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[texte imprimé]Guerre des méthodes en sciences sociales OTEMIKONGO MANDEFU YAHISULE, Jean, TSHIYEMBE, Mwayila - PARIS : L'HARMATTAN, 2018, 313 P.
"Les sciences sociales développent des paradigmes épistémologiques et des méthodes de recherche. Une rapide revue de littérature des ouvrages d'épistémologie et de méthodologie des sciences sociales suffit pour constater que la cacophonie et la guerre entre pratiquants de ces sciences pour le choix des paradigmes et des méthodes ne facilitent pas leur opérationnalisation et leur utilisation. Cet ouvrage dresse l'état des savoirs sur l'épistémologie et la méthodologie des sciences sociales. Il propose des stratégies pour choisir le paradigme épistémologique dans lequel inscrire son projet de recherche, opérationnaliser les méthodes de recherche courantes en sciences sociales, communiquer et évaluer les résultats de la recherche scientifique. L'ouvrage fournit également des clés permettant de réaliser un "travail épistémique" par la critique interne des concepts, des théories, des méthodes, des techniques et des résultats de la recherche scientifique". (Résumé de l'éditeur).
[texte imprimé]Relations internationales : une science appliquée au service du pouvoir TSHIYEMBE, Mwayila, - PARIS : L'HARMATTAN, 2018, 270 P.
Cet ouvrage est un hommage à une figure de la République Démocratique du Congo, le professeur Philippe Biyoya Makutu Kahandja, Docteur en Sciences politiques et Relations internationales, spécialiste en Etudes stratégiques et de sécurité internationale ainsi qu'en Institutions politiques. Ancien Conseiller des ministres congolais des Affaires étrangères et ancien membre du collège politique et diplomatique au Cabinet du président Joseph Kabila, il fut professeur de géostratégie et de relations internationales dans plusieurs universités congolaises et à l’étranger.
[texte imprimé]Migration, Mondialisation, Développement : L'exemple de la RDC TSHIYEMBE, Mwayila, TUBENE, Stephan - PARIS : L'HARMATTAN, 2013/09, 121 P.
Cet ouvrage a pour objet l'impact de la mondialisation sur la migration comme phénomène de mobilité des hommes et des femmes hors champ de leur territoire national. Cette question revêt une signification singulière en ce début de XXIe siècle, lorsqu’elle est abordée sous l'angle du développement, c'est-à-dire sa contribution à la création des richesses tant dans les pays d'accueil que les pays d'origine. Un tel changement de perspective s'apparente à une révolution culturelle qui ne peut voir le jour que si les pays d'accueil et les pays d'origine élaborent des "politiques de migration pour le développement" associant les migrants, sous forme "de partenariats stratégiques gagnant/gagnant", fondés en droit interne et en droit international. La République démocratique du Congo (RDC) souhaite aborder cette question, en vue de briser le cercle vicieux de la fuite des cerveaux. Or la bunkerisation des pays industrialisés et la méfiance des pays pauvres ne laissent augurer des lendemains meilleurs. C'est pour éclairer les décideurs publics et privés que des pistes de solutions ont été esquissées par le Congrès de la fédération des Congolais de l'étranger, afin que la RDC adopte "une politique publique de migration pour le développement", fondée sur les accords bilatéraux ou multilatéraux.
[texte imprimé]Le défi de l'armée républicaine en République Démocratique du Congo TSHIYEMBE, Mwayila, - PARIS : L'HARMATTAN, 2005, 138 P.
L'armée républicaine nouvelle découle d'une demande populaire. Elle est analysée et décryptée en deux parties : la refondation de la république et la fondation d'une armée républicaine.
[texte imprimé]Géopolitique de paix en Afrique médiane : Angola, Burundi, République Démocratique du Congo, République du Congo, Ouganda, Rwanda TSHIYEMBE, Mwayila, - PARIS : L'HARMATTAN, 2003, 220 P.
Cet ouvrage analyse les accords de paix conclus en Afrique médiane par la diplomatie, puis en fait une critique acerbe fustigeant des accords inadéquats aux formes de pouvoir autochtone et surtout des solutions qui restent très fragiles. Tshiyembe propose une diplomatie qui prendrait en compte une représentation politique plus proche de l'Etat multinational ou d'une république multiethnique que de l'Etat-Nation.
Dans cet ouvrage, l'auteur montre que l'échec de la tentative de construction de l'État en Afrique est une véritable tragédie, car la survie de l'État postcolonial qui en résulte se réalise au prix d'un anéantissement des capacités de survie (forces productives), des capacités de cohésion (forces culturelles), des capacités d'action (forces de défense) des pays dont il a la charge de conduire le destin. Instruit par ces faits, l'auteur soutient que l'éveil de l'Afrique passe impérativement par la disparition de l'État postcolonial et la naissance d'un État nouveau : l'État-espace. Instance d'invention et d'innovation sociale, l'État-espace se veut être l'expression transcendante de la réconciliation de l'État postcolonial sans nation et des ethnies-nations sans État.
