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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[document électronique]N'exportons pas nos problèmes CHOPLIN, Gérard, - BRUXELLES (BELGIQUE) : HUMUNDI (SOS FAIM), 2019/04, 64 P.
Depuis plusieurs années, le secteur laitier européen est en surproduction. Celle-ci entraîne une chute des prix, ne permettant pas aux éleveurs européens de vivre de leur travail. Les agro-industriels en tirent profit : ils achètent le lait à bas prix, puis se tournent vers les marchés ouest-africains pour écouler le surplus sous forme d'une poudre écrémée ré-engraissée à l’huile de palme et qui coûte jusqu’à 30% moins cher que le lait local. Ce faux lait envahit et étouffe la filière locale et les éleveurs africains. Ce rapport, après avoir décrit le phénomène, en détaille les responsabilités particulièrement celles des politiques européennes et des firmes laitières européennes, puis décrit les initiatives prises en faveur de la filière laitière locale ouest-africaine, celles des producteurs européens et ouest-africains, celles des institutions et les campagnes de promotion du lait local. Il termine sur une série de recommandations vis à vis des politiques européennes.
Public :
https://www.nexportonspasnosproblemes.org/wp-content/uploads/2019/04/Dossier_Campagnelait_.pdf
[document électronique]Les céréales au cœur d'une Afrique de l'Ouest nourricière BLEIN, Roger, - OUAGADOUGOU (BURKINA FASO) : RESEAU DES ORGANISATIONS PAYSANNES ET DES PRODUCTEURS AGRICOLES DE L'AFRIQUE DE L'OUEST (ROPPA), 2012/09, 84 P.
Le but de cette étude est double : faire dans un premier temps un état des lieux de la production, de la consommation, des politiques céréalières ainsi que du poids de l’économie céréalière dans l’économie globale de chaque pays d’Afrique de l’Ouest ; et dans un second temps déterminer les enjeux de l’agriculture céréalière et les perspectives possibles à l’horizon 2030.
Public :
https://www.alimenterre.org/system/files/ressources/pdf/sos-12-cerealesfr13.pdf
[vidéo]Les moissons du futur - PIERREFITTE SUR SEINE : M2R FILMS, 2012, 1 DVD, 90 mn.
Après avoir dénoncé les dérives de l'agro-industrie ("Le monde selon Monsanto", "Notre poison quotidien"), Marie Monique-Robin présente des alternatives : des initiatives agroécologiques réussies aux quatre coins du monde (Japon, Malawi, Kenya, Sénégal, Mexique, Allemagne), augmentant les rendements et créant de nouveaux liens entre producteurs et consommateurs. Le film donne aussi la parole à Olivier de Shutter, rapporteur spécial de l'ONU, pour répondre à la question "Comment nourrir 9 milliards d'hommes en 2050 ?". Peut-on compter sur les agricultures paysannes, économes en intrants, ou l'agro-industrie est-elle indispensable ?
Public : Lycée (15-17 ans);Adulte
[document électronique]Producteurs agricoles : victimes, acteurs ou sauveurs des changements climatiques ? PISSOORT, Virginie, THIAO, Paul Ibrahima - BRUXELLES (BELGIQUE) : HUMUNDI (SOS FAIM), 2011/09, 24 P.
La question principale de ce rapport est de déterminer le rôle de l’agriculture dans les changements climatiques actuels. L’agriculture est-elle la cause majeure des changements climatiques ou au contraire la solution ? Selon la façon dont elle est pratiquée, l’agriculture peut être acteur responsable, victime mais aussi acteur de solution des changements climatiques.
Public :
https://www.alimenterre.org/system/files/ressources/pdf/producteursagricoles_victimes-acteurs-sauveurs.pdf
[exposition] L'agriculteur africain est rayé de la carte Humundi (SOS Faim) Belgique, - BRUXELLES (BELGIQUE) : HUMUNDI (SOS FAIM), 2007, 8 panneaux
Une exposition qui souligne que le parcours d’un producteur africain, du champ à l’étal, est semé d’embuches. Une première série de panneaux présente les causes de la faim, notamment ses causes commerciales ainsi que les stratégies de lutte contre la pauvreté mises en place par les mouvements paysans.
Quatre autres panneaux reviennent sur la crise alimentaire de 2008 en montrant ses causes politiques et économiques ainsi que la réponse que pourrait y apporter l’agriculture locale si les politiques prenaient en compte le droit à la souveraineté alimentaire.
Chacune des séries donne lieu à un quizz.
Public : Adulte;Collège (11-14 ans);Cycle 2 (6-7 ans);Cycle 3 (8-10 ans);Enseignant / animateur;Lycée (15-17 ans)
L'agriculture familiale est menacée en Afrique parce que les Africains n'arrivent plus à écouler sur le marché local les denrées de base qu'ils produisent. Dans ce document, la situation est illustrée par l'exemple du Cameroun dans le domaine de la production laitière : celle-ci est concurrencée fortement par les importations de lait en poudre provenant des excédents des pays européens.
