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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[document électronique]La transformation des associations en Société Coopérative d’Intérêt Collectif, un moyen de conjuguer efficacité et fonctionnement démocratique ? COHEN, Sacha, - SAINT DENIS : UNIVERSITE PARIS 8 (VINCENNES SAINT DENIS), 2021/09, 109 P.
En France, les associations sont présentes dans tous les secteurs d’activités et sont régulièrement citées pour leur contribution au PIB du pays. Pourtant ce tiers-secteur se montre de plus en plus dépendant de l'État français qui le privatise par petits bouts depuis plus de vingt ans. La crise de Covid-19 s’est révélée difficile pour l’ensemble du secteur et fatale pour nombre d’acteur·rices, dans un contexte de baisse généralisée des ressources financières. Or il existe une solution potentielle remontant à 2001, avec la création d’un nouveau statut juridique : les sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC), encore peu connues en France. La particularité de ce statut est de rendre possible la transformation des associations en ce type de coopératives, à l’instar des sociétés coopératives de production (SCOP). L'objet de ce mémoire est d'interroger la transformation des associations en SCIC, comme moyen de conjuguer efficacité et fonctionnement démocratique. À titre d'exemple, l'étude de cas de la Cour Cyclette, située à Alfortville en région parisienne, présente le profil de cette association puis explique le processus de sa transformation en SCIC, de l'élaboration du projet avec les parties prenantes jusqu'à sa mise en œuvre.
Public :
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[texte imprimé]Intégration des populations déplacées par la violence dans les périphéries de Bogota, le cas de Los Altos de Cazuca et de Ciudad Bolivar GEOFFROY, Agnès de, - SAINT DENIS : UNIVERSITE PARIS 8 (VINCENNES SAINT DENIS), 2003, 140 P.
La Colombie vit sous le règne de la violence et des conflits internes depuis la deuxième moitié du XXème siècle. Les conflits, surtout concentrés dans les campagnes, épargnent le plus souvent les villes comme Bogota. Les populations des campagnes tentent le plus souvent de s'éloigner des combats et vont s'installer dans les villes, les considérant comme plus sûres et pensant s'intégrer facilement. Bogota, capitale colombienne a reçu, de 1985 à 2003, 500 000 déplacés pour une population de 6,5 millions d'habitants. Deux quartiers de Bogota se distinguent dans l'accueil des déplacés: Los altos de Cazuca et Ciudad de Bolivar. L'intégration dans ces deux quartiers est assez différentes; Los altos de Cazuca est un quartier de type urbain avec des maisons en pierre et Ciudad de Bolivar ressemble à un bidonville. La violence est présente dans ces deux quartiers. Les pouvoirs locaux et nationaux à Los altos de Cazuca se déchargent de leurs responsabilités en laissant les ONG intervenir seules dans ces secteurs tandis qu'ils occultent les problèmes de Ciudad de Bolivar. L'intégration des déplacés n'est qu'une question de survie et après avoir longtemps idéalisé leurs vies citadines, leur seul espoir est un retour dans leur lieu natal.
La première partie de ce mémoire est consacrée à la définition de concepts : économie sociale ou solidaire, développement durable et commerce équitable. La deuxième partie s'attache à décrire au travers d'un exemple concret le fonctionnement d'un partenariat de commerce équitable entre le Burkina Faso et la Suisse. Enfin, la dernière partie montre pourquoi le commerce équitable peut être considéré comme un facteur de développement durable et quelles en sont les limites.
Après l'échec de la coopération bilatérale d'Etat à Etat, la coopération décentralisée fait son apparition dans les années 1980. L'auteur étudie son impact à partir d'un cas concret : la coopération entre le département français des Côtes d'Armor et le Gouvernorat tunisien de Gabès. Son analyse se situe tant au niveau économique que social et culturel.
L'auteur analyse d'abord les facteurs favorables ou défavorables à la réussite scolaire des enfants d'immigrés en France en général, et des filles de parents maghrébins en particulier (les "Beurettes") : facteurs internes au système scolaire (scolarisation précoce ou tardive, par exemple) ou facteurs externes (taille des familles, environnement culturel, etc.). Elle rappelle ensuite le rôle de la culture traditionnelle dans l'éducation des filles. Puis elle aborde l'influence de la scolarisation sur les filles, mais aussi sur le comportement des parents, une influence d'autant plus forte qu'elle est "justifiée" par la réussite scolaire des enfants. Elle souligne également le rôle motivant et actif de la mère dans la socialisation et la scolarisation positives des filles.
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