Détail d'une collection
|
Documents disponibles dans la collection (1)



![]()
[texte imprimé]La Nuit des Grands Morts : l'initiée et l'épouse chez les Tamberma du Togo SEWANE, Dominique, - PARIS : ECONOMICA, 2002, 272 P.
Réputés pour la beauté de leurs édifices en terre, les Tamberma du nord-est du Togo, montagnards aux fortes traditions guerrières et de chasse, apparaissent comme l'exception d'une culture africaine encore préservée. Ce peuple est réputé pour le raffinement de ses forteresses de terre, le nom qu'il se donne Batammariba veut dire "ceux qui construisent en malaxant la terre humide". Tout en s'ouvrant à la modernité, il ne renonce en rien à leur tradition en particulier les rites initiatiques de jeunesse. Tous les quatre ans, le rite féminin du "dikuntri", impulse un nouvel élan à la communauté en favorisant la rencontre entre les vivants et les morts.
Titre : La Nuit des Grands Morts : l'initiée et l'épouse chez les Tamberma du Togo Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique SEWANE Editeur : PARIS : ECONOMICA Année de publication : 2002 Collection : AFRIQUE CULTURES Importance : 272 P. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7178-4484-9 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Togo ; Afrique de l'ouest
Thésaurus Thématique
SOCIÉTÉ ; Ethnie ; Culture traditionnelle ; Ethnologie ; Identité culturelle ; ArchitectureRésumé : Réputés pour la beauté de leurs édifices en terre, les Tamberma du nord-est du Togo, montagnards aux fortes traditions guerrières et de chasse, apparaissent comme l'exception d'une culture africaine encore préservée. Ce peuple est réputé pour le raffinement de ses forteresses de terre, le nom qu'il se donne Batammariba veut dire "ceux qui construisent en malaxant la terre humide". Tout en s'ouvrant à la modernité, il ne renonce en rien à leur tradition en particulier les rites initiatiques de jeunesse. Tous les quatre ans, le rite féminin du "dikuntri", impulse un nouvel élan à la communauté en favorisant la rencontre entre les vivants et les morts. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38017 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 33581 AF-TOG-SEW autres textes imprimés 69 - FORUM REFUGIES (Lyon) Disponible