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[texte imprimé]Tsunami PENDANX, Jean-Denis, PIATZSZEK, Stéphane - PARIS : FUTUROPOLIS, 2013/11, 112 P.
Neuf ans après le tsunami de 2004, Romain Mataresse, jeune électricien de 24 ans, débarque à Bandah Aceh, au Nord de l’île de Sumatra, bien décidé à comprendre ce qui est arrivé à sa sœur aînée disparue. Elsa était médecin humanitaire dans l’archipel dévasté. Dans son dernier mail envoyé à sa famille en 2005, elle souhaitait souffler un peu et voyager à travers l'Asie, après ce qu’elle venait de vivre. Depuis, plus de nouvelles, ni par la police locale ni via le détective embauché par la famille. Romain part donc sur les traces de sa sœur, pour répondre aux questions de leur mère qui ne s’est pas remise de cette disparition. D’île en île, de rencontre en rencontre, de drogue en hallucinations, le jeune homme mène une quête insolite et mystérieuse, jamais désespérée, mais où les morts ont leur mot à dire… Pour Romain, c’est une enquête autant qu’un voyage initiatique. En découvrant qui était sa sœur aînée, les derniers mois de sa vie, les raisons de sa disparition, il apprend aussi à connaître la culture indonésienne, avec ses rites vaudou, grâce à une jeune Papoue en cavale dont il tombe amoureux.
Après les mois de formation théorique, les étudiants de l'Institut Bioforce se doivent d'effectuer une mission terrain afin de valider leur formation. Ce rapport revient sur la mission d'une responsable de projet eau, hygiène et assainissement (EHA), partie au Sri Lanka, avec l'ONG Action contre la Faim (ACF), en tant que responsable programme EHA chargée d'un diagnostic hydrogéologique pour la construction d'un réseau d'adduction d'eau et de latrines publiques après le passage d'un tsunami. Le rapport de cette étudiante présente de façon très complète tous les aspects de sa mission.
"Le gouvernement français a décidé de conduire une évaluation des actions qu'il a financées dans la zone touchée par le tsunami du 26 décembre 2004 via la Délégation à l'Action Humanitaire et la Délégation Interministérielle Post-Tsunami, spécialement à Sri Lanka, en Indonésie et en Inde. Ce processus mis en œuvre par le Groupe URD, s'est déroulé en plusieurs étapes. Une première phase constituée d'interview des différentes parties prenantes en France (ministères, ONG, etc.) ; une deuxième étape constituée de trois missions de terrain à la fin 2005, début 2006 et fin 2006 et la dernière étape fut la rédaction de la synthèse. Plus de 60 pour cent des interventions financées par la France ont été visitées afin de juger de l'avancement et de l'impact des réalisations. Face au tsunami, la France a su mettre en place un dispositif interministériel original mais difficile à conserver sur la durée et la qualité des programmes est variable mais bonne en générale". (D'après le résumé de l'auteur).
Après les mois de formation théorique, les étudiants de l'Institut Bioforce se doivent d'effectuer une mission terrain afin de valider leur formation. Ce rapport revient sur la mission d'un administrateur, parti à Aceh en Indonésie, avec l'ONG Solidarités International, en tant que logisticien terrain chargé de la coordination logistique pour la poursuite du projet de réhabilitation, après le tsunami de décembre 2004, et de la fermeture de mission.
Le développement des microcrédits à travers le monde permet aux personnes dans le besoin d'acquérir les moyens de lutter contre la pauvreté par leurs propres moyens. Après les catastrophes naturelles, lors des phases d'urgence, les microcrédits n'ont pas de rôle à tenir. Mais lors de la reconstruction et quand la population veut se désolidariser de l'aide extérieure et survivre par ses propres moyens, le microcrédit est une grande aide pour trouver une autonomie nécessaire à la sortie de crise.
