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[texte imprimé]The Rise of Environmental Crime: A growing Threat to Natural Resources, Peace, Development and Security NELLEMANN, Christian, - NAIROBI (KENYA) : PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR L'ENVIRONNEMENT (PNUE), 2016/11, 108 P.
Ce rapport rassemble des informations sur les crimes contre l’environnement à travers le monde : ces crimes sont en hausse et leur impact est bien plus large que la simple destruction de ressources et d’habitats naturels. Ils affectent la sécurité humaine, engendrent conflits et violations des droits humains en empêchant par exemple l’accès à l’eau, à la nourriture et au logement. Les pays les plus fragiles, mais qui possèdent d’abondantes ressources naturelles inexploitées sont les plus vulnérables à l’exploitation. Les communautés les plus pauvres sont celles qui en souffrent le plus. Les auteurs montrent ici que les réponses données à ce crime organisé ne rencontrent pas de grands succès : de nombreuses stratégies sont appliquées à l’échelle nationale et internationale, mais il existe peu de liens entre elles. Mettre en place une vraie coordination fait partie des recommandations de ce rapport.
http://wedocs.unep.org/bitstream/handle/20.500.11822/7662/-The_rise_of_environmental_crime_A_growing_threat_to_natural_resources_peace%2c_development_and_security-2016environmental_crimes.pdf.pdf?sequence=3&isAllowed=y
[document électronique]Smallholders, food security and environment FIDA (Fonds international de développement agricole), PNUE (Programme des Nations Unies pour l'environnement) - ROME (ITALIE) : FONDS INTERNATIONAL DE DEVELOPPEMENT AGRICOLE (FIDA), 2013, 56 P.
Les petits exploitants agricoles peuvent transformer le paysage rural et déclencher une nouvelle révolution agricole durable. C'est le message principal de ce rapport du Fonds international de développement agricole (FIDA) et du PNUE (Programme des Nations unies pour l'environnement).
Public :
https://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/resources/Smallholders%2C%20Food%20Security%20and%20the%20Environment.pdf
[texte imprimé]Sécurité des moyens d'existence : changements climatiques, migrations et conflits au Sahel PNUE (Programme des Nations Unies pour l'environnement), - NAIROBI (KENYA) : PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR L'ENVIRONNEMENT (PNUE), 2011/11, 112 P.
Ce rapport du PNUE présente les résultats d’une analyse de l’évolution du climat sur une période comprise entre 24 et 36 ans dans 17 pays, de la côte Atlantique au Tchad. Cette étude a deux objectifs : premièrement analyser l’évolution historique du climat dans le Sahel, identifier les régions où des problèmes se posent avec une acuité particulière (nommées "points chauds") et déterminer les implications potentielles des variations climatiques observées sur les moyens d’existence dépendant des ressources naturelles ; deuxièmement fournir des recommandations destinées à améliorer la sensibilité des plans d’adaptation et d’investissement de la région aux problématiques de conflit et de migration. Se basant sur un processus cartographique innovant pour analyser les variations de la température, de la pluviométrie, des sécheresses et des inondations au cours des quarante dernières années, ce rapport apporte des recommandations aux décideurs politiques et aux praticiens pour fonder leurs politiques d'adaptation et leurs investissements sur une compréhension rigoureuse des changements climatiques dans le Sahel et leurs impacts sur les moyens d'existence.
https://publications.iom.int/system/files/pdf/unep_sahel_fr.pdf
Depuis des décennies, la Bande de Gaza est une zone de conflit ponctuel, chaque conflit laissant ses marques sur la population et l'environnement. Le conflit, déroulé entre le 27 décembre 2008 et le 18 janvier 2009, du fait de nombreux bombardements et avec l'incursion des troupes israéliennes a provoqué de nombreux dégâts matériels notamment au niveau des infrastructures, laissant un grand nombre de la population sans abris et proche de l'insécurité alimentaire. La situation environnementale de Gaza souffrait de sous investissement bien avant ce conflit qui a envenimé la situation, les bombardements des sites de production d'énergie et des sites industriels ayant provoqué une pollution des sols, aquifère, marine et de l'air, laissant également des montagnes de gravats. Le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) fut mandaté pour évaluer les dégâts du conflit mais également réaliser une évaluation économique des dommages économiques.
