Résumé : |
La terre est malade : dérèglement climatique, pollution de l'air et de l'eau, épuisement des sols, disparitions de nombreuses espèces animales et végétales ... tout cela au milieu d'une indifférence quasi générale. Cette catastrophe en marche est due à l'idéologie productiviste, c'est-à-dire à l'indifférence à la nature, à la primauté de l'économique, mais aussi en une foi démesurée dans la technologie. A l'échelon international où ont lieu les négociations environnementales, dans un brouillard de faux espoirs et d'ambiguïtés perverses, toutes les décisions semblent tournées dans le sens des intérêts du marché et des sociétés industrielles. |