Résumé : |
La thèse de l'auteur est celle d'une dérive de l'Organisation des Nations Unies (ONU) qui procéderait à une "concentration pyramidale du pouvoir". Elle se placerait dans un rôle de super-Etat mondial au détriment de la souveraineté des Etats, en contrôlant de plus en plus l'information, la santé et les populations, les ressources, le commerce mondial, ou encore le droit et la politique. dans ces deux derniers domaines, l'auteur s'inquiète plus particulièrement de la dérive en matière des droits de l'Homme, conçus comme des produits de conventions qui peu à peu acquièrent force de loi. |