amendements à la Constitution, prétendant inclure les "compensations pour services environnementaux" comme droit constitutionnel. La majorité des électeur·rices ont voté NON. Cependant, cette tentative est un avertissement pour les groupes d’intérêts qui voudraient "approfondir" les politiques d’appropriation et de marchandisation de la nature. La définition du terme "service environnemental" se réfère aux fonctions et aux cycles de la nature —comme la filtration de l’eau dans les forêts et les sols, le cycle du carbone, la biodiversité, la pollinisation par les abeilles, etc.— et a été établie selon la logique de l’économie capitaliste, en imposant à la nature le rôle de prêteur de "services environnementaux", avec le mensonge qu’on pourrait la sauver en lui assignant une valeur économique. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_265_FR.pdf
Permalink[article]Monoculture d'hévéas dans les territoires communautaires à Mabu, Mozambique : concession d´injustices Justiça Ambiental - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mars 2023 (01/03/2023), N°265, P. 5-10
Au pied du Mont Mabu, montagne sacrée pour les communautés autochtones au Mozambique, l'expansion de la monoculture de l'hévéa limite l'accès des Manhaua à leur territoire. Cet accaparement de terres donne lieu à des abus systématiques et des violations des droits des populations locales. Les conditions de vie de ces communautés reflètent leur relation étroite avec l'environnement et les machambas, petites superficies cultivées par les familles paysannes pour leur autosuffisance alimentaire. L'ONG mozambicaine Justiça Ambiental (JA!) soutient les organisations paysannes locales, afin d´améliorer la gestion de leur système agricole. Or l´installation de la multinationale Mozambique Holdings et sa monoculture d'hévéas aggrave la rareté des terres disponibles pour l'agriculture, la cueillette et la chasse et, par conséquent, l'augmentation progressive des distances à parcourir jusqu'aux machambas, ce qui engendre des problèmes de survie. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_265_FR.pdf
Permalink[article]Amérique du Sud : destruction "verte" dans la forêt amazonienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier 2023 (01/01/2023), N°264, P. 35-41
Les solutions fondées sur la nature, proposées par l'ONU depuis l'an 2000, sont remises en cause dans la lutte contre la déforestation. En 2021, le Brésil, la Bolivie, le Pérou et la Colombie sont les pays les plus touchés au monde, en raison de la déforestation massive de la forêt amazonienne. L'article montre comment l'accaparement de terres est lié au système "capitaliste-néocolonial-patriarcal" : les grands projets de développement et d’infrastructures tels que les barrages, les routes, l’exploitation minière et l’extraction pétrolière sont perpétués par des alliances entre les multinationales et les États. L'agro-industrie ne cesse de progresser, entraînant une surexploitation forestière, des incendies de forêt et la spéculation sur les terres. Par ailleurs, des projets présentés comme des solutions à la crise climatique sont causes de déforestation : projets de "conservation de la nature" qui continuent de spolier les populations forestières, afin de créer des aires protégées contrôlées par les États, les multinationales et les ONG de conservation. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_264_FR_0.pdf
Permalink[article]Un dialogue sur les 15 ans de REDD en tant que politique climatique dans les forêts - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier 2023 (01/01/2023), N°264, P. 11-19
Le WRM a initié le dialogue avec plusieurs auteurs de la publication "15 ans de REDD : Un système fondamentalement vicié". L’objectif de cette rencontre était de réfléchir aux diverses dimensions des dommages causés par le programme REDD, qui a été intégré dans les négociations des Nations unies sur le climat en tant que politique dominante pour les forêts. L'article présente un résumé de chaque intervention en insistant sur la façon dont les promoteurs du programme REDD répètent que les communautés forestières sont les responsables de la déforestation et que REDD est la seule solution pour la réduire. Ce discours néocolonial facilite l’imposition de restrictions et d’interdictions à l'encontre les communautés autochtones quant à l'accès et l'utilisation des forêts et des terres ancestrales. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_264_FR_0.pdf
Permalink[article]Illusions du carbone en Amazonie brésilienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier 2023 (01/01/2023), N°264, P. 30-34
Les quatre projets REDD du programme de l'ONU, menés dans la municipalité de Portel, dans l'État du Pará en Amazonie brésilienne, ont été initialisés en 2008 par des multinationales étrangères et doivent s'achever en 2055. Cette initiative "écologique" vise à empêcher la déforestation et apporter des bénéfices à la population locale, en échange de crédits-carbone issus des émissions évitées, ce qui permet en fait aux entreprises extractives de continuer leurs activités polluantes grâce à la compensation carbone. Pour les investisseurs, il s'agit d'une possibilité supplémentaire d'accaparer la terre à leur profit au détriment des populations locales, par le biais d'une marchandise abstraite, le crédit-carbone. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_264_FR_0.pdf
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