Public : Collège (11-14 ans);Lycée (15-17 ans);Adulte
Les surplus de production de poulets européens alimentent les fast food africains : le poulet congelé est vendu en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale à prix sacrifiés. Les conséquences sont désastreuses pour la santé et l’économie de ces pays, d'autant que les aviculteurs africains ne sont pas en mesure de concurrencer les bas prix européens. Les organisations paysannes tirent la sonnette d’alarme au Sud et sont soutenues en Europe par des organisations humanitaires comme SOS Faim. Ce documentaire dénonce les dérives de la mondialisation des excédents agricoles et ses effets au Cameroun.
Public : Lycée (15-17 ans);Enseignant / animateur;Adulte
https://www.dailymotion.com/video/xgik8g
Ce film de 26 minutes présente le contexte dans lequel évoluent les producteurs et consommateurs du Burkina Faso. Un contexte où la sécheresse met à mal la production de denrées alimentaires, obligeant certaines communautés à migrer vers des zones plus fertiles. Le projet des Greniers de Sécurité Alimentaire (GSA), présenté dans un second temps, constitue une réponse viable aux problèmes de disponibilité et d’accessibilité des denrées alimentaires.
Public :
[texte imprimé]Chili : Contexte économique et mouvements sociaux , - BRUXELLES (BELGIQUE) : HUMUNDI (SOS FAIM), 1996, 112 P.
Le Chili est aujourd'hui en bonne santé. : croissance ininterrompue depuis dix ans, multipartisme, liberté d'expression et processus de démocratisation en cours. Cependant le Chili est aussi le pays qui compte le déséquilibre le plus important du globe en matière de répartition des richesses. Afin d'analyser ces différentes facettes -économiques, politiques, sociales- et de tenter de cerner les perspectives d'avenir qui s'offrent à la société civile et aux ONG, le présent ouvrage regroupe des contributions de quatre auteurs différents. Il traite d'abord de la politique néo-libérale instaurée par le gouverment démocratiquement élu. Puis il s'interroge sur la situation actuelle du gouvernement démocrate-chrétien : qu'en est-il de sa popularité ? Où en sont les réformes ? Comment se situe l'opposition ? Vers quoi s'oriente la démocratie chilienne ? Il examine alors les différents mouvements existants en milieu urbain et dans les campagnes. Enfin, il aborde la situation des organisations non gouvernementales (ONG) pour qui les nouvelles données actuelles sont sans conteste sources de remises en quesion.
Le développement des organisations de base, surtout rurales, est une caractéristique de l'évolution récente du Sénégal. L'étude replace d'abord ce phénomène dans l'histoire du pays, de l'époque pré-coloniale à nos jours, fait un bref historique des partis politiques et décrit les principales caractéristiques culturelles. Puis les auteurs relient la floraison des diverses organisations populaires aux politiques économiques, d'abord socialisantes, puis libérales (programmes d'ajustement structurel), menées depuis l'indépendance. Ils retracent alors l'historique du mouvement associatif et en font le bilan. Ils examinent enfin le rôle de ces associations spécifiques que sont les organisations non gouvernementales (ONG) comme alternative dans l'encadrement des secteurs populaires et l'appui aux organisations de base. En conclusion, l'étude critique les politiques d'ajustement structurel et énumère les conditions nécessaires à un développement "auto-entretenu".
Pour répondre aux critiques émises sur le rôle des organisations non gouvernementales (ONG) belges dans la coopération internationale, les auteurs proposent un "cadre pour un débat". Après avoir analysé le nouveau contexte international de mondialisation dans lequel elles opèrent, ils procèdent à un "audit" des ONG flamandes : fonctionnement, objectifs, degré de professionnalisme, etc., en soulignant les points forts et les points faibles. Ils passent ensuite en revue les réformes qu'elles devraient réaliser si elles veulent continuer à jouer valablement un rôle de partenaires dans la coopération au développement. Enfin, ils formulent une série de suggestions concrètes en vue d'améliorer les relations entre les ONG et les autorités.
Les opérations de crédit ne sont pas une fin en soi. Elles ne sont qu'un outil de développement. Leurs résultats doivent être appréciés en terme d'impact réel sur le bien-être d'une population. La première partie de l'ouvrage regroupe des exposés abordant des questions de fond : relations des ONG avec l'Etat et avec le crédit rural, relations entre les organismes de crédit rural et la population bénéficiaire, mise en oeuvre de programmes (montants, intérêts, garanties), analyse de la stratégie de l'Etat allemand pour le développement d'un marché financier rural en Bolivie, etc. La seconde partie présente six expériences concrètes : Bolivie, Nordeste brésilien, Colombie, Chili, Equateur, Pérou.
Cette publication est le résultat de l'échange des expériences d'une vingtaine d'associations d'Amérique du Sud spécialisées dans le financement alternatif, qui a eu lieu lors d'un séminaire tenu à Quito en 1992. Une première partie recense les principaux acteurs du financement alternatif : groupes urbains et ruraux qui s'organisent, organisations non gouvernementales, coopératives d'épargne et de crédit... Vient ensuite la présentation d'instruments et de moyens servant à financer l'économie populaire. Enfin, une dernière partie dresse un éventail de mécanismes et d'outils financiers utilisables (fonds rotatifs, prêts gradués, cartes de crédits...).
DEFIS SUD
B-1000 Bruxelles
tél : +32 (0)2 548 06 70
courriel : info@humundi.org
https://www.sosfaim.be/