En préambule, cet ouvrage réaffirme que les Nations Unies et toutes les organisations gouvernementales et les ONG de la région genevoise sont déterminés à trouver des solutions aux défis de l’environnement et du développement durable. D’autres priorités environnementales, telles que la protection des êtres vivants, la protection de la biodiversité naturelle, la gestion plus sûre des substances chimiques, la réduction des risques de catastrophes naturelles ou l’interaction entre les conflits et l’environnement font de Genève un centre dynamique pour la problématique environnementale. C'est pourquoi, le réseau d’organisations de la région genevoise, rassemblant une centaines d'organisations internationales, fournit un cadre idéal pour le développement de nouveaux partenariats et activités, en s'appuyant sur la stratégie des autorités : "Penser globalement, agir localement". Le Guide vert de Genève est un répertoire pratique, destiné aux entités engagées dans la protection de l’environnement et le développement durable dans la région, avec l'objectif de promouvoir la coopération et de favoriser les synergies. Sous forme d’annuaire, il recense les renseignements pratiques pour chaque organisme (coordonnées complètes, année de création, effectifs et nom du responsable), ainsi qu'un résumé des activités de chaque entité.
https://docslib.org/doc/12419512/geneva-green-guide-2010
[texte imprimé]Lebanon: Post conflict environmental assessment PNUE (Programme des Nations Unies pour l'environnement), - NAIROBI (KENYA) : PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR L'ENVIRONNEMENT (PNUE), 2007, 179 P.
La guerre civile entre Israël et le Liban a eu un impact écologique grave dans les territoires libanais. En plus d'avoir détruit énormément d'infrastructures, les armes et plus particulièrement les armes chimiques, ont contaminé l'air et l'eau. Pour rajouter à la catastrophe écologique que ces armes ont provoquée, le bombardement des réservoirs de fioul de Jieyh,par les Israéliens, a provoqué une marée noire sur les côtes méditerranéennes libanaises. Evaluer les dégâts écologiques qui ont touché le Liban entre 2006 et 2007 permet de se rendre compte de la situation et de faire un diagnostic afin de permettre au Liban de retrouver un environnement non contaminé, stable et sain.
https://www.yumpu.com/en/document/read/50482910/lebanon-post-conflict-environmental-assessment-unep
Après 22 ans de guerre civile, le gouvernement soudanais et l'armée de libération soudanaise ont signé, en 2005, une trêve permettant au pays de retrouver la paix et de commencer un développement économique et social. La dégradation des sols et la déforestation causées par les conflits, ajoutées à l'impact du changement climatique, ont affaibli les ressources et l'économie du pays. Comprendre et évaluer l'état actuel environnemental du Soudan permet de reconstruire celui-ci afin qu'il retrouve une situation économique et sociale stable.
En 2005, Israël a commencé le démantèlement d'un nombre de ses colonies situées dans la Bande de Gaza. Le PNUD ayant déjà commencé un travail d'évaluation de l'environnement palestinien a continué ce travail dans ces zones en décembre 2005. Les résultats de l'évaluation vont permettre d'effectuer un profil écologique de ces territoires et d'identifier les domaines de préoccupation auxquels il faudra se pencher durant la réinstallation des Palestiniens
Prendre en compte l'impact qu'entraînera le déplacement de population sur l'environnement est un fait important que les acteurs humanitaires, les bailleurs et les politiques se doivent de prendre en compte. Dès le début de l'exode apprendre et appliquer les techniques qui permettront de préserver l'environnement permettront de préserver l'espace et faciliteront l'intégration des réfugiés et/ou déplacés et leurs rapatriements.
[texte imprimé]After the tsunami : Rapid environmental assessment PNUE (Programme des Nations Unies pour l'environnement), - NAIROBI (KENYA) : PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR L'ENVIRONNEMENT (PNUE), 2005, 140 P.
Le 26 décembre 2004, des côtes de Banda Aceh aux côtes africaines qui bordent l'océan Indien, des communautés entières furent submergées par un tsunami ayant entraîné de nombreux dommages matériels et humains. Les réactions de la population, des gouvernements et de la communauté internationale après cette catastrophe furent encourageantes même dans les régions qui ont connu auparavant des décennies de conflit.
http://wedocs.unep.org/bitstream/handle/20.500.11822/8372/-After%20the%20Tsunami_%20Rapid%20Environmental%20Assessment-20053636.pdf?sequence=3&isAllowed=y
Le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) se veut un partenaire de la société civile et désire mettre en place de part le monde des activités portant sur l'écologie, l'équité et la démocratie. Pour enrayer les problèmes écologiques, et ne plus laisser à la marge l'érosion de la biodiversité et de l'instabilité climatique, l'engagement du PNUE envers la société civile est un fait nécessaire. Une politique globale, menée par le PNUE renforcée par la société civile, doit prendre place à côté des gouvernements.
[texte imprimé]Understanding environment, conflict, and cooperation PNUE (Programme des Nations Unies pour l'environnement), - NAIROBI (KENYA) : PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR L'ENVIRONNEMENT (PNUE), 2004, 53 P.
