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[document électronique]Gérer le message : Gestion de la communication et des médias en cas de crise de sécurité DAVIDSON, Sara, FRENCH, Ellie - LONDRES (ROYAUME UNI) : EUROPEAN INTERAGENCY SECURITY FORUM (EISF), 2015, 72 P.
Ce manuel propose des conseils généraux sur la gestion de la communication et des médias et situation de crise ou d'incident impliquant des membres du personnel national ou international d'une ONG. En effet, la circulation de l'information peut avoir un impact positif ou négatif pour les ONG et il convient de développer une stratégie de communication qui s'insère dans la stratégie de gestion de crise et de protection du personnel. Ce guide aborde la planification (stratégie de prévention des risques, préparation aux crises, répartition des rôles) puis les bonnes pratiques à adopter pendant la crise, en intégrant notamment des stratégies concernant les réseaux sociaux et la communication en ligne.
Public :
https://gisf.ngo/wp-content/uploads/2020/02/2021-Davidson-2015-Gerer-le-message.pdf
[texte imprimé]Le management des risques et des crises HASSID, Olivier, - MALAKOFF : DUNOD, 2011/09, 179 P.
Depuis les attentats du World Trade Center en 2001, les organisations et les entreprises en particulier sont confrontées à des risques multiples, contre lesquels elles déploient différents outils de veille, management participatif, système de catégorisation, etc. Mais quelle est la nature de ces risques (environnementaux, informatiques, politiques, sociaux) ? Comment peuvent-elles les analyser et les mesurer ? Peuvent-elles les anticiper et les prévenir ? En quoi leur évolution transforme le management des entreprises et favorise l'apparition d'une gouvernance du risque ? Cette 3e édition se propose de répondre à toutes ces questions en s'appuyant sur une analyse pluridisciplinaire et sur des études de cas récents.
Après les mois de formation théorique, les étudiants de l'Institut Bioforce se doivent d'effectuer une mission terrain afin de valider leur formation. Ce rapport revient sur la mission d'une coordinatrice de projet, ayant travaillé en tant que chargée de gestion administrative et financière, avec l'ONG Médecins sans Frontières Suisse (MSF-CH), à Younde, Cameroun. Cette étudiante a également géré la fermeture de mission et le licenciement d'une partie du personnel.
[document électronique]Operational Security Management in Violent Environments : A field for aid agencies VAN BRABANT, Koenraad, HPN (Humanitarian practice network) - LONDRES (ROYAUME UNI) : HUMANITARIAN PRACTICE NETWORK (HPN), 2010/12, 354 P.
Cette étude met l'accent sur la sécurité, en anglais "security", pour désigner les risques de violence à l'encontre du personnel ou des biens (à distinguer des accidents, incidents, maladies, pour lesquels on emploie le mot "safety" en anglais). Il s'agit ici de menaces pour la vie, la santé ou les biens des agents humanitaires et non des risques concernant la protection des civils. Malgré une certaine corrélation entre le contrôle des risques pour les agents humanitaires et la protection des civils, les mesures de contrôle sont différentes. Ce guide présente les listes de contrôle de base qui doivent être considérées comme des aide-mémoire, sachant que la gestion de la sécurité opérationnelle consiste à agir de manière appropriée dans les circonstances données.
Public :
http://odihpn.org/wp-content/uploads/2010/11/GPR_8_revised2.pdf
[document électronique]Manuel d'évaluation de la sécurité alimentaire en situation d'urgence 2e édition PAM (Programme alimentaire mondial), - PARIS : PROGRAMME ALIMENTAIRE MONDIAL (PAM), 2009/01, 358 P.
Ce manuel destiné aux équipes du Programme alimentaire mondial (PAM), mais aussi aux partenaires et ONG agissant dans le domaine de la sécurité alimentaire, propose une méthodologie d'évaluation des besoins des populations dans des situations d'urgence, catastrophes naturelles, conflits ou crises prolongées. Il explique comment collecter et analyser les données, afin de fournir une réponse adéquate aux populations. Une intervention suit ainsi la méthodologie de l'EFSA (évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence ou Emergency Food Security Assessment) qui passe par plusieurs étapes détaillées dans ce guide : la définition des objectifs d'une EFSA, la prise en compte du contexte et l'analyse des informations, la planification, l'analyse de situation pour la formulation des recommandations, l'évaluation.
Public :
https://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/resources/3AFF96005A5EB5A7492575EE00232A0D-wfp203224.pdf
[texte imprimé]L'argent des ONG : la liberté des ONG au risque de leurs financements AEBERHARD, Patrick, VACCARO, Antoine ; JEDIDI, Sonia - BORDEAUX : LES ETUDES HOSPITALIERES (GROUPE LEH), 2008/07, 118 P.
