
Les sites de ventes aux enchères et les réseaux sociaux sont devenus en quelques années des plaques tournantes du trafic illicite de biens culturels. Si Facebook a récemment proscrit le commerce des antiquités sur sa plateforme, il reste beaucoup à faire pour juguler ce commerce qui offre aux trafiquant·es une vitrine planétaire. Selon les expert·es du projet ATHAR (antiquités en arabe), spécialisé dans la traque des trafiquant·es d’antiquités et l’anthropologie du patrimoine, qui ont dénoncé ces pratiques dès 2014, les plateformes en ligne ne se sont pas beaucoup mobilisées pour empêcher le commerce illicite de reliques et autres objets. La crise de Covid-19 a aggravé le phénomène, en poussant un nombre grandissant de revendeur·ses et d’acheteur·ses vers Internet, où iels découvrent qu’en rejoignant certains groupes non surveillés, iels peuvent entrer facilement sur le marché illégal. https://courier.unesco.org/fr/articles/les-reseaux-sociaux-nouvel-eldorado-des-trafiquants
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Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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40048 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
43962 | CD75 DE | document électronique | 75 - CDTM (Paris 09) | Disponible |