Détail de l'éditeur
Documents disponibles chez cet éditeur (19)
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[texte imprimé]Causes de la faible inscription scolaire et taux élevés de l'abandon scolaire au niveau de l'éducation primaire chez les jeunes filles : Une étude de cas de Madi au nord-Ouest de l'Ouganda AYIGA, Natal, - NAIROBI (KENYA) : ACADEMY SCIENCE PUBLISHERS, 1997, 37 P.
Jusqu'au début des années 1970, les filles accédaient généralement à l'éducation, le plus souvent l'enseignement primaire. Mais à partir des années 1990, le pourcentage des inscriptions scolaires des filles de Madi a nettement chuté. L'une des principales raisons à cela est le fardeau du financement de l'éducation qui, de plus en plus, a été porté par les parents et la communauté. Les filles ont été les premières à subir ce changement en se voyant refuser l'accès à l'éducation. L'enquête menée sur le sujet tente de mettre au clair ce facteur de déscolarisation ainsi que les autres facteurs qui ont contribué à ce recul social.
En s'appuyant sur une étude menée en Ouganda dans le district de Kabarole, l'auteur s'intéresse aux perceptions et conceptions des deux sexes et les répercussions de celles-ci sur la scolarisation des filles. Partant du constat que les filles accèdent beaucoup moins facilement à l'école que les garçons, il interroge enseignants, parents et tuteurs, et fait apparaître que les perceptions des sexes sont intégrées dans les opinions socio-culturelles sur les rôles et responsabilités des hommes et des femmes adultes.
L'étude porte, d'une part, sur les facteurs explicatifs des différences de scolarisation entre les garçons et les filles à Yaoundé, d'autre part sur les politiques mises en place pour pallier les inégalités d'accès à l'éducation.
Réalisée à partir de questionnaires et d'entretiens auprès des acteurs sociaux ainsi que par l'examen des archives, elle met en lumière l'importance du déterminant religieux dans la discrimination scolaire.
L'objet de cette étude est de démontrer l'impact du SIDA dans l'accès à l'éducation et en particulier celui des jeunes filles. Il s'agit d'en évaluer l'importance dans le Sud-Ouest de l'Ouganda. Des analyses démontrent combien l'épidémie du SIDA a des conséquences directes et indirectes sur l'inscription et l'abandon scolaire des filles.
La scolarisation et l'éducation des garçons au Cameroun sont favorisés par rapport aux filles. L'éducation obligatoire est donc un déterminant très important pour l'avenir éducatif et professionnel des filles. Grâce à l'éducation obligatoire elles peuvent à terme espérer avoir des chances à peu près égales aux garçons sur le marché du travail. L'enquête tente de déterminer l'influence de l'éducation de type obligatoire sur l'accès des femmes à l'avancement et aux rémunérations professionnelles au Cameroun, mais aussi de déterminer si les décisions prises au sein du foyer affectent négativement l'éducation des filles et des garçons.
Considérant que le développement socio-économique d'un pays est intimement lié au taux de scolarisation des femmes, l'étude s'intéresse à la ville de Bamako, au Mali, où on note une très forte absence des femmes dans le milieu scolaire. Les auteurs s'intéressent à ce phénomène et tentent d'en dégager les principales causes.
L'éducation des femmes contribue sans nul doute au développement socio-économique des pays africains. Elle permet aux femmes de gérer plus efficacement leur foyer et entraîne une plus longue espérance de vie, une baisse de la mortalité infantile et de la fécondité. Cependant, malgré la politique ougandaise en matière d'éducation, les filles sont nettement sous-représentées dans le milieu scolaire. Une étude a été menée sur deux districts : Mpigi où le taux d'inscription scolaire est élevé et Iganga où il est particulièrement faible. Elle révèle que le taux de scolarisation des filles est représentatif de la situation économique des foyers. L'éducation des filles n'apparaît pas comme une priorité. De même, d'autres facteurs entrent en ligne de compte : les attentes personnelles des parents/tuteurs, les attentes socio-culturelles, le problème du travail des enfants à domicile et les inégalités sexuelles au foyer.
Ce résumé de rapport de recherche vise à analyser les modes de déscolarisation des filles des différents niveaux d'école primaire, dans les régions sélectionnées du Kenya. Dans un second temps, l'intérêt est porté aux facteurs déterminants. Enfin, il présente les stratégies adoptées par les écoles pour "fidéliser" les jeunes filles.
La lutte contre la déscolarisation s'inscrit comme lutte contre l'analphabétisation qui menace la santé et le développement.
Une enquête menée au Kenya a permis de montrer que plusieurs facteurs liés au foyer agissent sur le faible taux de scolarisation des filles. Parmi ces facteurs : le type de foyer (polygame, monogame...), le revenu du foyer, le niveau d'éducation du couple, le temps consacré aux activités domestiques par les deux sexes, le ratio des garçons et des filles dans un foyer... Généralement les filles sont défavorisées par rapport aux garçons notamment lorsque le revenu du foyer est faible et le niveau d'éducation du couple parental bas. A partir des résultats de l'enquête il semble nécessaire d'agir sur des points précis tels que la réduction des naissances et du temps consacré par les filles aux tâches domestiques, la création d'un cadre familial plus propice à l'éducation, tout cela afin de favoriser les chances de scolarisation des filles.