Au cours de ce colloque, des acteurs humanitaires, des chercheurs et des journalistes ont débattu de la question du financement des ONG, autant d'un point de vue pratique que moral. L'origine des financements et la transparence dont fait preuve l'ONG peuvent avoir des conséquences sur sa liberté d'action, sur son image, sur ses relations avec les médias et les partenaires. La première table ronde a été consacrée à la capacité de mobilisation des ONG face aux pouvoirs publics dans la prise en charge des populations vulnérables en France. La deuxième s'est concentrée sur les financements dans les contextes de crises et d'urgence (cas du Tsunami-2004); le dernier débat s'est intéressé au triangle "médias/ONG/Etat".
Après les mois de formation théorique, les étudiant·es de l'Institut Bioforce se doivent d'effectuer une mission terrain afin de valider leur formation. Ce rapport revient sur la mission d'un coordinateur de projet, ayant travaillé en tant que directeur adjoint-chargé de projet en situation de conflit, avec Médecins sans Frontières Suisse (MSF-CH), dans la région du Darfour située à l'ouest du Soudan.
[texte imprimé]Humanitaires et développeurs : comment agir ensemble en sortie de crise et de conflit AFD (Agence française de développement), Groupe URD Plaisians (Groupe urgence réhabilitation développement) - PARIS : AGENCE FRANÇAISE DE DEVELOPPEMENT (AFD), 2008/01, 53 P.
"Dans un monde trop souvent caractérisé par les conflits armés, des crises environnementales et des fragilités potentiellement déstabilisantes, il est indispensable de mieux conjuguer gestion de ces situations, assistance humanitaire et opérations de développement. Face à ce défi, ni les agences de développement, ni les acteurs humanitaires ni les décideurs politiques ne peuvent en effet intervenir indépendamment les uns des autres, sauf à amoindrir l'efficacité de chacun et à ne pas construire les synergies. "Développeurs", "urgentistes" et "politiques" ont chacun des missions et des champs d'action spécifiques, des devoirs et des limites. Sans nier les différences de mandats et de cultures, la pluralité des agendas et d'éventuelles divergences de vue, il est nécessaire de mieux articuler les interventions des uns et des autres et de promouvoir leurs complémentarités, ce qui suppose en tout premier lieu, de mieux se connaître". (Note des auteurs).
http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/doc_num.php?explnum_id=249
Après les mois de formation théorique, les étudiants de l'Institut Bioforce se doivent d'effectuer une mission terrain afin de valider leur formation. Ce rapport revient sur la mission d'un logisticien, parti au Sud Soudan avec Médecins sans Frontières Belgique (MSF-B), en tant que logisticien approvisionnement pour le centre de soins du camp de réfugiés soudanais géré par MSF-B.
[texte imprimé]L'Union européenne et la gestion de crises DELCOURT, Barbara, MARTINELLI, Marta ; KLIMIS, Emmanuel - BRUXELLES (BELGIQUE) : UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES (ULB), 2008, 270 P.
L'Union européenne possède de nombreux outils et mécanismes visant à gérer les crises. Mais leur mise en place pose parfois problème. Cela est dû à la complexité de la coordination entre les différentes institutions de l'Union européenne (UE). Les États recevant l'intervention l'aide de la l'UE sont les plus affectés par cette confusion organisationnelle. L'UE est d'autant moins fragile en terme de gestionnaire de la sécurité qu'elle est très peu expérimentée et qu'elle peine à légitimer son action militaire. Une réorganisation institutionnelle permettrait d'améliorer l'efficacité de l'aide.
Des crises complexes aux crises endémiques, quels modes d'intervention de la communauté internationale peuvent permettre une meilleure prise en compte des priorités humanitaires des populations affectées ? Ce séminaire avait pour objectif de questionner, d'une part, l'enjeu de la coordination des acteurs humanitaires intervenant en situation de crise et, d'autre part, l'enjeu de leur gouvernance et de son impact sur la gestion des situations de crise. Le contexte des crises est de plus en plus complexe et présente de nouveaux enjeux : préserver la défense des principes humanitaires face à des acteurs militaires ou privés (sociétés de sécurité) ; organiser une coordination des secours dans des contextes où l'action humanitaire risque d'être subordonnée à la réalisation d'objectifs politiques et militaires.
http://www.conferenceordredemalte.org/documents/utiles/hccirapportupcrvcouleur.pdf
Après les mois de formation théorique, les étudiants de l'Institut Bioforce se doivent d'effectuer une mission terrain afin de valider leur formation. Ce rapport revient sur la mission d'un logisticien, parti à Mossoul avec le Comité d'aide médicale, dans l'Irak en crise d'après Saddam Hussein. Cet étudiant a travaillé comme logisticien chargé de la réhabilitation des réseaux énergétiques et de télécommunications, ainsi que de la sécurisation de la mission en situation de crise.
