Détail de l'éditeur
Documents disponibles chez cet éditeur (5)
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[texte imprimé]La guerre économique mondiale ISAMBERT, Bernard, - PARIS : OLIVIER ORBAN, 1992, 296 P.
La guerre économique fait rage au début des années 90. Les principaux acteurs en sont les Etats Unis, le Japon et une Europe à la recherche de son unité. Par l'intermédiaire de leurs entreprises, ces pays se disputent les marchés et tentent d'accroître leurs parts dans le commerce international. Les multinationales deviennent tentaculaires, les kraks boursiers ne sont pas rares et la délocalisation des entreprises est de règle dans tous les domaines. Il est vrai que cette mondialisation ouvre de nouvelles perspectives et d'autres débouchés pour les produits manufacturés et les services. Mais le revers de la médaille est la pauvreté et le chômage pour ceux qui échouent ou qui restent au bord de la route.
Quand en août 1990, Saddam Hussein s'empare du Koweit, il compte sur le lobby pro-irakien en France pour soutenir son action. De nombreux hommes d'influence, de droite et de gauche, ont en effet depuis plusieurs années aidé l'Irak à se procurer une technologie nucléaire, des armements sophistiqués, des conseillers militaires.
L'Irak est économiquement exsangue au lendemain de la guerre contre l'Iran (fin années 80). Dans ces conditions, le dépassement par le Koweit des quotas de production fixés et donc la baisse du prix du pétrole en résultant sont perçus par l'Irak comme une véritable "agression". Des outrances verbales de son leader aux concentrations de forces militaires à la frontière koweitienne, l'Irak va jusqu'à l'invasion du Koweit le 2 août 90. Les auteurs analysent cette "crise" du Golfe, tant sous des aspects politiques méconnus du grand public (contenu de négociations et documents secrets) que par des éléments plus connus tels que la division, à ce sujet, du monde arabe, les échecs et les tâtonnements de l'Occident et de l'ONU. Puis en fin d'ouvrage, la quasi-certitude d'intervention militaire dans le Golfe.
[texte imprimé]Tempête du désert : Les secrets de la Maison-Blanche : tome 2 LAURENT, Eric, - PARIS : OLIVIER ORBAN, 1991, 350 P.
Le 16 janvier 1991, George Bush déclenche l'opération "Tempête du désert" pour la libération du Koweït envahi par l'Irak. L'auteur reconstitue la chronologie de ce conflit, depuis la décision de l'offensive contre l'Irak dans le bureau ovale du Président étatsunien, un soir d'octobre 1990. Entre les réunions secrètes nord-américaines dans la "situation room", d'où sortent les plans de guerre et d'intox médiatique, et les tentatives désespérées de Gorbatchev pour sauver Saddam Hussein, en passant par le dialogue de la dernière chance entre Tarek Aziz et James Baker à Genève, l'auteur relate la persistance de George Bush pour fomenter sa guerre, planifiée avec précision. Pendant sept mois, George Bush a tout décidé et tout organisé avec ses principaux conseillers, dont James Baker, le diplomate et confident, Dick Cheney, le secrétaire à la Défense, et Colin Powell, le stratège. Grâce à des sources inédites à Washington, Eric Laurent relate les dessous de la guerre du Golfe et des secrets de la Maison-Blanche.
Actes du colloque de 1985. Conclusions : le tiers-mondisme a trop souvent fait l'impasse sur la démocratie et soutenu des modèles généralement totalitaires. L'homme doit redevenir finalité de toute entreprise. L'action doit se dégager des utopies et de l'isolement cartiériste, elle doit échapper à la complaisance et à l'égoïsme.