En tant qu'actrices quotidiennes de l'environnement, les femmes sont à la fois victimes et responsables de sa dégradation. L'idée de l'étude est d'examiner les connaissances et attitudes révélant l'importance de la participation positive des femmes aux activités environnementales. Ces enquêtes ont été menées dans six régions différentes de la Tanzanie.
une enquête menée à partir d'un échantillon de ménages de la région du Sud-Ouest du Nigeria a permis de constater que le taux d'alphabétisation des femmes est très faible, bien plus faible que celui des hommes. Afin de rétablir l'équilibre il est important d'analyser et de déterminer les facteurs d'inégalité à partir de l'enquête et de proposer des mesures visant à l'amélioration de l'alphabétisation et de l'inscription des femmes dans les établissements scolaires.
L'évaluation et l'analyse des inégalités sexuelles dans la réussite scolaire permet de mieux connaître les besoins, les lacunes et les points forts des filles et des garçons. A partir de la prise de connaissance de ces éléments, il est plus facile pour les acteurs de l'éducation d'améliorer la qualité du système éducatif en place, et ainsi d'augmenter les chances de réussite des élèves, notamment en réajustant les programmes et la formation des enseignants.
Ce rapport propose une nouvelle approche de la différenciation entre filles et garçons au niveau de la scolarisation. En d'autres termes, l'analyse ne porte pas sur les aspects structurels de l'éducation, mais sur le rôle des facteurs sociaux et des comportements des genres dans la discrimination sexuelle du système éducatif.
A partir d'un échantillon de personnes du district de Mpigi au Kenya, la participation des femmes à des programmes d'alphabétisation a fait l'objet d'une étude. Les différents facteurs entravant l'accès à ces formations et ce que pouvait représenter ce type de programme ont été analysés à travers des questionnaires soumis aux populations des deux sexes.
Ce rapport fait le point en matière de politiques éducatives relatives à la grossesse au Botswana. Malgré quelques réalisations, elles restent encore très rigides et excluent du système éducatif de nombreuses filles-mères. Les efforts sont à concentrer sur l'efficacité et le développement des plannings-familiaux ainsi que sur l'information en matière de contraception. Par ailleurs, les auteurs conseillent l'ouverture de séminaires et d'ateliers sur la grossesse et les pratiques culturelles sexuelles.
Les programmes informels et de réinsertion sont un moyen de substitution pour les personnes qui n'ont pas la possibilité d'être scolarisées (le plus souvent les filles) ou pour les personnes ayant quitté le système scolaire prématurément et qui souhaitent le réintégrer. L'objectif de cette étude est de vérifier le bien-fondé des programmes destinés aux filles dans le cadre de l'éducation pour tous, d'identifier la nature des programmes actuels en termes de contenu, financement et d'utilité à la clientèle et enfin de faire des propositions sur la façon de reproduire des programmes de même type.
Afin d'orienter le plus justement possible le programme intitulé "Priorités de recherche sur l'éducation des filles et des femmes en Afrique", de nombreux documents ayant trait à l'éducation des femmes en Afrique ont été étudiés. A partir de cette analyse, les auteurs du programme ont tenté d'identifier les lacunes fondamentales de ces documents et de la pratique de recherche pour proposer les thèmes prioritaires qui seront abordés lors du lancement du programme.
Y a-t-il un rapport direct au Kenya entre le nombre d'enfants dans une famille et les frais de scolarité engagés (facteur supposé révéler la qualité du niveau d'étude des enfants) ? En se basant sur le modèle de quantité-qualité de Becker, l'enquête présentée ici a tenté d'identifier et d'analyser les facteurs qui déterminent les frais de scolarité du ménage, d'étudier les facteurs déterminants comme le nombre d'enfants, et enfin, d'observer si les familles moins nombreuses dépensent plus d'argent pour l'éducation des enfants que les familles nombreuses. Sur la base de ces conclusions, des recommandations en matière de politique éducative sont proposées.
"La situation en matière d'éducation des jeunes filles et des femmes de l'Afrique subsaharienne est devenue un sujet de préoccupation majeur. Le présent document tente de mettre en lumière la situation, les caractéristiques et les tendances les plus récentes de la participation des femmes à l'éducation en Afrique subsaharienne à partir des données statistiques collectées par l'UNESCO pour la période 1980-1993. [...] Les situations et tendances propres à chaque pays font en outre l'objet d'une analyse comparative. [...] Le document se divise en trois parties. La première résume les principales conclusions qui se dégagent de l'analyse comparative [...], une analyse centrée sur les indicateurs intéressant directement les femmes ainsi que sur ceux mettant indirectement en lumière les disparités entre les sexes. La seconde présente les profils statistiques de chacun des quarante-huit pays de la région et les indicateurs les concernant. La troisième regroupe la liste des pays, une description succincte des indicateurs, les tableaux statistiques récapitulatifs et les références bibliographiques". (Extraits de l'introduction).
P.O. Box 14798 – 00800
Nairobi