La préservation et l'amélioration de l'environnement sont des facteurs à prendre en compte dans tout développement et notamment dans le développement du bien être des peuples. En comprenant la relation qui existe entre la paix et l'environnement, il est possible d'améliorer la sécurité et la prévention des conflits. Un des mandats du Programme des Nations Unies sur l'Environnement (PNUE) vise à promouvoir ce lien et à mener des études sur le concept de sécurité et l'environnement.
[texte imprimé]Atlas mondial de l'eau : une pénurie annoncée DIOP, Salif, REKACEWICZ, Philippe - PARIS : AUTREMENT, 2003/02, 63 P.
Après une présentation des ressources en eau douce et salée dans le monde depuis les années 1960 jusqu'à aujourd'hui, cet atlas présente les interactions des activités humaines et les conséquences néfastes ressenties sur l'ensemble des ressources naturelles (faune, flore, ressource en eau potable). Les enjeux géopolitiques sont également abordés.
Sept ans après la fin du conflit qui a touché la Bosnie-Herzégovine, l'uranium utilisé pendant les hostilités est encore détectable dans les sols, les bio-indicateurs, l'eau potable et l'air. Les contaminations sont heureusement faibles et restent sous le seuil d'alerte de l'Organisation Mondiale de la Santé. Le Programme des Nations Unies pour l'Environnement qui a effectué l'évaluation de l'impact environnemental de l'utilisation d'uranium appauvri en Bosnie Herzégovine a tout de même recommandé au gouvernement de décontaminer et de nettoyer des immeubles d'habitation pour ne courir aucun risque. Lors de cette mission d'évaluation fut également pris en compte les questions de déminage et de stockage des sources radioactives.
La vulnérabilité d'une population face à une catastrophe naturelle ou humaine varie avec le degré de pauvreté de la société. Les pauvres subissent en effet de plein fouets les effets de la crise, ayant des difficultés pour se nourrir, pour se reloger et pour se soigner. Les politiques locaux à l'aide de partenaire tel que le Centre des Nations Unies pour l'habitat humain doivent monter évaluer les programmes post désastres qui ont permis de reconstruire le pays après la crise, et reloger décemment et en sécurité tous les habitants. Ces évaluations pourront définir si les programmes sont adaptés à la population et à la situation.
L'Homme a toujours puisé dans la nature et son environnement pour satisfaire ses besoins vitaux. Mais à partir du XIXème siècle et de la révolution industrielle, les besoins des hommes se sont tellement accentués et agrandis que l'environnement ne peut plus répondre aux désirs humains. La nature s'en trouve dégradée et si l'on continue ainsi, la survie des hommes s'en trouvera grandement menacée. Apprendre à respecter notre environnement tout en puisant les ressources nécessaires à notre survie s'avère nécessaire.
Cet ouvrage a pour ambition de repenser la conservation et le développement de manière à informer et encourager ceux qui ont la conviction que l'homme et la nature méritent d'être préservés et ont un avenir commun. Le document est divisé en trois parties. la première définit les principes d'une société durable : respecter la communauté de la vie, améliorer la qualité de la vie, ménager les ressources non renouvelables, changer les comportements et habitudes individuelles, etc. Les chapitres suivants recommandent des actions pour concrétiser ces principes. La deuxième partie (Actions complémentaires) traite de l'application de ces principes aux principaux domaines où s'exerce l'activité humaine et à certains des principaux éléments de la biosphère : énergie, industrie, commerce et services, établissements humains, terres agricoles et pâturages, forêts, eaux douces, océans et régions côtières. La troisième partie (Mise en œuvre et suivi) comprend un chapitre qui a pour but d'aider les utilisateurs à adapter la stratégie à leurs besoins et possibilités respectifs et à la mettre en œuvre.
Le Soudan est confronté à des problèmes environnementaux dus à la dégradation des sols, la déforestation et aux conséquences du changement climatique. En vue de mettre en place des mesures de protection de l'environnement, le Gouvernement d'Unité Nationale et le Gouvernement du Sud Soudan ont chargé le Programme des Nations Unis pour l'Environnement de réaliser une évaluation post-conflit. Elle démontre qu'il existe une corrélation entre l'environnement et le conflit du Darfour.
Le conflit déroulé en juillet 2006 entre le Liban et Israël a touché de nombreuses infrastructures, résidences privées et industries libanaises avec plus de 30 000 logements détruits, un million de déplacés et une pollution des eaux, du sol, de l'air et de la mer dû aux armes employés et aux bombardements qui ont détruits les centrales électriques et les réserves de pétrole. Le Programme des Nations Unis pour l'Environnement eut pour mission après ce conflit d'effectuer une évaluation environnementale du territoire libanais ainsi que de former des membres du personnel du Ministère de l'environnement pour qu'ils deviennent aptes à effectuer dans le futur ce genre d'opération.
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