Résumé : |
Malgré la fin de la dictature de Sékou Touré en 1984, la Guinée en 2001, n'a toujours pas rattrapé son retard économique et social. Les libertés fondamentales, même si elles sont inscrites dans la législation ne sont pas encore appliquées automatiquement. Les conflits autours de la région guinéenne n'arrangent pas la situation et entraînent parfois le recul de la démocratie. La réaction de la communauté internationale ne s'est pas faite attendre et dès 1984, la Guinée reçue de nombreux fonds de nombreux pays. La France devient, entre 1992 et 2000, le premier contributeur bilatéral de la Guinée même si cette aide diminue au cours des années. L'argent fourni par les Français et les autres grands pays contributeurs (Etats-Unis, Japon, Allemagne, Canada, Italie) permet aux guinéens d'agir pour l'amélioration de l'éducation, le développement rural, la justice, la santé, l'économie et la politique. |