Résumé : |
Le tsunami du 26 décembre 2004 toucha 14 pays de l'Océan Indien, déjà fragilisés économiquement, au niveau environnementale et sociologiquement. Cette catastrophe naturelle fit environ 227 000 morts et 1,7 millions de déplacés. La générosité de nombreux donateurs permis d'amasser 13,5 milliards de dollars alors que les dégâts s'élevaient à 9,9 milliards de dollars. Cet argent sert encore à reconstruire ces pays et de monter des programmes pour qu'une telle catastrophe ne puisse se renouveler. De nombreuses actions furent donc mener dans tous ces pays, la plupart menée par des ONG. Mais la gestion des dons et des projets de réhabilitation a connu de nombreuses contraintes telles que la corruption, les décisions peu judicieuses des politiques ou décisionnaire. Une évaluation des projets menés fut donc nécessaire pour voir si l'argent fut bien distribué, si des erreurs de gestion ne furent pas causées, si la reconstruction se mène à bien pour que de tels incidents ne puissent se reproduire. L'évaluation, effectuée par un regroupement d'organisme travaillant dans le secteur humanitaire, porte sur cinq grandes thématiques: la coordination de la réponse internationale, le rôle de l'estimation des besoins dans la réponse au tsunami, l'impact de cette réponse sur les capacités locales et nationales, le lien entre l'urgence, la réhabilitation et le développement et la réponse financière au tsunami. |