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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[texte imprimé]Histoire du Brésil contemporain XIXe - XXe siècles ENDERS, Armelle, - BRUXELLES (BELGIQUE) : COMPLEXE, 1997, 288 P.
Seul pays sud-américain colonisé par le Portugal, le Brésil est passé d'une monarchie à une république puis a expérimenté le populisme, la dictature militaire, le retour à la démocratie. L'immigration, la grandeur et la décadence du café, la recherche d'indépendance économique, la recherche d'une identité nationale sont les thèmes sur lequel s'est ouvert le 20ème siècle brésilien. Cette nation appartenant aux pays industrialisés doit maintenant affronter les revers du "miracle brésilien".
Le bassin méditerranéen a toujours été une des principales régions de migrations à l'échelle mondiale. Cette réalité touche tous les aspects de la vie des sociétés, elle est une donnée majeure des relations internationales. Elle renvoie au problème de la pluralité qui est la grande question posée à la Méditerranée. Après avoir étudié la grande émigration de l'Europe du Sud, les déplacements liés aux colonisations, les exodes des décolonisations et le renversement Sud-Nord des flux avec les vagues récentes du Maghreb, l'auteur s'interroge sur le devenir des deux rives et l'avenir de leurs rapports, liés aux solutions apportées aux déséquilibres démographiques, au sous-développement, aux échanges inégaux et à l'instabilité des systèmes politiques, facteurs majeurs des migrations actuelles. Autant de solutions qui passent par la définition d'un projet engageant les pays riverains et, plus encore, d'une culture méditerranéenne commune. De plus en plus interdépendantes et cependant confrontées à la différence, à une occidentalisation au Sud et à l'enracinement des nouvelles populations au Nord, ces sociétés devront faire face aux enjeux des relations ethniques, aux tentations xénophobes et au métissage.(Résumé de l'éditeur)
Cet ouvrage est consacré à l'influence de la guerre du Vietnam sur l'Amérique qui en a subi l'humiliation. L'auteur rend compréhensible le profond malaise que connaît la société américaine par rapport à ce conflit. Il le fait en rappelant les origines d'une guerre engagée dans le secret mais qui finit par envoyer deux millions et demi de jeunes Américains au Vietnam. Puis il montre combien cette guerre s'est trouvée imbriquée dans la société américaine de 1964 à 1973 et combien elle l'a divisée. Enfin, dans une troisième partie, il analyse la profondeur de l'impact du "Vietnam" en dressant un bilan économique, social et politique et, insiste sur la mémoire et la conscience, avec un passage, notamment, sur le "Vietnam des Ecrans".
[texte imprimé]Histoire de la Yougoslavie de 1945 à nos jours KRULIC, Joseph, - BRUXELLES (BELGIQUE) : COMPLEXE, 1993, 251 P.
L'histoire de la Yougoslavie renvoie à trois réalités politiques différentes au cours du XXe siècle. La "première Yougoslavie" est une monarchie fondée en 1918 sous le nom de royaume des Serbes, Croates et Slovènes, avant d'être renommée royaume de Yougoslavie en 1929. La "deuxième Yougoslavie" est une république fédérale à parti unique communiste, fondée en 1945, dont la crise finale de désagrégation s’accélère entre 1986 et 1991, après la mort de Tito. La "troisième Yougoslavie" est un État fédéral formé en 1992 sur le territoire de la Serbie qui regroupe les actuels pays de Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Serbie, Macédoine du Nord, ainsi que les territoires de Voïvodine et du Kosovo. L'histoire de cette nouvelle entité, appelée république fédérale de Yougoslavie, est marquée par une série de guerres civiles qui opposent le pouvoir central aux différentes entités ex-yougoslaves désirant leur indépendance.
En août 1990, le dictateur irakien Saddam Hussein envahit le Koweït, provoquant ainsi un conflit qui devient vite international avec l'intervention des Etats Unis. Qu'y a-t-il derrière les ambitions régionales du dirigeant irakien ? Ce livre retrace avec précision les différentes étapes du conflit et le contexte économique, social, culturel dans lequel il s'est produit. L'auteur s'interroge également sur le marché fructueux des ventes d'armes à l'Irak et sur l'avenir de ce pays. La question des Kurdes, peuple sans état, est également abordée.
Traditionnellement considéré comme un mouvement social-démocrate, le sionisme renferme pourtant en lui une composante droitière affirmée. L'auteur remonte à l'histoire de Zeev Jabotinsky, fondateur de l'Alliance révisionniste, première force politique sioniste de droite. Il analyse tout le cheminement d'un mouvement complexe dont la compréhension est essentielle. Il montre les origines de cette droite, son action pendant l'entre deux guerres, son rôle pendant la deuxième guerre mondiale et pendant les années qui ont précédé la création de l'Etat d'Israël. Il explique sa victoire en 1977 après une longue traversée du désert et les choix auxquels elle a ensuite été confrontée.
Le dictateur Somoza a été renversé en 1979 par les Sandinistes qui tentent de mettre en place un régime révolutionnaire. Le Salvador et le Guatemala sont aussi plongés dans la guerre civile. Les Etats-Unis, fortement contestés dans ces pays qu'ils croyaient dominer, sont entraînés dans la tourmente. L'Amérique centrale devient un point chaud où s'affrontent les deux superpuissances. L'auteur analyse les raisons et les enjeux de cette crise, la stratégie des Etats-Unis, les chances de la démocratie en Amérique centrale.
Liban en proie à ses démons familiers, Liban otage de ses voisins, Liban singulier précipité dans les crises du Proche Orient. C'est tout cela qui fait le projet de ce livre. Projet de mettre à nu les logiques ambiguës, volonté de démystifier les discours et les actes, conviction qu'il y a bel et bien quelque chose à comprendre est sans doute la première de nos responsabilités envers le Liban.
Pour permettre de mieux comprendre les problèmes posés par la notion "d'identité française", l'auteur fait d'abord, à partir de sources bien identifiées, l'histoire des rapports entre l'étranger et la France de 1900 à 1954. Puis après cette date, il examine surtout la question de la décolonisation en Algérie et les conséquences de l'arrêt de l'immigration. Les prises de position des partis de droite et de gauche ne sont pas occultées. La conclusion insiste sur l'aspect culturel de l'immigration.
