Résumé : |
L'auteure rend hommage à son grand-père, d'origine indienne, qui travaillait comme son propre père dans les champs de canne sur l'île Maurice. Il respectait les traditions hindoues, mais se sentait avant tout mauricien. Ce récit fait écho à toutes les migrations et surtout à celle d’aïeux, partis d’un village d’Inde en 1872 pour rejoindre l’île Maurice. Ces coolies venaient remplacer les esclaves noirs, après la fin de l'esclavage. On leur donnait un numéro en arrivant à Port-Louis, premier signe d’une terrible déshumanisation. |