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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[texte imprimé]Le principe de formation : pour et par une idéologie de la formation BOUTIN, André, ROCARD, Michel - LYON : PRESSES UNIVERSITAIRES DE LYON (PUL), 1988, 196 P.
Après le rappel de quelques bases théoriques de la formation continue - Crozier, Friedeberg, Oudot - et de quelques mises en œuvre réussies, en particulier en Scandinavie, l'ouvrage analyse le rôle de ces grands agents formateurs que sont la communication, l'économie et la politique. Il explore enfin trois directions dans lesquelles la formation peut, à court terme, effectuer sa mission de "révolution tranquille". (Extrait du résumé de l'éditeur).
Expériences de formation au Sud et au Nord évoque des expériences qui, échelonnées sur un quart de siècle, conduisent à identifier formation et développement. Il ne s'agit plus d'éducation de type scolaire ni de formation professionnelle analytiques, individualistes et dépendantes mais de démarches souvent collectives, synthétisées par l'action responsable. Les idées ainsi exposées prolongent Théorie de la pauvreté de masse car l'accomodation à l'appauvrisssement ou au progrès décrite par J.-K. Galbraith n'est autre que la formation inconsciente imprimée aux peuples par leur propre histoire. Des formations originales apparaissent alors comme le plus sûr moyen de lutte contre l'appauvrissement. Elles mobilisent progressivement les collectivités autour de leurs éléments les plus volontaires tour à tour formateurs et formés dans la réalisation de projets créateurs d'activités économiques et sociales. A crise essentiellement culturelle, remède culturel ! (Résumé de l'éditeur).
Une idée reçue, idée-hydre d'une désespérante immortalité s'est ancrée dans les psychologies collectives au point de paralyser nos projets culturels. Elle s'énonce aujourd'hui par l'axiome "la formation ne crée pas d'emplois" exprimant dans la phraséologie actuelle modelée par la crise L'insurmontable défiance dans laquelle les conservatismes ont toujours tenu le facteur humain. le moindre examen critique fait justice de cette proposition qui méconnaît les formations conscientes et inconscientes dont sont tissées ingéniosité et capacité d'adaptation réputées infinies chez notre espèce. Il n'empêche "la formation de crée pas d'emplois" et ceux qui, exemples à l'appui, démontrent le contraire ont tort au point de se voir refuser souvent les moyens de réaliser des programmes qui feraient éclater la vérité. [...] (Extrait du résumé de l'éditeur).