Après les mois de formation théorique, les étudiants de l'Institut Bioforce se doivent d'effectuer une mission terrain afin de valider leur formation. Ce rapport revient sur la mission d'un logisticien, parti dans la région forestière de la Guinée-Conakry, avec l'ONG Médecins sans Frontières Suisse (MSF-CH), en tant que logisticien-administrateur chargé de la gestion de crise humanitaire dans un camp de réfugiés auquel MSF-CH porte assistance.
Cette étude met l'accent sur la sécurité, en anglais "security", pour désigner les risques de violence à l'encontre du personnel ou des biens. Il s'agit de menaces pour la vie, la santé ou les biens des agents humanitaires et non des risques concernant la protection des civils. Malgré une certaine corrélation entre la gestion des risques pour les agents humanitaires et la protection des civils, les mesures de contrôle sont différentes. Ce guide présente les directives qui doivent être considérées comme des aide-mémoire, sachant que la gestion de la sécurité opérationnelle consiste à agir de manière appropriée dans les circonstances données.
"Les entreprises et les administrations sont de plus en plus exposées aux bourrasques des crises. Les risques majeurs (naturels, technologiques, sociaux), l'imbrication des grands systèmes, les multiples déracinements que connaissent nos sociétés, l'emprise des médias (eux-mêmes d'ailleurs plongés dans des univers de haute instabilité), l'effacement voire l'effondrement des repères idéologiques, éthiques ou stratégiques sont autant de facteurs qui accentuent les vulnérabilités et, par là, élargissent le champ potentiel des crises". (Note de l'auteur).
"Les entreprises, les administrations sont de plus en plus exposées aux bourrasques des crises, de toute nature. Et le constat est préoccupant : elles sont souvent mal outillées, peu préparées culturellement pour y faire face. Or on dispose d'acquis importants sur la conduite des crises; d'une expérience, validée elle aussi, sur les stratégies et modes d'apprentissage à mettre en œuvre sur ce terrain difficile. Ce livre met ces acquis à la disposition des responsables pour qu'ils puissent se former personnellement et en équipe. Il est aussi destiné à tout citoyen concerné : connaissances et outils ne sauraient rester dans des cercles restreints car les crises risqueraient alors de faire une victime supplémentaire - la démocratie. L'ouvrage reprend les enseignements essentiels d'une pratique continue d'intervention dans de grandes entreprises ou organismes publics. Il expose : les savoirs opérationnels de base, qu'il faut connaître et transmettre ;
une série de démarches permettant de développer aptitudes et attitudes essentielles : séminaires pour comités de direction, audits de vulnérabilité, retours d'expérience, auscultations des capacités de réponse, formations spécifiques (directeurs de crise, présidents et direction générale, experts...)". (Résumé de l'éditeur).
"Toute organisation peut être confrontée à une crise. Tout responsable peut être projeté dans des phénomènes de ruptures brutales et de turbulences particulièrement déstabilisantes, liés aux causes les plus diverses. C'est alors le désarroi : l'urgence est là, mais outils et leviers ne fonctionnent plus, l'univers de référence se désagrège. Que faire ? Dans ce livre qui s'adresse d'abord aux décideurs - mais qui sera également utile aux citoyens, aux hommes et aux femmes de médias, à tous ceux qui peuvent être concernés par une situation de rupture -, Patrick Lagadec propose un ensemble de repères permettant de mieux cerner : les processus et difficultés caractéristiques des situations de crise ; les actions stratégiques à penser et mettre en œuvre pour les conduire ; les initiatives à prendre pour développer l'apprentissage nécessaire en ce domaine si mal connu. Ces apports visent essentiellement à consolider ce que le décideur a de plus précieux - et de plus vulnérable - en situation de haute turbulence : sa capacité de jugement". (Extrait du résumé de l'éditeur).
Lorsque survient une catastrophe naturelle ou industrielle, les autorités sont contraintes d'exercer pleinement le pouvoir qui leur est reconnu pour garantir la protection de la population. Cet exercice est difficile, surtout dans les démocraties modernes. Comment donner la preuve du "pouvoir du pouvoir" quand apparaissent des menaces en l'absence de tout véritable ennemi et quand l'incertitude qui s'accroît alors résulte avant tout de la complexité propre aux collectivités affectées ? L'examen de différentes crises montre que les responsables, élus ou désignés, "gèrent" moins ces situations extrêmes qu'ils ne cherchent à les "régler" au plus vite en recourant à des armes politiques classiques. Faut-il voir là une limite à la modernisation de l'exercice du pouvoir dans les sociétés complexes ou, au contraire, l'étonnante permanence de formes de pouvoir trop rapidement reléguées dans les tiroirs du politique ? (Résumé de l'éditeur).
