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[texte imprimé]Pour une nouvelle révolution agricole : Sortir de l'impasse du libéralisme et du productivisme LEVARD, Laurent, - PARIS : BRUNO LEPRINCE, 2012/03, 123 P.
Cet ouvrage présente les évolutions majeures et les dangers du modèle agricole actuel. Il propose une analyse des causes et des composantes de l'actuelle impasse sociale et écologique et présente les bases et les grandes lignes de ce que serait une nouvelle révolution agricole au service de l'intérêt général.
[texte imprimé]Quelle humanité voulons-nous être ? Front de gauche, - PARIS : BRUNO LEPRINCE, 2012, 105 P.
Il s’agit du programme du parti politique français du Front de Gauche, «L’humain d’abord», détaillé dans les domaines de l’art, de la culture et de l’information. Il a été approfondi lors d’ateliers ouverts à tou·tes, sympathisant·es, professionnel·les et citoyen·nes intéressé·es par la démarche.
[texte imprimé]L'eau n'a pas de prix : Vive la régie publique AMARD, Gabriel, - PARIS : BRUNO LEPRINCE, 2010, 96 P.
En France, la gestion de l'eau est dans 72 pour cent des cas assurée par le secteur privé, alors que dans le monde, elle est gérée à 90 pour cent par le service public. L'eau est un bien commun qui ne peut pas être accaparé par une minorité. Il faut faire le choix d'un mode de gestion qui redonne à l'eau son statut de bien commun, à l'usager un droit d'accès conséquent et qui permette de répondre aux enjeux démocratiques, sociaux et écologiques que recouvre aujourd'hui l'eau. Notre facture d'eau a toutes les raisons de comporter une participation à l'effort mondial et cette loi doit être appliquée. A cette fin, il faut utiliser une régie qui soit un outil de coopération internationale publique sans autre objectif que de permettre l'accès à l'eau potable des populations qui en sont privées.
[texte imprimé]Education et civilisations : Genèse du monde contemporain LÊ, Thanh Khoi, UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture) - PARIS : BRUNO LEPRINCE, 2001, 734 P.
Ouvrage de réflexion sur l'histoire de l'éducation, en relation avec la production économique et la reproduction de société. L'auteur intègre les dimensions intellectuelles, morales, mystiques, esthétiques, et culturelles pour chaque société décrites et met en lumière les relations entre l'éducation et la langue, le mode de production, les valeurs, les changements politiques et sociaux ou les relations internationales pour décrire et analyser la genèse industrielle. Son analyse débute sur la renaissance européenne et son extension à l'Amérique du Nord, Australie et Nouvelle Zélande, puis s'intéresse aux sociétés africaines, asiatique ou latino-américaines et l'influence de l'occident dans leur développement. L'auteur cherche à analyser dans ces sociétés, le rôle de l'éducation dans le développement économique et social, politique et culturel. Il clot l'ouvrage sur des réflexions générales en ce début de millénaire.
La mondialisation désigne deux phénomènes : l'emprise d'un système économique (le capitalisme) sur le monde et le processus par lequel le monde devient une société globale. La mondialisation est un fait. L'ouvrage se compose d'une série de chapitres sur l'économie, la culture, les femmes, l'éducation, les jeunes et la communication, avec les évolutions et les dérives dues au capitalisme. Tous les intervenants réfléchissent sur l'orientation à donner à cette mondialisation : choisir entre la concurrence, la déréglementation et le développement humain, le bien commun en donnant des pistes pour agir en citoyen face à cette transformation de la planète soumise à la loi du profit.
La violence nous cerne de toute part. Lorsque nous n'y sommes pas confrontés directement, nous entendons parler d'elle. Pour identifier, contrôler et éliminer cette violence faut-il agir sur les structures qui régissent les relations humaines ? Mais est-ce suffisant ? On découvre au travers des cinq ateliers thématiques certains éléments de réponse. Tous passent par le respect de la personne humaine, de ses libertés et de ses droits.
L'ouvrage étudie l'implantation du mouvement socialiste aux Antilles. Dans un premier chapitre est analysé le mouvement socialiste français et sa position face au colonialisme (de 1870 à 1914). On constate d'ailleurs des positions diverses et contradictoires au sein du parti socialiste. De même, le second chapitre expose les positions de la deuxième internationale face au colonialisme : un vote condamne la politique coloniale. Le troisième chapitre étudie l'histoire du mouvement socialiste aux Antilles, plus important en Guadeloupe qu'en Martinique. Le quatrième chapitre expose quelles visions les socialistes métropolitains ont des Antilles.
75006 Paris
courriel : bruno.leprince@graffic.fr
https://www.bruno-leprince.fr/