Après les mois de formation théorique, les étudiants de l'Institut Bioforce se doivent d'effectuer une mission terrain afin de valider leur formation. Ce rapport revient sur la mission d'un administrateur, parti au Sri Lanka avec Caritas France, en tant que coordinateur financier, dans le cadre d'un programme d'aide humanitaire d'urgence après le tsunami de fin 2004.
Le tsunami du 26 décembre 2004, qui a touché l'Océan Indien, fut l'une des catastrophes naturelles les plus meurtrières du début du XXIème siècle. Environ 275 000 personnes ont péri dans les cinq pays les plus touchés: l'Inde, l'Indonésie, les Maldives, le Sri Lanka et la Thaïlande. L'impact qu'a pu avoir le tsunami sur l'économie et les moyens de subsistances est difficile à évaluer étant donné que les régions touchées étaient, bien avant cet évènement, déjà pauvres et vulnérables. Le fait de lancer des programmes dans toutes les régions, même les plus inaccessibles et les plus pauvres, pour aller voir l'impact du tsunami et trouver des solutions de reconstruction solide pourrait éviter de se retrouver face à une telle catastrophe.
https://iris.who.int/bitstream/handle/10665/69726/a91183.pdf?sequence=1&isAllowed=y
[texte imprimé]26 décembre 2004 : Le jour où la mer a tué VELU, Thierry, NGHIEN-COSTES, Nathalie - MUSSIDAN : LES 2 ENCRES, 2005/10, 80 P.
Le tsunami du 26 décembre 2004 qui dévasta les rives de l'océan Indien en Asie et en Afrique ne fut pas le plus meurtrier et le plus dévastateur de l'histoire. Malgré la connaissance du phénomène, les territoires touchés, déjà fragilisés environnementalement et économiquement, ne furent pas préparés à une telle catastrophe naturelle. Les secours d'urgence eux-mêmes ne purent répondre correctement aux besoins des victimes dont certaines sont restées des jours sans recevoir la moindre aide. Ce tsunami doit être une leçon pour que soient mis en place des moyens de prévention et d'aide d'urgence efficaces, afin de minimiser les risques.
Après toute catastrophe naturelle, il existe un temps de turbulence que les organisations d'urgence doivent affronter. Les organisations spécialisées dans l'aide d'urgence sont préparées bien avant leur arrivée sur le terrain mais il est impossible d'anticiper les réels besoins de la population. Les protocoles et les dates que les organismes doivent respecter ne permettent pas le plus souvent d'analyser correctement les besoins des populations. En Inde, une association telle que All India Disaster Mitigation Institute (AIDMI), ayant des acteurs disséminés dans toute l'Inde, connaît bien les différents contextes et peut anticiper les besoins des populations touchées, comme lors du tsunami de 2004.
http://lib.riskreductionafrica.org/bitstream/handle/123456789/241/community%20damage%20assessment%20and%20demand%20analysis.pdf?sequence=1&isAllowed=y
[texte imprimé]Petite métaphysique des tsunamis DUPUY, Jean-Pierre, - PARIS : SEUIL, 2005/09, 110 P.
Comment penser le mal au 21e siècle ? Entre catastrophes naturelles et "mal moral", la place de l'homme et sa responsabilité sont au cœur de l'interrogation : l'humanité sera-t-elle capable de faire face aux catastrophes futures ?
[texte imprimé]Tsunami, la vérité humanitaire WERLY, Richard, - MONTROUGE : JUBILÉ, 2005, 272 P.
L'auteur a parcouru les pays touchés par le Tsunami (sauf l'Inde) pendant toute l'année 2005 pour observer et comprendre la mobilisation de l'aide et ses résultats. Il souligne l'importance et l'efficacité de la solidarité locale. Il s'interroge sur la masse de dons reçus par les ONG internationales et sur le travail de celles-ci, qui peut déstabiliser le fonctionnement des régions aidées. Les questions du passage de l'urgence au développement et des méthodes de reconstruction restent d'actualité d'autant plus que la totalité des fonds est loin d'être utilisée un an après. Il serait scandaleux que le Tsunami soit, finalement, une bonne affaire pour les ONG...
