Résumé : |
Bien qu'il existe des multitudes de normes, réglementations et lois visant à protéger les ressources naturelles même en temps de guerre, le conflit congolais est la preuve qu'en période de conflit l'exploitation des ressources est une activité florissante. Les populations sont les premières victimes des lacunes et de la corruption des organes internationaux et nationaux et de la non application du droit international. Ces ressources, comme en RDC, peuvent nourrir le crime organisé international et le terrorisme. C'est l'économie locale et nationale qui est en danger mais également toute la communauté internationale. Pour que la législation déjà existante puisse fonctionner afin d'arrêter ce type d'exploitation, il est nécessaire que la communauté internationale mette en place des définitions et des lois communes ainsi qu'une convention globale qui permettrait de protéger les ressources naturelles en cas de conflit armé. |