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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[texte imprimé]Histoire & Principes de la réduction des risques Médecins du monde, - LA PLAINE SAINT DENIS : MEDECINS DU MONDE, 2013/06, 131 P.
La réduction des risques est une histoire récente et singulière, portée depuis une trentaine d'années par des acteurs aux profils variés : professionnels de santé, usagers de drogues, chercheurs ou militants des droits humains notamment. Médecins du Monde est l'un de ces acteurs, en France et dans le monde, et l'histoire de la réduction des risques reste encore largement à écrire au sein de cette association, tant en termes d'approche pragmatique que théorique.
https://www.medecinsdumonde.org/fr/actualites/publications/2013/10/20/histoire-et-principes-de-la-reduction-des-risques
Le 8 mars 2008, à l'occasion de la journée internationale de la femme, ECHO et Médecins du Monde alertent la communauté internationale sur le sort des femmes afghanes. Une exposition de photographies-témoignages sillonne alors 32 villes (Europe et Japon). Des messages de sympathie, de honte, de colère, accompagnent l'exposition. Cet ouvrage est un instantané de ces émotions. (résumé de l'éditeur)
Le dossier comporte trois gros titres clairement résumés :1) Un dossier alarmant. Quelques chiffre au Sud montrent les inégalités de la répartition du personnel soignant, avec comme exemples : 1/3 des effectifs pour 700 millions d'Africains, ou 5 médecins au Mali pour 100 000 habitants pour 325 en France. Inégalités au sein d'un même pays comme Ghana où les 85 pour cent des médecins exercent en ville alors que 66 pour cent de la population vit en zone rurale. A noter que la pénurie gagne le Nord malgré l'arrivée de diplômés du Sud, en majorité aux Etats-Unis, au Royaume-Uni.2) Quels traitements possibles ? D'abord, inverser la tendance concernant les dépenses publiques de santé qui ne dépassent pas trois pour cent dans les pays du Sud, comme en Afrique du Sud, l'Etat s'était engagé en 2001, à consacrer 15 pour cent de son budget à l'amélioration du secteur santé.Sachant que les ressources propres aux pays à faibles revenus sont insuffisantes, les pays donateurs qui s'étaient engagés, il a 10 ans à consacrer 20 pour cent de leur aide aux secteurs sociaux sont interpellés. La France en particulier qui ne consacre que 4 pour cent de son APD totale à la santé est mal placée parmi les pays de l'OCDE dont l'aide est en moyenne trois fois plus élevée. Selon la Banque mondiale et l'OMS, 500 millions de Dollars d'aide additionnelle manquent pour cette année et 6millions en 2011, pour endiguer la crise de personnel pour le seul continent africain.3) Les objectifs de la campagne. Cette objectif qui est de garantir à tous l'accès à des services de santé de qualité en proposant des mesures concrètes pour pallier la pénurie de personnel soignant dans les pays du Sud est résumé en deux points développés dans le courrier à adresser à Monsieur Douste-Blazy, ministre des Affaires Etrangères, entre avril et septembre 2006.
La République Démocratique du Congo est en situation post guerre civile impliquant dès lors des processus de développement et de reconstruction du pays. La situation sanitaire est critique. La reconstruction du système de santé relève non seulement d'une politique nationale mais aussi de l'aide humanitaire (et de ses financements) afin de proposer une répartition homogène de l'accès aux soins et à la santé pour l'ensemble de la population congolaise. A travers bilans humanitaires, historiques et identification des partenaires, les lignes d'un plan de reconstruction sont jetées en toute conscience du contexte transitionnel politique du pays.
La prise de conscience de la présence des enfants dans les guerres est récente en dépit de l'ampleur du phénomène. Il existe pourtant un arsenal juridique important en matière de protection de l'enfance. Les textes les plus importants sont les Conventions de Genève et leurs protocoles additionnels, ainsi que la Convention internationale relative aux droits de l'enfant, ratifiée par tous les pays du monde à l'exception de la Somalie et des États-Unis. Mais ces textes internationaux sont loin d'être appliqués. Deux figures emblématiques de l'enfant dans la guerre sont évoquées lors du colloque : les enfants victimes de violences sexuelles et les enfants soldats. Le viol n'est plus un crime sexuel, il devient un crime politique et ses conséquences sont irréversibles pour les victimes. Cette mort est double : la mort physique future en raison de la contamination par le virus du sida et la mort sociale, la femme violée étant victime de l'opprobre de son groupe.
Le colloque s'est articulé autour de deux tables rondes. L'exemple du tsunami de 2004 sert de point de départ à une réflexion sur l'instrumentalisation des causes humanitaires, notamment par les médias, et sur les politiques de communication des ONG. La deuxième discussion, qui porte sur le rôle des ONG et la responsabilité des médias dans l'information, s'appuie sur les témoignages d'acteurs d'une crise oubliée : la guerre en Tchétchénie.
https://issuu.com/medecinsdumonde/docs/actes-du-colloques-medias-et-humani
Depuis la fin 2001, Médecins du Monde a mis en place des permanences et des visites médicales dans la zone d'attente de Roissy, où sont maintenues les personnes étrangères n'étant pas autorisées à entrer sur le territoire français. Dans ce rapport basé sur le recueil de témoignages et des constats de visu, Médecins du Monde fait état de nombreux problèmes liés aux conditions matérielles d'hébergement, de mauvais traitements ainsi que des violences policières. L'accès aux soins, quelqu'en soit l'urgence, n'est pas toujours garantit. Face à cette situation où les droits les plus élémentaires des personnes ne sont pas respectées, Médecins du Monde fait des recommandations aux autorités françaises, notamment sur l'accès permanent des associations à ces lieux d'enfermement.
Ces missions d'enquête ne consistent pas simplement en une compilation de récits spontanés, mais ont été effectuées dans une optique résolument judiciaire. Les chargés de mission ont veillé à reconstituer le détail des événements qui ont précédé et entouré le départ des réfugiés. Seuls les témoignages des victimes ou des témoins directs ont été retenus. Un peu plus de 80 personnes ont été entendues. Ces témoignages sont une nécessité pour que la vérité sur les exactions commises par les forces serbes et subies par la communauté albanaise du Kosovo soit faite et que la justice puisse être menée à bien.
https://www.fidh.org/IMG/pdf/278koso.pdf
Ce guide présente une série de fiches à renseigner qui permettent au logisticien en mission de collecter toutes les informations administratives, techniques, géopolitiques, nécessaires à sa bonne connaissance du contexte et du programme.
Tout nouveau concept introduit dans le domaine des relations internationales semble suspect. Celui de "diplomatie préventive" n'a pas échappé à la règle. Le présent cahier tente donc de clarifier ce concept basé sur une nouvelle culture politique qui affirme la responsabilité collective de chacun dans la destinée de tous. La prévention et la gestion des crises devra trouver sa place sans se heurter à la souveraineté des pays concernés.
[texte imprimé]Si tous les enfants du monde... DECOTTE, Alex, Médecins du monde - PARIS : ALBIN MICHEL, 1989, 192 P.
En 1989, quinze enfants originaires de différents pays ont traversé l'Atlantique sur le voilier Vendredi 13 affrété par Médecins du Monde, de Nantes à Gorée, Fort-de-France et New York. C'est l'occasion de témoigner des conditions de vie des enfants à travers le monde, de commémorer la traite négrière, de rencontrer Aimé Césaire et de proclamer leurs espoirs.
http://s169196779.onlinehome.fr/100-pays/france/route-des-esclaves/
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