Détail de l'auteur
Documents disponibles écrits par cet auteur (6)
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[texte imprimé]Conflits et croissance en Afrique. Vol. 1 : Le Sahel AZAM, Jean-Paul, MORRISSON, Christian - PARIS : ORGANISATION DE COOPERATION ET DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUES (OCDE), 1999, 192 P.
Cet ouvrage s'intéresse à quatre pays du Sahel : le Tchad, le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Les auteurs cherchent à identifier les facteurs économiques qui participent à l'entretien des conflits dans ces quatre pays. Pour autant, ils ne négligent pas les aspects sociaux, ethniques et historiques qui sont aussi à l'origine de ces conflits. L'étude s'intéresse notamment aux disparités entre régions, entre ville et campagne, mais également au "système d'accaparement des ressources publiques", au clientélisme, aux oppositions historiques entre populations du Nord et du Sud, etc. L'influence des difficultés économiques sur les conflits est réelle et les auteurs envisagent des changements de politique économique pour prévenir les risques de troubles ou de guerre civile.
Analyse économique et politique de différents pays en développement.
La Côte d'Ivoire et le Maroc ont connu des fortunes diverses en appliquant leurs politiques d'ajustement pendant les années 80. Au Maroc, ces mesures ont été un succès car le gouvernement est parvenu à diversifier l'économie nationale tout en conservant l'appui du peuple. La Côte d'Ivoire, dont l'économie était trop dépendante des cours du café et du cacao, s'est engluée dans les difficultés politiques, économiques et sociales dont elle n'est toujours pas sortie.
Ce volume de synthèse rassemble les conclusions de sept études de pays (Chili, Côte d'Ivoire, Equateur, Ghana, Indonésie, Malaisie et Maroc) et en tire un certain nombre de recommandations pour l'élaboration de politiques d'ajustement équitables.
Les auteurs étudient d'abord la genèse de l'ajustement et l'évolution du chômage, des revenus, des transferts publics, de la pauvreté pendant la période d'ajustement. Ils présentent ensuite le modèle de simulation et analysent les effets sociaux des mesures de stabilisation. Dans le dernier chapitre, ils montrent les avantages d'un ajustement anticipé en fonction de la variation du résultat final d'un pays à l'autre.
Cette étude veut analyser d'une façon nouvelle les conséquences des politiques d'ajustement et de stabilisation économique, en examinant simultanément les dimensions économique, politique et sociale, ce qui permet d'évaluer le coût social de chaque mesure de stabilisation macro-économique. Les auteurs en concluent que les politiques d'ajustement n'accroissent pas automatiquement l'inégalité et ne produisent pas toujours des effets négatifs pour les pauvres.
L'objectif de l'enquête menée auprès de micro-entreprises de différents secteurs d'activité était de "mesurer" l'impact des réglementations juridiques et fiscales sur les petits entrepreneurs. Selon les règlements et impôts, on voit que l'Etat fait preuve soit de rigueur, soit de laxisme. Mais dans un climat économique assez difficile, où la micro-entreprise s'impose comme le moyen principal de résoudre le problème d'emploi, l'Etat se veut relativement flexible en matière de règlements et fiscalités.
https://www.oecd-ilibrary.org/docserver/636600173665.pdf?expires=1622990564&id=id&accname=guest&checksum=4CFACFFE749C14626321E317E8BE3E50
