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[texte imprimé]Les coulisses du monde des catastrophes "naturelles" REVET, Sandrine, - PARIS : FONDATION MAISON DES SCIENCES DE L'HOMME (FMSH), 2018/09, 237 P.
"Du cyclone de Bhola en 1970 à la catastrophe de Tohoku et Fukushima en 2011, en passant par le séisme en Arménie de 1988, l'ouragan Mitch de 1998 ou le tsunami de 2004 en Asie du Sud-Est, un monde international des catastrophes dites « naturelles » a progressivement émergé. Pourquoi « naturelles » ? Depuis les années 1990, les phénomènes naturels – séisme, ouragan, tsunami, éruption volcanique – ne sont plus considérés comme seuls responsables des catastrophes : l’activité humaine accentue la vulnérabilité des territoires et des habitants face aux catastrophes, qu’il n’est donc plus acceptable d’imputer à la seule nature. Le monde social qui se construit autour de ces catastrophes est composé de nombreux acteurs issus d’horizons divers : secouristes, professionnels des ONG, diplomates, scientifiques... Pour former un « gouvernement international des catastrophes », ils ont dû élaborer des normes, des standards, des outils et un langage communs afin d’harmoniser des façons de faire divergentes voire concurrentes". (Résumé de l'éditeur).
Titre : Les coulisses du monde des catastrophes "naturelles" Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandrine REVET Editeur : PARIS : FONDATION MAISON DES SCIENCES DE L'HOMME (FMSH) Année de publication : 2018/09 Collection : LE (BIEN) COMMUN Importance : 237 P. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7351-2434-3 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
RELATIONS INTERNATIONALES ; Catastrophe naturelle ; Catastrophe écologique ; Ethnologie ; ONG ; Organisation des Nations unies (ONU) ; Prévention des risquesRésumé : "Du cyclone de Bhola en 1970 à la catastrophe de Tohoku et Fukushima en 2011, en passant par le séisme en Arménie de 1988, l'ouragan Mitch de 1998 ou le tsunami de 2004 en Asie du Sud-Est, un monde international des catastrophes dites « naturelles » a progressivement émergé. Pourquoi « naturelles » ? Depuis les années 1990, les phénomènes naturels – séisme, ouragan, tsunami, éruption volcanique – ne sont plus considérés comme seuls responsables des catastrophes : l’activité humaine accentue la vulnérabilité des territoires et des habitants face aux catastrophes, qu’il n’est donc plus acceptable d’imputer à la seule nature. Le monde social qui se construit autour de ces catastrophes est composé de nombreux acteurs issus d’horizons divers : secouristes, professionnels des ONG, diplomates, scientifiques... Pour former un « gouvernement international des catastrophes », ils ont dû élaborer des normes, des standards, des outils et un langage communs afin d’harmoniser des façons de faire divergentes voire concurrentes". (Résumé de l'éditeur). Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75691 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité BIOF05700 BIOF REL 1.321 autres textes imprimés 69 - BIOFORCE (Vénissieux) Disponible