
La mémoire mondiale du génocide des Arménien·nes a connu un cheminement historique commun aux traumatismes collectifs. Or le combat constant mené par la Turquie contre la résurgence de cette mémoire a fait apparaître un "droit à la mémoire", où la vérité est due aux victimes, à défaut d’une justice. Cette logique s'est développée dès les années 1980 jusqu’en 2019, avec la décision française d’une journée annuelle de commémoration du génocide arménien, puis en 2021 aux États-Unis, avec sa reconnaissance par Joe Biden. Pourtant, cette reconnaissance d'une partie du monde est insuffisante devant une négation qui persiste, bloque le devenir démocratique de la Turquie, se propage jusqu'à l’Azerbaïdjan et tend les relations entre ces pays du Caucase. https://journals.openedition.org/socio/16293
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Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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32522 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
34089 | CD75 DE | document électronique | 75 - CDTM (Paris 09) | Disponible |