Résumé : |
Communiste, idéaliste et romantique dans l'âme, René Depestre est intimement convaincu que, dans le nouvel ordre mondial d'après-guerre, l'audace du marxisme-léninisme est seule apte à approfondir les valeurs socialistes de la liberté, héritage de la démocratie bourgeoise du siècle précédent. Ses poèmes ouvrent de lumineux sillons pour chanter ses souvenirs de jeunesse, crier "l'horreur infinie du monde" et "des patries enchaînées", exalter "le soleil de la révolution" et "garder les lampes allumées car la liberté, de même que l'amour et la tendresse, ne vient pas à ceux qui dorment". |