
Dans le capitalisme, l'espace public des villes est considéré comme un produit, résultat de l'intérêt (ou du désintérêt) financier d'un groupement économique qui organise la structuration de l'espace, en fonction du rapport entre sa valeur d'usage et sa valeur d'échange. A contrario, sur le plan social et humain, l'espace public est vu comme l'expression de la vie quotidienne et de la sociabilité. Cette analyse a pour objectif d'identifier des éléments qui prouvent le recul de l'espace public dans la ville brésilienne d'Ituiutaba, en montrant que la consommation sur le modèle capitaliste a une influence significative sur l'abandon de formes d'espace public considérées comme non rentables. Les auteurs ont pu observer que la consommation tend à supplanter l'usage, ce qui incite les politiques à réduire la création de nouveaux espaces de sociabilité, diminuant ainsi l'espace public. https://journals.openedition.org/confins/50275
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Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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19807 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
27853 | CD75 DE | document électronique | 75 - CDTM (Paris 09) | Disponible |