
L’objectif de cette étude est de permettre aux acteurs du projet PASFASS de disposer d’une meilleure compréhension des facteurs sociaux, économiques et législatifs qui influencent la persistance des mutilations génitales féminines (MGF) dans le Mandoul, au Tchad. Il s’agit notamment de comprendre la fonction sociale et symbolique de l’excision dans la construction identitaire des femmes, de mettre à jour les normes et justifications populaires associées aux MGF, d’analyser les conséquences de la pénalisation sur l’incidence réelle de la pratique, et enfin de mettre à jour les caractéristiques géographiques (urbain/rural), sociales (âge, sexe, classe sociale), identitaires et ethniques qui entrent en jeu dans la persistance de ces pratiques.
https://www.urd.org/wp-content/uploads/2020/10/PASFASS_Rapport-Etude-MGF_FINAL.pdf
|
Suppléments
- [vidéo]La jeune fille, les chouettes et les hommes lions : Pourquoi l'excision persiste dans le Mandoul
CHATOT, Florence -
PLAISIANS : GROUPE URGENCE REHABILITATION DEVELOPPEMENT (GROUPE URD),
2024/02,
29 mn. 34
« La prévalence de l’excision varie considérablement selon les régions du pays. Dans certaines, elle n’existe presque pas. Mais dans la province du Mandoul, berceau de l’ethnie Sara, 80% des femmes sont encore excisées. L’excision consiste en l’ablation des organes génitaux externes de la femme. Au Tchad, elle est officiellement interdite depuis 2002. Malgré des décennies de lutte, la pratique ne semble pas avoir diminué significativement. » Tiraillés entre la protection de la santé et la coutume, le respect des lois et la pression sociale, la parole des femmes et des hommes se libère peu à peu. Ce documentaire cherche à comprendre les facteurs qui influencent la persistance des mutilations génitales féminines (MGF) dans le Mandoul, au Tchad.
Public :
https://www.urd.org/fr/actualite/103218/ - [vidéo]La jeune fille, les chouettes et les hommes lions : Pourquoi l'excision persiste dans le Mandoul (Version courte)
CHATOT, Florence -
PLAISIANS : GROUPE URGENCE REHABILITATION DEVELOPPEMENT (GROUPE URD),
2024/02,
13 mn. 10
« La prévalence de l’excision varie considérablement selon les régions du pays. Dans certaines, elle n’existe presque pas. Mais dans la province du Mandoul, berceau de l’ethnie Sara, 80% des femmes sont encore excisées. L’excision consiste en l’ablation des organes génitaux externes de la femme. Au Tchad, elle est officiellement interdite depuis 2002. Malgré des décennies de lutte, la pratique ne semble pas avoir diminué significativement. » Tiraillés entre la protection de la santé et la coutume, le respect des lois et la pression sociale, la parole des femmes et des hommes se libère peu à peu. Ce documentaire cherche à comprendre les facteurs qui influencent la persistance des mutilations génitales féminines (MGF) dans le Mandoul, au Tchad.
Public :
https://www.urd.org/fr/actualite/103218/
Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
14863 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
13290 | GEO TCH CHA dyn20 | autres textes imprimés | 26 - GROUPE URD (Plaisians) | Disponible |